Selon notre
reconstruction, le centre égyptien de la civilisation a été créé par des personnes
de race blanche. Il convient de noter à cet égard que la seule momie de pharaon
égyptien qui a été étudiée par des scientifiques était celle d'un homme blanc
de type européen. C’était le pharaon Ramsès II. Sa momie a été amenée en France
en 1976-1977 pour étude [1275: 1]. À Paris, elle a été soumise à des mesures
approfondies en laboratoire, y compris sur la race. Il s’est avéré que Ramsès
II avait des cheveux ondulés roux [1025: 2], p. 254-257. L'analyse
anthropologique de la momie a montré que le pharaon était un homme blanc de
type méditerranéen [1025: 2], p. 383. En d'autres termes, le célèbre pharaon
égyptien Ramsès II était un européen prononcé. Une photographie du visage de la
momie de Ramsès II est présentée sur la fig. 2.
L'Egypte, et l'Afrique
en général, est-elle la maison ancestrale de la race blanche ? Probablement
pas. Très probablement, l'homme blanc est arrivé en Egypte depuis d'autres
endroits de la Terre et non pas à partir des profondeurs de l'Afrique. Dans le
cas contraire, on pourrait s’attendre à des relations plus étroites entre
l'Egypte antique et l'Europe médiévale d’un côté et l'intérieur de l'Afrique de
l’autre. Dans le même temps, il est connu que les Egyptiens ne cherchaient pas
en particulier à pénétrer profondément en l'Afrique et ne savaient même pas où se
trouvait la source du Nil ni les causes de ses crues.
Mais leurs yeux
étaient constamment tournés vers l'Inde et l'Asie du Sud-est. Par exemple, les
Egyptiens connaissaient bien la voie de la mer Rouge à l'océan Indien et l’Asie
du Sud-Est. En revanche, pour une raison que l’on ignore, ils ne naviguèrent
pas autour de l'Afrique et ne n’essayèrent même pas de maîtriser ses côtes. En
Inde et Orient ils naviguèrent constamment. Les épices et autres produits d’Inde
et d’Asie du Sud-Est sont arrivés en Europe via l'Egypte. « La richesse des
Mamelouks (en Egypte - NdA) leur est venue principalement par le contrôle du
commerce des épices entre l'Inde et le monde chrétien via la mer Rouge. Même à
la fin du XVème siècle la principale source de revenus du sultan
mamelouk étaient les honoraires perçus par ce commerce » [624: 0], p. 434 Les
Européens n’ont découvert la route maritime vers l'Inde par le cap de
Bonne-Espérance qu’au XVIème siècle… Dans un certain nombre de
sources anciennes, l'Océan Indien est combiné avec la Mer Rouge sous le nom de
Mer d'Edom.
L'association
étroite de l'Egypte médiévale et de l’Asie du Sud-Est suggère que l'Egypte pourrait
avoir été habitée à partir de là à une époque. Si c’est le cas, la patrie
d'origine de l'homme blanc doit être recherchée quelque part dans la région
tropicale de l'Asie du Sud-Est. Après tout, une personne privée de laine, tels nos
ancêtres primitifs, et qui n'a pas encore inventé les vêtements ne pourrait
vivre que lorsque la température ambiante n’est pas trop différente de la
température du corps humain. Et cette propriété s’applique à une bande proche
de l'équateur où la température de l'air ne va presque jamais en-deçà/au-delà de
27-35 degrés Celsius. Mais dans la partie équatoriale de l'Afrique il n'y a
aucune trace de population blanche indigène. Dans le même temps, la population
indigène des tropiques de l'Asie du Sud-Est - Thaïlandais, Cambodgiens, Malais –
ce sont des gens de race blanche.
Sur la fig. 4
nous présentons la carte des anciennes routes commerciales qui montre combien ont
été étroitement liées l'Egypte et l’Asie du Sud-Est le long des anciennes
routes maritimes côtières.
Selon notre
reconstruction, ces voies navigables côtières étaient les plus anciennes voies de
la civilisation. Les routes terrestres de l’Empire n’ont commencé à se répandre
qu'à partir du XIVème siècle lorsque la capitale était déjà en
Russie, fig. 1. […]
L’attirance des
Européens médiévaux pour l’Inde et les produits indiens est bien connue de
l’histoire. Et ce n’était pas juste un amour pour le voyage. Concernant
l'Afrique, par exemple - en dehors de l'Egypte et ses environs - les Européens ont
pendant une longue période été complètement indifférents.
Pourtant l'Afrique
est beaucoup plus proche et plus accessible que l'Inde. Et les plantes
tropicales poussent bien en Afrique, à partir desquelles on peut faire des
épices. Enfin, en Afrique, il y a de riches gisements d'or et de diamants. Cela
ne serait-il pas encore plus nécessaire à l’Europe ? Mais les Européens du
Moyen Âge pour une raison quelconque ont recherché les épices indiennes et des
biens en or et des diamants indiens, pas d'Afrique. En Afrique, ils étaient seulement
intéressés par l’Egypte, et une étroite bande de la côte méditerranéenne.
En outre, la
géographie européenne « antique » était encline à classer l'Egypte en
l'Asie plutôt qu’en Afrique (!). « Beaucoup d'anciens ne connaissaient pas la
vérité, si l'Egypte devait être comptée en Asie ou en Afrique… » [815: 0a], p.
8.
Les premières
tentatives européennes pour explorer l'Afrique intérieure ont commencé
seulement au XVIIIème siècle, [4], p. 177. Même en 1771, « personne
ne savait ce qu'était un voyage à travers l'Afrique » [4], p. 177. Dans le même
temps, l'Inde, l'Asie du Sud-Est, la Chine et même la lointaine Amérique ont
depuis longtemps été bien documentées grâce aux efforts inlassables des
Européens pour pénétrer en Inde et en Asie du Sud-Est.
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