Avant-propos.
Le résultat
principal du livre est la découverte du fait fondamental suivant : les
biographies de Krishna et de Bouddha reproduisent essentiellement la vie de
l'empereur Andronic-Christ (alias le Prince de la Horde, Andrew Bogolyubski).
En fait, Krishna est la figure orientale d’Andronic-Christ, et dans la vie du
Bouddha on a trouvé une couche importante qui ne lui est pas propre - le prince
indien des Sakyamuni c’est le saint chrétien Joasaph [?] ; le prince de l’Inde – c’est
Andronic-Christ du XIIème siècle .
Il convient de
noter que certains des parallèles entre Krishna et le Christ, ainsi qu'entre le
Bouddha et le Christ, ont été démontrés par plusieurs scientifiques avant nous.
Cependant, ces observations ont été dispersées et aléatoires. Nous avons
réussi, apparemment pour la première fois, à révéler l'image complète de cette correspondance
claire et fondamentale. Cela aura des conséquences de grande envergure et causera
de nombreux changements dans nos idées sur l'histoire de l'Orient. En
particulier nous avons radicalement clarifié de nombreux faits historiques
précédemment obscurs. Nous en parlons également dans ce livre. On peut se
demander - quel est votre atout par rapport à vos prédécesseurs? La réponse est
que nous nous sommes appuyés sur notre Nouvelle Chronologie qui n'était pas à
la disposition des chercheurs précédents. En outre, il n'aurait pas été
possible de réussir sans la Nouvelle Chronologie. Le livre décrit les nouveaux
résultats obtenus dans la période la plus récente.
INTRODUCTION
Pour commencer,
rappelons brièvement les résultats précédents de nos études sur le bouddhisme
et le ‘Krishnaïsme.’ Voyez en particulier nos livres "Les Cosaques-Aryens: de la Russie à l'Inde," et "Le dernier voyage de la Sainte Famille." Selon la Nouvelle Chronologie, la
civilisation et le proto-Empire ont leur origine dans la vallée du Nil en
Egypte. Nous ne savons pas quand la capitale de l'Empire est passée d'Egypte au
Bosphore. Nous pouvons seulement dire qu’au XIIème siècle après J.C., elle
était déjà là-bas. La nouvelle capitale a été appelée Jérusalem, ainsi que Troie
et Ilion.
Selon notre
reconstruction, c’était les noms d’une seule et même ville. Mais elle était
située très loin des endroits où aujourd'hui les historiens placent Jérusalem
ou Troie. La Jérusalem de l’Evangile, également connue sous le nom Troie
homérique, se trouvait sur la rive asiatique du Bosphore, à proximité de sa
confluence avec la mer Noire. Aujourd'hui, à sa place sont les ruines de la
forteresse d'Eros. Voir notre livre "La Jérusalem oubliée." C’était là, au XIIème siècle après J.C. qu’on
eu lieu de nombreux événements des Evangiles. Et c’est là qu’en 1185 A.D. le
Christ a été crucifié. Voir notre livre "Roi des Slaves."
Les trente
célèbres dynasties des pharaons d’Egypte « antique » sont une
réflexion fantôme des dynasties royales
de l'époque du Grand Empire des XIIème-XVème siècles. Ils n’ont pas régné depuis
l’Egypte, mais du Bosphore, puis en Russie (qui est l’Egypte biblique). Dans
l'Egypte africaine lointaine où était le cimetière impérial central, les rois de
l’Empire ne venaient que rarement. Mais après leur mort, les corps momifiés ont
toujours été apportés à l'ancien cimetière tribal de la vallée du Nil. Cela a
duré jusqu’au XVème siècle et la victoire des conquérants Ottomans.
Dans le XVème
siècle, après la victoire des Ottomans = Atamans, des changements importants
ont eu lieu dans l'Empire. Les nouveaux dirigeants de l’Empire Ottoman = Ataman
qui régnaient à Moscou et Tsar-Grad [future Constantinople] dans les XVème-XVIème
siècles n'appartenaient pas à la branche directe de l'ancienne dynastie royale
et n’utilisèrent pas son ancien cimetière égyptien en Afrique. Cependant, les
descendants des anciens rois ont pu continuer à enterrer leurs parents en
Egypte jusqu'à la fin du XVIIIème siècle.
La branche
directe de l'ancienne dynastie royale a été poussée du trône de l'Empire à la
fin du XIVème siècle - à la suite de la défaite lors de la bataille de Koulikovo
en 1380 et la victoire du christianisme apostolique sur le tsar. En conséquence
de quoi l'ancienne dynastie alla vers l'Est et fonda aux XVème-XVIIème siècles la
ligne des Empires orientaux, façonnés selon le modèle antique. Dans les
anciennes capitales impériales - Moscou et Tsar-Grad – les coutumes des Ottomans
= Atamans ont prévalu dans le XVème siècle.
Pendant les
troubles du XVème siècle, l’Egypte s’est trouvée sous le contrôle des Mamelouks
– une section des forces de la Horde – qui se sont introduits en Egypte depuis
la Russie pour la protection des tombeaux royaux, et ont stocké le trésor
impérial dans les pyramides.
Nous avons déjà
brièvement abordé les liens entre la Grèce « antiques » et le
bouddhisme, ainsi que le Krishnaïsme. En particulier la doctrine
indo-bouddhiste de la réincarnation est d'origine "grecque-antique"
et remonte à Pythagore. Selon nos résultats, cette doctrine a surgi au cours
des XIIIème-XVème siècles en Europe et a été apportée en Inde lors de sa
colonisation par la Horde de la Russie, voir notre livre "Les Cosaques-Aryens
: De la Russie à l'Inde."
En outre, selon
nos résultats, les ancêtres Mandchous des empereurs chinois étaient des rois du
Grand Empire Russe Médiéval, à l’époque du christianisme royale aux XIIIème-XIVème
siècles. A la fin du XIVème siècle, après l'adoption par l'Empire du
christianisme apostolique à la suite de la bataille de Koulikovo, des
représentants de l'ancienne dynastie royale ont été chassés du trône de
l'Empire et sont allés à l'est, en Inde, puis au Tibet. Puis, au début du XVIIème
siècle, venant du Tibet ils ont conquis la Chine et y ont établi la dynastie
impériale mandchoue.
Ainsi, la lignée
historique de l'ancienne dynastie royale, qui prend sa source en Egypte, est passée
à des moments différents à travers la Méditerranée, le Bosphore, la Russie (= l’Egypte
biblique), l'Inde, le Tibet, pour terminer en Chine au cours des XVIIème-XIXème
siècles. Au milieu du XIXème siècle, l'ancienne famille royale s’est éteinte. Les
empereurs chinois de la seconde moitié du XIXème siècle, à commencer par
l'impératrice Cixi, n’étaient déjà plus parents de sang des empereurs mandchous
anciens.
L’ancienne
dynastie royale de la Horde n’a pas seulement laissé sa marque au Tibet mais en
Inde aussi. C’est le soi-disant « gréco-bouddhisme » ou bien « états
hellénistiques indo-grecs d’Inde, » comme ils sont prétendument appelés – soit
tout simplement l’état « indo-scythe » de Kushan. Ces états ont laissé de
nombreux monuments et autres éléments archéologiques. En règle générale les
historiens n'aiment pas en parler, parce que l'existence même de ces états ne
rentre pas bien dans l'histoire globale scaligérienne. Cependant, les traces archéologiques
du gréco-bouddhisme en Inde sont étroitement liées à l’état indo-scythe de Kushan
pistes, à tel point qu'elles ne peuvent pas être passées sous silence. Mais les
historiens ont « repoussé » le gréco-bouddhisme, l’ère époque indo-scythe, et les
légendes de Krishna loin dans le passé, en disant que tout cela datait "
d’il y a très, très longtemps."
Selon la Nouvelle
Chronologie, le règne gréco-bouddhiste en Inde date très probablement des XIVème-XVIème
siècles A.D.
Sur les royaumes
indo-grec de Bactriane et indo-scythe de Kushan nous avons écrit une série de
monographies spéciales et de catalogues détaillés de leurs pièces de monnaie. Les
historiens croient que le premier date des premiers siècles avant notre ère, c’est
à cette époque qu’il aurait prospéré en Inde, puis, soi-disant dans les
premiers siècles de notre ère, le royaume indo-scythe de Kushan s’est formé à
sa place. Cependant, selon notre reconstruction, nous devrions parler d’un seul
et même état : l'indo-grec et l’indo-scythes ont été fondés simultanément
en Inde dans les XIVème-XVème siècles A.D. quand des représentants de
l'ancienne dynastie tsariste de l’Empire quittèrent la Russie (= Scythie). C’était
en réalité la dynastie « grecque, » à savoir la dynastie chrétienne. En outre, elle
était vraiment « hellénistique, » c.-à-d. qu’elle ne professait pas le christianisme
apostolique mais le christianisme royal ancestral, soit l’« hellénisme » qui a
prévalu dans l'Empire aux XIIIème-XIVème siècles. Voir notre livre "Roi
des Slaves," « La fondation de Rome (le début de la Rus-Horde) » et « Le baptême de la Russie. »
Chapitre 1. Histoire
de l’empereur Andronic-Christ, c.-à-d. Andrew Bogolyubski – c’est l’une des
pierres angulaires de l'histoire de l'humanité
1. La Jérusalem de
l'Evangile et Bethléem de la naissance du Christ se trouvaient sur la mer
Noire.
2. Le roi mage Melchior
est souvent dépeint comme une femme. Les rois mages sont décrits dans
l'Evangile de Luc comme des bergers (pasteurs) adorant l'enfant Jésus.
3. Une autre
réflexion fantôme de l'empereur Andronic-Christ
/ Andrew Bogolioubski : l’archevêque allemand Géron de Cologne [900-976] soi-disant au Xème siècle.
4. Liste de
réflexions fantômes d’Andronic-Christ dans la version scaligérienne de l'Histoire.
5. Naissance par césarienne.
6. Diverses formes
de la croix chrétienne.
Chapitre 2. Krishna – un reflet d’Andronic-Christ
1. Introduction.
2. La famille de
Krishna et ses proches.
4. L'ennemi
maléfique Kamsa de Devaki et Krishna. Kamsa – c’est une réflexion du roi Hérode, de sa
haine de Jésus et de la Vierge Marie.
5. Vasudeva-Joseph
protège sa femme Devaki-Vierge Marie du roi Kamsa-Hérode. Les variations
temporaires de Kamsa-Hérode.
6. Les Mages et
le roi Hérode-Kamsa : il avait peur de leur nouvelle concernant la
naissance du roi des Juifs.
7. Hérode-Kamsa fait
tuer les bébés de Bethléem.
8. L’Immaculée
Conception et le Saint-Esprit.
9. Naissance par césarienne.
10. La
prison-grotte.
11. Répétition de
l'histoire de l'apparition des Mages.
12. Kamsa- Hérode,
effrayé de la naissance imminente de Krishna, voulait le tuer.
13. L’étoile de
Bethléem.
14. Le sauvetage
de la Sainte Famille du roi Hérode. Fuite en Egypte.
15. Répétition de
l'histoire du meurtre des bébés de Bethléem.
16. Même compte
rendu plus détaillé de l'Adoration des Mages.
17. Krishna et
Balarama – c’est le Christ et Jean-Baptiste. Certains auteurs confondent Christ
et le Baptiste.
18. Le baptême
dans le Jourdain puis la victoire sur le diable.
19. L’entrée de
Krishna-Christ dans Jérusalem.
20. Expulsion des
marchands du temple.
21.
Marie-Madeleine et la prostituée dans la vie de Krishna.
22. La mutinerie de
Tsar-Grad = Jérusalem. L’arc cassé d’Andronic-Christ et l’arc brisé de Krishna.
23. Le danger de
mort auquel a miraculeusement échappé Krishna c’est le supplice d’Andronic-Christ
et sa résurrection d’entre les morts.
24. La période de
confusion chez beaucoup de gens après la résurrection du Christ-Krishna. Les
gens ne comprenaient pas où il était.
25. La mort du
roi Hérode "à cause du Christ." Krishna a tué le roi Kamsa.
26.
Christ-Krishna - enseignant et sage. L'âge d'or, les réformes, l'apogée des arts
et des sciences.
27. Description
moqueuse dans les "anti-Evangiles" d’Europe de l’ouest de l’Archange
Gabriel et du Saint-Esprit sous la forme d’un bourdon dans la célèbre scène de
l'Annonciation à la Vierge Marie, et aussi du Baptême de Jésus dans le
Jourdain.
28. "L'histoire
du taon" de la Réforme Chrétienne dans la célèbre scène de l'Annonciation
de la Bienheureuse Vierge Marie et l'Immaculée Conception se reflète clairement
dans la vie de Krishna.
29. La bataille
de Koulikovo en 1380 est décrite dans les "biographies classiques" de
Krishna. Selon l'histoire scaligérienne, cela est absolument impossible, contrairement
à la Nouvelle Chronologie.
30. Le transfert
de la capitale à Constantinople mentionné dans la vie de Krishna.
Chapitre 3. Bouddha – aussi un reflet d’Andronic-Christ = Andrew
Bogolyubski
1. L’enseignement
du Bouddha et les informations relatives à son sujet ont soi-disant été transmis
oralement pendant trois cents ans, voire plus, jusqu'à ce qu'ils soient
finalement couchés sur des feuilles de palmier.
2. Aujourd'hui
nous donnons la "localisation exacte" de la naissance du Bouddha. En
fait, il est né dans un autre endroit que celui donné dans ses biographies.
3. L’Immaculée
Conception. Il se trouve que le Bouddha aussi est né par césarienne.
4. Traces de la naissance
du Bouddha-Christ par césarienne.
5. L'étoile de
Bethléem.
6. Naissance par césarienne,
l'icône "Sept Flèches," l'Assomption de la Vierge, et la mort
présumée de la mère de Bouddha - la Vierge Marie - au septième jour.
7. Le jeune
Christ-Bouddha parmi les enseignants.
8. L’évasion secrète
du Bouddha du palais – c’est Jésus fuyant en Egypte avec ses parents.
9. Le baptême du Bouddha-Christ
dans le Jourdain.
10. Une femme lave
les pieds du Bouddha-Christ et les essuie avec ses cheveux.
11. Descente aux
enfers.
12. Entrée à
Jérusalem.
13. Quatre
Evangélistes.
14. Tentation du
Christ-Bouddha par Mara-Satan et la victoire du Bouddha-Christ.
15. Attaque des
méchants contre Bouddha – c’est l'attaque de ses ennemis contre Andronic-Christ
aboutissant à son arrestation et son exécution.
16. Le coup lance
porté au Christ- Bouddha crucifié. La lance de Longinus.
17. Le Bouddha a
souffert incroyablement et est "presque mort," mais a ressuscité. C’est
un reflet de la crucifixion et de la résurrection du Christ.
18. Le corps du Christ
mort a été placé dans un sarcophage, ou "tente."
19. Résurrection.
20. L’arbre-poteau
du Bouddha et la croix-poteau du Christ.
21. Bouddha-Christ
s’est lui-même offert en sacrifice pour le salut de tous les vivants : Prenez,
mangez, ceci est mon corps ... ceci est mon sang.
22. Les cheveux
longs.
23. Début du
service spirituel au bout d’une trentaine d'années.
24. Bouddha
brûlant sur le bûcher - un reflet de l'exécution du Christ sur la croix.
25. Que
pouvons-nous montrer aujourd'hui du prétendu "véritable lieu de départ du
Bouddha et de sa crémation."
26. Beaucoup de stupas
bouddhistes sont ornés du croissant et de l’étoile de Tsar-Grad = Ottoman =
Ataman.
27. Les croix
chrétiennes sur les icônes bouddhistes.
28. Une autre
preuve de la mort violente du Bouddha - il a été empoisonné par un ennemi.
29. Après sa
résurrection, le Bouddha, comme le Christ, est à nouveau avec ses disciples
30. Tous les
disciples ne crurent pas en la résurrection du Christ-Bouddha.
31. Buddha-Christ
a envoyé ses 60 ou 70 élèves dans différentes directions pour prêcher et
enseigner.
32. L’auréole
chrétienne autour d'une tête de Bouddha. Et le Bouddha-Christ est dépeint comme
un roi, avec une couronne sur sa tête.
33. Bouddha avec
l'agneau sur les épaules – c’est le Christ avec l'agneau sur ses épaules.
34. Poisson - un
symbole du Christ, et le poisson comme symbole bouddhiste.
35. Isaac Angel (soit
Judas Iscariote), qui a renversé Andronic-Christ, est reflété dans la
biographie du Bouddha comme le traître Devadatta.
36. Bouddha a
tiré à l’arc lors d’un différend/compétition. L'empereur Andronic-Christ a tiré
à l’arc pendant la rébellion à Tsar-Grad. La corde déchirée et l’arc brisé.
37. Une autre récit
à propos de la "bataille du Bouddha."
38. Quelques
autres correspondances Bouddha = Christ.
39. Le soi-disant
manuscrit "incroyablement ancien" racontant l’histoire bouddhisme a
en fait été créé pas plus tôt qu’au XVème siècle.
Chapitre 4. Divers
1. Une fois de
plus, les inscriptions arabes sur les armes russes et le bilinguisme en Russie.
2. De nombreuses
traces de noms de colonies slaves sur le territoire de l'Allemagne actuelle.
3. Le fameux
Saint Suaire de Turin dans le cadre de l'histoire de la ville de Turin et la
dynastie des Savoie en Europe.
3.2. Maison de
Savoie - les gouverneurs impériaux de la Rus-Horde en Europe.
3.3. Très
probablement, les Savoie ont déplacé le Saint Suaire à Turin depuis la Rus-Horde
au début du XVIIème siècle.
3.4. Symboles ottomans
= atamans sur les armes européennes de Savoie à l'Armurerie du Palais Royal à
Turin.