jeudi 30 juin 2016

3.6. La chronologie zodiacale de l'Egypte antique

En 2002 a été publié notre livre « Nouvelle Chronologie de l'Egypte » dans lequel a été proposée pour la première fois une méthode pour le décodage complet et la datation des célèbres zodiaques égyptiens – des images astronomiques qui contiennent la véritable datation de l’histoire de l’Egypte « antique. » Grâce à cette découverte il est possible de calculer des dates exactes de l'histoire égyptienne ancienne, y compris les années de la mort de certains pharaons célèbres, grâce aux tombes dans lesquelles sont conservés des zodiaques funéraires.

La conclusion quant à la datation de l’Egypte antique était saisissante : l’Egypte apparaissait comme un pays médiéval. Qui plus est, du Moyen Âge tardif!

Il s’est avéré que la grande majorité des zodiaques de l'Egypte ancienne datent des XIIème-XIIIème siècle A.D. Cela signifie que beaucoup d'entre eux, même aux yeux de la nouvelle chronologie, appartiennent déjà à l'ère chrétienne. Rappelons que la vie du Christ, selon la nouvelle chronologie – c’est la seconde moitié du XIIème siècle, voir notre livre « Roi des Slaves. »

Nous dressons la liste de tous les zodiaques anciens étudiés et datés par nos soins jusqu’à ce jour - y compris les non égyptiens. Voir les détails dans nos livres « Nouvelle Chronologie de l'Egypte, » « Zodiaques de l'Egypte ancienne et de l’Europe, » « Zodiaques Egyptiens, Russes et Italiens, » et « Vatican. »

Au total, à ce jour, nous avons trouvé et daté environ 40 zodiaques anciens. Ici, ils sont dans l'ordre chronologique, selon les datations obtenues:

1) ZODIAQUE SÉTI Ier, Egypte, Louxor, Vallée des Rois, an 969 (14 au 16 août) et 1206 (5-7 août).
2) STÈLE METTERNICH, Egypte, an 1007 (14-16 août).
3) « MITRE » D’APULUM, Europe, an 1007 (14-16 août).
4) « MITRE » D’HEDDERNHEIM, Europe: 1007 (14-15 octobre) et 1186 (14-15 octobre).
5) PREMIER ZODIAQUE DE SENENMUT, Egypte, Louxor, an 1007 (14-16 juin).
6) ZODIAQUE COURT, Egypte, Armant, an 1071 (15-16 mai) ou 1189 (30-31 mai) ou 1308 (mai 6-8).
7) ZODIAQUE RAMSÈS IV, Egypte, Louxor, Vallée des Rois, 1146 (15-16 avril), 1325 (16 avril).
8) SECOND ZODIAQUE DE SENENMUT, Egypte, Louxor, an 1148 (17-18 juin).
9) ZODIAQUE RAMSÈS IX, Egypte, Louxor, Vallée des Rois, an 1148 (16 juin).
10) ZODIAQUE DE NOËL, Europe (du livre d’Ebenezer Sibley), an 1151 (25 décembre).
11) LES CORNES D’OR DE COPENHAGUE, Europe, an 1166 (17 au 28 mai).
12) LE ZODIAQUE LONG DE DENDÉRAH, Egypte, Dendérah, an 1168 (22-26 avril).
13) ZODIAQUE DE RAMSÈS VII, Egypte, Louxor, Vallée des Rois, an 1182 (5-8 septembre).
14) ZODIAQUE ROND DE DENDÉRAH, Egypte, Dendérah, an 1185 (le matin du 20 Mars).
15) ZODIAQUE DU « LION DE COMMAGÈNE, » Turquie, an 1221 (matinée du 14 septembre).
16) ZODIAQUE DU TOMBEAU DE PETOSIRIS, CHAMBRE EXTÉRIEURE, Egypte, Oasis de Dakhla, an 1227 (5 août) et 1667 (2 août style ancien).
17) ZODIAQUE ASTRONOMIE, Palais Borgia au Vatican (zodiaque donnant la datation de l'invention du système ptolémaïque du monde), an 1228 (28 août).
18) ZODIAQUE DU HAUT ATHRIBIS Flinders Petrie, Egypte, Athribis (Vannini), an 1230 (15-16 mai).
19) ZODIAQUE DU TOMBEAU DE PETOSIRIS, CHAMBRE INTÉRIEURE, Egypte, Oasis de Dakhla, an 1240 (24-25 mars), ou 1714 (2 avril style ancien).
20) ZODIAQUE DU BAS ATHRIBIS Flinders Petrie, Egypte, Athribis (Vannini), an 1268 (9-10 février).
21) ZODIAQUE GEMMA AUGUSTEA, Europe, an 1284 (8 décembre).
22) ZODIAQUE « NOUT VÊTUE, » Egypte, an 1285 (31 janvier - 1 février) ou 1345 (29-31 janvier).
23) ZODIAQUE RAMSÈS VI, Egypte, Louxor, Vallée des Rois, an 1289 (4-5 février) ou en 1586 (20-21  février style ancien).
24) ZODIAQUE DU GRAND TEMPLE D’ESNA, Egypte, Esna, an 1394 (31 mars - 3 avril).
25) ZODIAQUE DU PETIT TEMPLE D’ESNA, Egypte, Esna, an 1404 (6-8 mai).
26) ZODIAQUE DE LA TAPISSERIE DE BAYEUX, Europe, an 1495 (15 mars).
27) ZODIAQUE DES TRAVAUX D'Hercule, mythes « anciens, » an 1513 (17-21 novembre).
28) ZODIAQUE DU BAPTÊME À PADOUE, Italie, Padoue, an 1524 (7 mars).
29) ZODIAQUE D’IVAN LE TERRIBLE, Russie, Moscou, an 1526 (9 février).
30) ZODIAQUE D’HENRI II ET DIANE DE POITIERS, France, an 1546 (28 février ou 1 mars).
31) ZODIAQUE DU TEMPLE DE BÊL (PALMYRE), Syrie, an 1616 (8 novembre style ancien).
32) ZODIAQUE DU LOUVRE, Europe, an 1638 (12-17 juin style ancien).
33) ZODIAQUE DE LA GEMME « MARC-AURÈLE, » Europe, an 1664 (8-9 décembre style ancien).
34) ZODIAQUE DES DUCS D'ESTAING, Italie, Ferrare, an 1680 (19 mai style ancien).
35) ZODIAQUE DES DIEUX DE L'OLYMPE, Villa Barbaro Maser (Italie), attribué à Véronèse, an 1700 (2 août style ancien).
36) ZODIAQUE DE JUPITER sur d’antique pierres sculptées, Europe, an 1741 (5 juin style ancien).
37) ZODIAQUE DE FALCONETTO, Italie, Mantoue, an 174 (3-4 juillet style ancien).
38) ZODIAQUE D’URANUS DU PALAIS DE JUSTICE, Italie, Padoue : le premier horoscope - 1781 (23-25 avril ​​style ancien) ; le second horoscope, compilé rétroactivement, an 1405 (14-16 octobre).
39) ZODIAQUE DE LA CHAPELLE CHIGI, dans l'Église de Marie del Poppolo à Rome (Italie), attribué à Raphael, an 1785 (23-25 août style ancien) ou 1843 (11-12 août style ancien).
40) ZODIAQUE BRUGSCH, horoscope avec additions démotiques, Egypte, an 1861 (18 novembre style nouveau) ou 1682 (17 novembre style nouveau).
41) ZODIAQUE BRUGSCH, horoscope « sans bâtons, » Egypte, an 1841 (6-7 octobre style ancien).
42) ZODIAQUE BRUGSCH, horoscope « sur les bateaux, » Egypte, an 1853 (15 février style ancien).

La datation implique sans équivoque que la chronologie communément admise aujourd'hui de l'histoire ancienne et médiévale est complètement erronée. En ce qui concerne l'Egypte ancienne, elle tombe dans l'ère après le Xème siècle après JC, et non dans les 3-2 millénaires avant JC, comme les historiens le pensent. En d'autres termes, les anciens Egyptiens ne vivaient pas il y a des milliers mais seulement des centaines d'années.

mardi 28 juin 2016

2.9.3. L’Egypte après la conquête ottomane

Après la conquête ottomane de l'Egypte, cette dernière est restée pendant un certain temps sous l'emprise des Mamelouks - les troupes d'élite de l'ancienne dynastie royale, envoyées en Egypte depuis la Russie pour la protection du cimetière royal et le maintien de l'ordre…
Dans la vallée des rois, dans la seconde moitié du XVème - début du XVIème siècle, ont probablement été enterrés les souverains mamelouks d'Egypte…

Mais au début du XVIème siècle, les Ottomans prirent l'Egypte. En 1517, les troupes du sultan turc Sélim le Terrible (« Yavuz ») entrent au Caire, tuent le souverain mamelouk et détruisent tous les temples d’Egypte « antiques, » dont la plupart n’avaient pas même deux cents ans. Les Ottomans pillèrent les pyramides ainsi que les tombes royales de la Vallée des Rois à la recherche de trésors. Depuis lors, les monuments de l'Egypte ancienne ont été délabrés et ensablés.

En 1799, les troupes de Napoléon prirent l'Egypte et achevèrent la destruction de nombreux monuments. Les Français aussi recherchèrent des trésors dans les tombeaux et les pyramides, mais il n'y avait déjà plus rien. Les derniers gardiens des tombes royales - la famille égyptienne Rasulov - retira de la Vallée des Rois les momies royales et les cacha dans une grotte éloignée. Ce fut seulement en 1881 que les Européens furent sur la piste de la famille Rasulov, l’attrapèrent, et sous la torture la forcèrent à révéler le lieu où les momies étaient enterrées.

On pense que 36 momies royales cachées par Rasulov ont été découvertes [2: 0], p. 76. Dans la même année 1881, les restes des rois du Grand Empire, les proches du Christ, ont été envoyés via le Nil au Caire…
Les momies des rois ont été placées dans le musée du Caire où elles sont encore à ce jour. Comme nous l'avons mentionné ci-dessus, l'analyse génétique d'une de ces momies – le Pharaon Ramsès II - a montré que le pharaon était un Européen blond, voir la section 2.5. Malheureusement, il n'a pas été procédé à une telle analyse des autres momies pharaoniques trouvées dans la cache de Rasulov. Il serait extrêmement intéressant et important de procéder à une telle analyse. Et aussi de découvrir la relation génétique entre les pharaons égyptiens et les empereurs Mandchous (Bogdyhans – Chefs Sacrés) des XVIIème-XVIIIème siècles. Cela serait possible car les restes des deux dynasties sont préservés. 

2.7.5. La falsification scaligérienne de l'histoire de l'Autriche – le Norique slave

De notre reconstruction globale il apparaît que les mines d'or de la Transylvanie étaient en fait les seules mines d'or en Europe, aux XIVème-XVIème siècles et appartenaient à la métropole de l'Empire, c.-à-d. la Rus-Orda.
Il est peu probable que le gouvernement impérial permettrait à quelqu'un d'autre de posséder des ressources d'or dans son arrière-cour. Par conséquent, ces mines étaient probablement gérées par des Slaves. Quelque chose d’aussi important que l'extraction d'or ne serait pas habituellement confié à des étrangers.
Voyons voir - est-ce vrai ? Référons-nous à nouveau à l'historien romain Polybe et ses arguments vus plus haut. Polybe fait valoir que les mines d'or européennes étaient détenues par les Noriques. La question se pose - qui sont les Noriques ?

Aujourd'hui, on croit que les Noriques étaient les ancêtres des Autrichiens modernes. Les Noriques habitaient l’Autriche dans « l’antiquité, » et l’Autriche même était appelée « Norique » [988: 00]. D'autre part, la Chronique des temps passés (et un certain nombre d'autres chroniques) indique expressément que les Noriques étaient les Slaves. […]

En outre, puisque les Noriques étaient des Slaves, et que Norique était l'ancien nom de l'Autriche, il en résulte que l'Autriche était un temps un pays slave. Ce résultat est très important et permet de regarder toute l'histoire de l'Europe médiévale d’une nouvelle manière. Après tout, selon la version de Scaliger de l'histoire, l'Autriche au Moyen Âge était la région métropolitaine de l'Europe occidentale. C’était en Autriche, selon les historiens, que se trouvait la cour des empereurs romains d’occident, les Habsbourg, à qui, dans les XIVème-XVIème siècles, étaient formellement subordonnées tous les autres souverains d'Europe occidentale - rois, ducs, princes, etc.

Par conséquent, l'histoire de l'Autriche et de la maison autrichienne des Habsbourg est l'un des points clés de l'histoire de l'Europe. S'il se trouve que l'histoire médiévale de l'Autriche a été falsifiée, alors cela signifierait que tout un pan de l'histoire européenne scaligérienne est faux.

Dans nos livres sur la chronologie nous avons parlé en détail de la version courante de l'histoire de l’Empire européen occidental des Habsbourg avec sa capitale à Vienne – c’est un conte historique fondé au XVIIème siècle par le déplacement (sur papier) du véritable empire historique de Rus-Orda des XIVème-XVIème siècles sur le sol autrichien… Voir nos livres « Le Calife Ivan, » « La Nouvelle Chronologie de la Russie. »
Dans le même temps pour faire de la place à leur fausse version de l'histoire autrichienne, les forgeurs scaligériens ont effacé des pages d'histoire médiévale les informations sur l'Autriche-slave des Noriques et les ont envoyées (sur papier) dans le passé lointain. Ainsi, dans les temps anciens, une image fantôme des « anciens Noriques » ​​a été créée, à côté de « l’antique empire romain » soi-disant en Italie.
Dans la réalité, la métropole de l'Empire romain était en Russie. Voir notre livre « La fondation de Rome (le début de la Horde de Russie) » et « Vatican. » Comme nous l'avons vu à plusieurs reprises, une méthode préférée des faussaires scaligériens a été d’envoyer tous les renseignements historiques encombrants dans le passé lointain. Voir les détails dans le livre d’A.T. Fomenko, « 400 ans de la tromperie. »

[…] En dépit de tous les efforts des contrefacteurs scaligériens, des informations sur la véritable histoire des Noriques au Moyen Âge sont encore préservées. À propos des ducs Noriques des XVème-XVIème siècles, dont la capitale était la ville de Vienne - qui est la capitale de l'Autriche -, par exemple, Mauro Orbini écrit dans son livre « Royaume des Slaves » [617: 1] : «Les Slaves qui s’appellent maintenant (c.-à-d. au début du XVIIème siècle, quand Orbini a écrit son livre - NdA) Carantanians (Charioni), ont pris la part du Norique qui est au sein des montagnes du Taurus, face à l'est, et qui est délimitée par les rivières Mura ou Murava, Drava et Sava jusqu'au territoire d'Aquilée… (notez que « Carinthie » est tout simplement « Norique » en sens inverse :  RNK-KRN - NdA) ... »

[…] Notez qu’Orbini raconte l'histoire du couronnement des souverains slaves de Carinthie-Norique (Autriche) comme se déroulant dans le présent. Autrement dit, tout cela est arrivé dans son temps. Il se trouve qu'à l'époque d’Orbini, au tournant des XVIème et XVIIème siècles, l’Autriche-Norique était encore sous gouvernement slave et peuplée par des Slaves.

Mais cela est en contraste frappant avec le point de vue des historiens modernes selon lequel l'Autriche n’aurait jamais été un état slave. La Carinthie, selon l’opinion des historiens scaligériens, était seulement une petite partie de l'Autriche médiévale, voir la carte d’Autriche-Hongrie [988: 00]. On croit qu’en 1335 la Carinthie appartient entièrement « au duc d'Autriche et la maison des Habsbourg. Depuis lors, la Carinthie est restée en Autriche » [988: 00], article « Carinthie. »

Qui a raison - les historiens ou Orbini ? […]

samedi 25 juin 2016

2.5. La maison ancestrale de l'homme blanc

Selon notre reconstruction, le centre égyptien de la civilisation a été créé par des personnes de race blanche. Il convient de noter à cet égard que la seule momie de pharaon égyptien qui a été étudiée par des scientifiques était celle d'un homme blanc de type européen. C’était le pharaon Ramsès II. Sa momie a été amenée en France en 1976-1977 pour étude [1275: 1]. À Paris, elle a été soumise à des mesures approfondies en laboratoire, y compris sur la race. Il s’est avéré que Ramsès II avait des cheveux ondulés roux [1025: 2], p. 254-257. L'analyse anthropologique de la momie a montré que le pharaon était un homme blanc de type méditerranéen [1025: 2], p. 383. En d'autres termes, le célèbre pharaon égyptien Ramsès II était un européen prononcé. Une photographie du visage de la momie de Ramsès II est présentée sur la fig. 2.

L'Egypte, et l'Afrique en général, est-elle la maison ancestrale de la race blanche ? Probablement pas. Très probablement, l'homme blanc est arrivé en Egypte depuis d'autres endroits de la Terre et non pas à partir des profondeurs de l'Afrique. Dans le cas contraire, on pourrait s’attendre à des relations plus étroites entre l'Egypte antique et l'Europe médiévale d’un côté et l'intérieur de l'Afrique de l’autre. Dans le même temps, il est connu que les Egyptiens ne cherchaient pas en particulier à pénétrer profondément en l'Afrique et ne savaient même pas où se trouvait la source du Nil ni les causes de ses crues.

Mais leurs yeux étaient constamment tournés vers l'Inde et l'Asie du Sud-est. Par exemple, les Egyptiens connaissaient bien la voie de la mer Rouge à l'océan Indien et l’Asie du Sud-Est. En revanche, pour une raison que l’on ignore, ils ne naviguèrent pas autour de l'Afrique et ne n’essayèrent même pas de maîtriser ses côtes. En Inde et Orient ils naviguèrent constamment. Les épices et autres produits d’Inde et d’Asie du Sud-Est sont arrivés en Europe via l'Egypte. « La richesse des Mamelouks (en Egypte - NdA) leur est venue principalement par le contrôle du commerce des épices entre l'Inde et le monde chrétien via la mer Rouge. Même à la fin du XVème siècle la principale source de revenus du sultan mamelouk étaient les honoraires perçus par ce commerce » [624: 0], p. 434 Les Européens n’ont découvert la route maritime vers l'Inde par le cap de Bonne-Espérance qu’au XVIème siècle… Dans un certain nombre de sources anciennes, l'Océan Indien est combiné avec la Mer Rouge sous le nom de Mer d'Edom.

L'association étroite de l'Egypte médiévale et de l’Asie du Sud-Est suggère que l'Egypte pourrait avoir été habitée à partir de là à une époque. Si c’est le cas, la patrie d'origine de l'homme blanc doit être recherchée quelque part dans la région tropicale de l'Asie du Sud-Est. Après tout, une personne privée de laine, tels nos ancêtres primitifs, et qui n'a pas encore inventé les vêtements ne pourrait vivre que lorsque la température ambiante n’est pas trop différente de la température du corps humain. Et cette propriété s’applique à une bande proche de l'équateur où la température de l'air ne va presque jamais en-deçà/au-delà de 27-35 degrés Celsius. Mais dans la partie équatoriale de l'Afrique il n'y a aucune trace de population blanche indigène. Dans le même temps, la population indigène des tropiques de l'Asie du Sud-Est - Thaïlandais, Cambodgiens, Malais – ce sont des gens de race blanche.

Sur la fig. 4 nous présentons la carte des anciennes routes commerciales qui montre combien ont été étroitement liées l'Egypte et l’Asie du Sud-Est le long des anciennes routes maritimes côtières.
Selon notre reconstruction, ces voies navigables côtières étaient les plus anciennes voies de la civilisation. Les routes terrestres de l’Empire n’ont commencé à se répandre qu'à partir du XIVème siècle lorsque la capitale était déjà en Russie, fig. 1. […]
L’attirance des Européens médiévaux pour l’Inde et les produits indiens est bien connue de l’histoire. Et ce n’était pas juste un amour pour le voyage. Concernant l'Afrique, par exemple - en dehors de l'Egypte et ses environs - les Européens ont pendant une longue période été complètement indifférents.

Pourtant l'Afrique est beaucoup plus proche et plus accessible que l'Inde. Et les plantes tropicales poussent bien en Afrique, à partir desquelles on peut faire des épices. Enfin, en Afrique, il y a de riches gisements d'or et de diamants. Cela ne serait-il pas encore plus nécessaire à l’Europe ? Mais les Européens du Moyen Âge pour une raison quelconque ont recherché les épices indiennes et des biens en or et des diamants indiens, pas d'Afrique. En Afrique, ils étaient seulement intéressés par l’Egypte, et une étroite bande de la côte méditerranéenne.

En outre, la géographie européenne « antique » était encline à classer l'Egypte en l'Asie plutôt qu’en Afrique (!). « Beaucoup d'anciens ne connaissaient pas la vérité, si l'Egypte devait être comptée en Asie ou en Afrique… » [815: 0a], p. 8.
Les premières tentatives européennes pour explorer l'Afrique intérieure ont commencé seulement au XVIIIème siècle, [4], p. 177. Même en 1771, « personne ne savait ce qu'était un voyage à travers l'Afrique » [4], p. 177. Dans le même temps, l'Inde, l'Asie du Sud-Est, la Chine et même la lointaine Amérique ont depuis longtemps été bien documentées grâce aux efforts inlassables des Européens pour pénétrer en Inde et en Asie du Sud-Est.

Par conséquent, le plus probable est que les ancêtres de l'homme blanc ne sont pas venus d'Afrique mais d'Asie du Sud-Est. Puis, après être passé le long des côtes des mers du sud au-delà de l'Inde et de l'Iran, ils sont arrivés en Egypte, fig. 1. Puis en Russie et en Europe. Et tout cela n’a pas pris tant de temps que ça. Voilà pourquoi les Européens médiévaux n’ont jamais oublié l'Inde, et ont constamment utilisé les épices orientales et autres produits orientaux, et étaient constamment à la recherche d’une route maritime vers l'Orient. Quant à l'Afrique ils n’y pensaient même pas. Ceci est notre reconstruction.

mercredi 22 juin 2016

2.3. Sur l'histoire des religions et l'époque du Christ

La question peut se poser - comment, au vu de la nouvelle chronologie, l'histoire des religions apparaît-elle ? Quelle religion est la plus ancienne? Comment et quand ont bifurqué tous les dogmes aujourd'hui connus ?
Une réponse exhaustive sur ce thème serait le sujet d'un livre entier et nous ne pouvons pas nous y attarder ici. Par conséquent, nous ne donnons une réponse ici que dans les termes les plus généraux.

Sur l’antique proto-religion nous ne savons presque rien aujourd'hui. Il est très probable qu’elle consistait en la déification des ancêtres et les dieux les plus anciens étaient la famille. Les représentants de chaque famille ou clan adoraient leurs dieux-ancêtres.

Le premier grand événement religieux dans l'histoire humaine se reflète clairement dans les sources écrites existantes :  il s’agit de la venue du Christ. Selon la nouvelle chronologie, c’était dans le XIIème siècle [1152-1185] A.D., il y a environ huit siècles et demi. Voir notre livre « Le Roi des Slaves. »
Toutes les grandes religions du monde civilisé sans exception sont, selon notre reconstruction, des branches des mouvements religieux qui ont émergé au XIIème siècle, à l'époque du Christ, et ont d'abord été étroitement associés avec lui.
Ainsi, la nouvelle chronologie déplace le Christ en avant dans le temps de plus de 1000 ans - du Ier   au XIIème siècle A.D.  Mais, relativement, le christianisme est désormais beaucoup plus ancien qu'on ne le pensait. La version incorrecte scaligérienne de la venue du Christ est trop tardive. Dans la nouvelle chronologie, l'histoire Christ se déroule au début de l'histoire écrite.
Nous donnons ici un seul exemple frappant.

Le bouddhisme est généralement considéré comme étant beaucoup plus ancien que le christianisme, mais un examen plus approfondi le révèle être l'une des premières branches du christianisme « ancestral » datant des XIIIème-XIVème siècles. Voir notre livre « Le Roi des Slaves » et [665]. La vie chrétienne du Bouddha fait partie de « Barlaam et Josaphat » [665] et est venue à nous à travers un grand nombre de parchemins dans « plus de trente langues des peuples de l'Asie, l'Europe et l'Afrique ... Sous le nom de Josaphat « L’Histoire ... » ... parle de Gautama Bouddha »[665], p. 3, 13.
Même si la célèbre doctrine bouddhiste de la transmigration des âmes est considérée de nos jours comme soi-disant « à l’évidence orientale, » le sujet a effectivement des racines européennes et a émergé parmi les penseurs grecs « antiques. » À savoir, on croit que la doctrine de la transmigration des âmes a été développée par Pythagore. En Russie et en Europe, la doctrine pythagoricienne de la transmigration des âmes a finalement été rejetée par l'Église chrétienne et oubliée. En Orient, au contraire, elle a fait son chemin et a été adoptée.
La doctrine de la transmigration des âmes est mentionné, par exemple, dans l’écrit médiéval chrétien du béni Épiphane de Salamine, évêque de Chypre, intitulé « [Panarion, ou ] Pharmacie Contre Toutes les Hérésies. » Au Moyen Âge, il était si bien connu qu’il était même inclus dans le Livre de Kórmchaia – Le Livre des Pilotes [recueil de lois séculaires et religieuses]. […] Cette description comporte très clairement les caractéristiques de base de la doctrine indo-bouddhiste de la transmigration des âmes.

vendredi 17 juin 2016

Le Dernier Voyage de la Sainte Famille


Chapitre 1. Inde-Chine

1.1. Les Vallées des Rois égyptienne et chinoise
1.2. Les empereurs Mandchous professaient le bouddhisme - la branche orientale du christianisme impérial, arrivé en Chine à travers l'Inde
1.3. Dans les tombes des empereurs Mandchous du XVIIIème siècle on a découvert des inscriptions en tibéto-sanskrit, décorées dans le style indien. On ne trouva ni inscriptions chinoises, ni inscriptions mandchoues
1.4. La légende tibétaine du chef céleste, le khan Mandchou Kesar (Césarée), et la conquête de la Chine
1.5. Le Tibet - patrie de la dynastie Mandchoue. Le bouddhisme tibétain et l'Orthodoxie
1.6. Les Albaziniens – des cosaques russes en Chine
1.7. Les ancêtres des empereurs mandchous étaient les khans d’Ula [Oulan-Bator date de 1924] - région du Tibet à la frontière avec la Chine [улан = ulan = lancier ; Uhlan, cavalerie légère (lanciers) de Pologne/Lithuanie]
1.8. Origine du nom Mandchou
1.9. La datation astronomique du règne de l'ancien empereur chinois Huang Ti au XVIIème siècle après J.C., et de son petit-fils à l'année 1725 A.D., montre que les première et dernière dynasties des empereurs chinois étaient les dynasties des Mandchous d’Or [comme la Horde d’Or]
1.10. La coutume des nattes tressées chez les hommes à Novgorod, en Egypte « antique » et en Mandchourie
1.11. La langue et l'écriture mandchoues
1.12. Le « frère chinois de Jésus-Christ, » le renversement de Cixi et la fin de la dynastie Mandchoue
1.13. La Chine Mandchoue du XVIIème siècle à travers les yeux des cosaques russes
1.14. Qui étaient les véritables Moghols

Chapitre 2. Le christianisme impérial en Orient

2.1 Le gréco-bouddhisme « Antique » en Inde
2.2. Le christianisme en Chine
2.3. La dalle de pierre antique représentant le baptême de la Chine
2.4. Datation de la plaque
2.5. Les trois pommes d’Hercule et les trois vertus du Christ dans le christianisme impérial
2.6. Koschuny [Кощуны] - anciens contes du christianisme impériale de l'histoire sacrée
2.7. Preuve de la présence du christianisme au début du XVIIème siècle en Chine
2.8. Des « Jésuites » en Chine au XVIIème siècle ont affirmé que le Christ et Confucius sont une seule et même personne
2.9. Les Juifs de l'est
2.10. Où se trouve le tombeau de saint Thomas?

Chapitre 3. Abou Simbel - Shambhala

3.1. Qu'est-ce que Shambhala
3.2. Shambhala - probablement l'Abou Simbel égyptien (« Symbole du Père »)
3.3. Les deux temples d'Abou Simbel - Grand and Petit
3.4. Le grand temple du Saint des Saints. Distorsion et faux à Abou Simbel
3.5. Abou Simbel (Shambhala) - sanctuaire familial du christianisme impérial
3.6. Les temples d'Abou Simbel - symboliques de la tombe de la Sainte Famille. Les reliques dans les églises chrétiennes
3.7. Les cartouches d’Abou Simbel contenant le nom du Christ
3.8. Comment Champollion a lu le nom « Ramsès » au lieu de « Jésus » sur le cartouche d’Abou Simbel
3.9. Les femmes et enfants du Christ-Géant à Abou Simbel. Marie Cléophas et Marie Madeleine. Boris et Gleb. Enée et Créuse.
3.10. Les patriarches bibliques Abraham, Isaac, Jacob et le fondateur du Grand Empire Russe Médiéval Riourik-Énée-Jean-Joseph-Hermès
3.11. Datation astronomique de la guerre de Troie dans les Chroniques d’Ivan le Terrible
3.12. Migration inversée au XVème siècle - l'exode biblique. Moïse-Mahomet-Moschos

Chapitre 4. Divers

4.1. « Moscou » signifie « Chrétien »
4.2. Riourik l’Africain et les trois frères Asan, Afeskhasan, Velikosan, ont fondé l'Etat russe
4.3. Les trois frères (Trinité) [dont descendraient les Scythes] nés de l’union d’une naïade avec soit Hercule soit Zeus - c’est le souvenir de la naissance du Christ en Russie
4.4. Sur l'origine du nom « Italie »
4.5. Rusal [« jour des sirènes » - fête des morts] en Russie ancienne. Sirènes et Géants

http://chronologia.org/how_st_family/index.html