13. Les 300 chevaliers
médiévaux du duc Jean LA ROCHE : Ce
sont les fameux 300 Spartiates ‘"antiques" du roi Léonidas.
Un des épisodes les plus
célèbres et les plus romantiques des guerres médiques "classiques"
est le combat courageux de 300 Spartiates contre les forces perses de Xerxès
aux Thermopyles, prétendument en 480 av. J.C. Peut-être que les troupes des Thermopyles
venaient de Russie Blanche, dirigées par
le duc ou roi Cosaque ? La mort
tragique de 300 Spartiates et de leur roi Leonidas a été racontée dans de
nombreux ouvrages. Il faut s’attendre
à ce qu’une certaine forme de cet épisode remarquable apparaisse dans
l'histoire médiévale des XIIIème-XIVème siècles de notre
ère. En effet, un tel épisode est
détecté dans un livre de F. Gregorovius [195]. En outre, cette bataille n’est pas
seulement décrite par les chroniqueurs médiévaux, mais elle est aussi mise en
texte clair en parallèle avec l’"antique" bataille des Thermopyles ! Comment
exactement se ressemblent-elles ?
Rappelons que selon les résultats
de HRON1, chapitre 6, le décalage de 1810 ans se manifeste parfois comme un
décalage de 1800 ans ou 1778 ans. Par
conséquent, il faut essayer de prendre du recul un peu en arrière dans le
temps. Et nous rencontrons
immédiatement les 300 chevaliers médiévaux Spartiates !
En 1275 A.D. avec le duc Jean La Roche (Ivan Rash
ou Ivan Rus ?). Et le mot ГЕРЦОГ ~ Gertsog = duc, n’est-ce pas КСЕРКС ~ Kserks= Xerxès? Son
histoire est la suivante. Les
Turcs (TRK-PRS), avec le soutien des Grecs et des Coumans assiégeaient la ville de
Néopâtre. Sébastocrator fuît Néopâtre,
fit son chemin à travers les Thermopyles et se tourna vers Jean La Roche (Ivan
Ros ?) pour de l'aide. Le duc (Xerxès
?) décida de soutenir Sébastocrator et se dirigea vers le défilé des Thermopyles [195],
p.188 (17). Donc, à la fois dans
l'histoire d'Hérodote sur la campagne « antique » de Xerxès, et dans l'histoire
médiévale du duc Jean La Roche (Ivan Rosa ou Rus ?), on trouve les célèbres
Thermopyles.
68a. Invasion des Byzantins et des Turcs en
Grèce au XIVème siècle après J.C. Le
général Senadenos, analogue de l’"antique" Xerxès dans cet
épisode, envahit la Thessalie avec « un armée exceptionnellement grande. » De la mer, sa flotte le soutien [195],
p.188 (17). Il attaque en Grèce les
troupes byzantines et turques (PRS).
68b. « Grèce Antique ». Invasion perse. Une énorme armée de Perses (P-Rus ?) dirigée
par Xerxès envahit la Grèce. De
la mer, les Perses on le soutien d’une grande flotte. Dans cet épisode de l’"antiquité"
locale, Xerxès est probablement le reflet du général
Senadenos et son adversaire, le roi Spartiate Leonidas, une réflexion fantôme
du duc Jean de La Roche (Ivan Rosa ?).
69a. TROIS CENTS CHEVALIERS DE JEAN LA
ROCHE Dans le XIVème siècle après J.C. Jean La Roche "avec 300
chevaliers bien armés" répond à la grande armée toute proche des Turcs, des
Grecs et des Coumans [195], p.188 (18). Couman
[kumani] - Caumont [komon] – cheval [kon] – chevaliers [konniki] ? S’engage une bataille féroce. Le duc l’emporte sur l'ennemi. C’est ici Xerxès – duc [gertsog] à
nouveau. Par ailleurs, parmi les
trois cents chevaliers "on trouve aussi les messieurs de Saint-Omer (c.-à-d.
Homer, Omar des ottomans ? - AF)" [195], p.188 (17).
69b. « Grèce Antique ». Les trois cents Spartiates du roi
Leonidas. Le roi Spartiate
Leonidas avec trois cents Spartiates, aux Thermopyles, rencontre une immense
armée des Perses (P-Rus ?) [258], p.190. A
la fois dans l’"antiquité" et dans la version médiévale est indiqué
le même nombre de soldats – TROIS CENTS !
Dans le combat inégal "antique" le cruel Xerxès gagne les Spartiates,
même s’il obtient la victoire pour un prix anormalement élevé.
La bataille médiévale de trois
cents chevaliers avec des forces ennemies supérieures est bien identifiée avec
la bataille "antique" des trois cents Spartiates, grâce aussi à la
scène suivante. Il est rapporté
que << face à ses nombreux ennemis il (le Duc - AF) a déclaré voir,
"beaucoup de gens, mais peu d'hommes" >> [195], p.188 (18). Tout connaisseur de l’histoire "antique"
s’écrie immédiatement : « Mais, c’est la phrase d'Hérodote quand il parle de
Xerxès ! » En effet, ce sont
les mots exacts d'Hérodote: "Alors, on peut dire, il est devenu évident,
en particulier pour le roi (Xerxès - AF), que les Perses sont beaucoup, mais
les hommes [parmi eux] peu" [163] 7 210, s.369.
Dans l'histoire Scaligeriénne
il s’avère que le duc médiévale du XIVème a été si hautement
instruit qu’« accidentellement », une fois dans les Thermopyles, et en
participant à une bataille étrangement similaire à l’"antique"
bataille des 300 Spartiates avec Xerxès, il a « accidentellement » et avec
enthousiasme cité l’"Hérodote antique," parlant de cette bataille !
Si c’est lumineux et
étrange – pour l'historien moderne – le parallèle a immédiatement attiré
l'attention de F.Gregorovius. Et
il donne immédiatement le commentaire suivant : << Je pense que ces mots
(du duc médiéval - AF) ont été empruntés à Hérodote VII: 210, où Xerxès, aux
Thermopyles, est convaincu qu’il y a « beaucoup de gens des Perses, et des hommes
[parmi eux] un peu. » … >> [195], p.188 (18).
On peut dire : Eh bien,
est-ce étrange ? Les chevaliers
médiévaux lisaient beaucoup et étaient des gens très instruits. Pris au milieu de la bataille des
Thermopyles, entre le cliquetis du fer, du sang, et le bruit des chevaux, ils se
sont arrêtés et ont commencé à citer les œuvres immortelles, inspirés par les
classiques "antiques". En
outre, l’expression est appropriée.
À notre avis, il y a une
explication très différente. Très
probablement, la bataille médiévale des 300 chevaliers aux Thermopyles en 1275
A.D. a été décrite par plusieurs
chroniqueurs médiévaux, y compris
Hérodote dans son "Histoire", comme la bataille des 300, avec le roi
perse Xerxès. Il s’ensuit qu’Hérodote
a écrit son livre avant la fin du XIIIème siècle A.D. Et plus probablement encore dans les
XVème-XVIème siècles.
Nous retournons à la
bataille. "Il (le duc - AF)
se précipita courageusement vers le camp ennemi, dispersa la grande armée de Paleologos
et remporta une brillante victoire, et la ville de Néopâtre. (Néo-Sparte - AF) fut
libérée, échappant à l'ennemi qui fut forcé de se retirer de Thessalie" [
195], p.188 (18). La différence
entre l'année 1275 A.D. et la soi-disant
année 480 av. J.C. est de 1755
ans. C’est proche du décalage
chronologique de 1778 ans ou de 1800-1810 ans. Nous pouvons voir que la quantité de
décalage varie légèrement d'une source à l’autre. Mais ces écarts sont faibles par
rapport à l'ampleur du changement qui est presque de deux mille ans.
Nous avons déjà noté que
l'historien Ferdinand Gregorovius, un connaisseur de « l'antiquité » et expert
reconnu sur le Moyen Âge, dit souvent qu’elle est étrange pour lui, cette "renaissance
de l'antiquité" au Moyen Age. C’est, tout simplement, un double-parallèle. Mais étant mis sur la chronologie de
Scaliger, il ne comprenait pas l'essence de ce qui se passait et se limitait à
une déclaration attentive des faits, sans en tirer des conclusions. Mais nous pouvons déjà tirer une
conclusion, car elle est fondée sur des études empiriques et statistiques qui
ont clarifié l'image globale de ce qui se passe.
Ici, par exemple, nous
avons constaté que les "antiques" Perses sont le reflet des Francs-Français
ou P-Rus, des Turcs Ottomans, des Tatars. L’histoire
de la Grèce de la première moitié du XIVème siècle A.D. est si bien alignée avec la
"Grèce antique" par un décalage de 1810 ans que F. Gregorovius pointe
des parallèles avec l'époque de Darius (Horde?) et de Xerxès (duc ou roi cosaque?). << Suleyman (Osman-Ottoman, un
acte qui est également partiellement inclus dans la biographie de Xerxès - AF),
le fils courageux d’Orkhan, en 1354 a franchi la nuit obscure de l'Hellespont
... C’était la première entreprise turque à mettre le pied sur le sol européen. Les Byzantins comparaient cette horde
de conquérants (notez l'apparition ici du nom ORDA - AF) avec la Perse et les a
même appelés du même nom (! - AF). Mais
les Ottomans étaient terribles et plus heureux que les gens de Darius et de
Xerxès >> [195], p.252.
On notera au passage une circonstance
intéressant. Comme nous pouvons
le voir, les Byzantins médiévaux ont appelé les Turcs - Perses. Et les commentateurs et les
traducteurs n’ont commencé que plus tard à remplacer partout le mot « Perses »
dans les textes byzantins par « Turcs ». Sinon,
nous aurions « les anciens Perses » toujours présents dans le Moyen Age, ce
que l'histoire de Scaliger ne peut avoir.
F. Gregorovius attire
encore et encore sur un parallèle entre les invasions Osmaniennes Chypriotes des
XIVème-XVème siècles, et l'invasion des Perses (P-Rus ?)
"antiques". "Les Grecs et les Francs peuvent encore trembler à
la pensée que le terrible seigneur de l'Asie, comme Darius et Xerxès va
repousser les limites de leur monarchie dans toute l'Europe "[195], s.302.
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