lundi 31 août 2015

La Conquête de l'Amérique par Ermak-Cortes I

http://chronologia.org/ermak_kortes/index.html

Partie 1. La bataille de Koulikovo aux yeux des Grecs « antiques. »

Chapitre 1. La bataille de Koulikovo en 1380 A.D. est décrite par les Grecs «antiques » sous le nom de la célèbre bataille de Marathon prétendument en 490 B.C.

1. Version Scaliger de la bataille de Marathon.
2. La nouvelle datation de la bataille de Marathon.
3. Les vingt-sept réflexions de la bataille de Koulikovo que nous avons trouvées dans l'histoire « antique. »
4. L’« antique » Darius, roi des Perses, a envoyé des troupes contre Athènes. Le Khan Mamaï, seigneur de la Horde, s’oppose à Dimitri Donskoï.
5. Hésitation des Athéniens – faut-il entrer dans une bataille avec les Perses ? Hésitation initiale de Dimitri Donskoï – faut-il se battre avec le Khan Mamaï ?
6. Miltiade se réfère à Callimaque, lui demandant d'aider à vaincre les Perses-Mèdes. Dimitri Donskoï se réfère à Serge de Radonège pour aider à la défaite de Khan Mamaï.
7. Dans la bataille de Marathon, Miltiade est aidé par le dieu Pan, en l'honneur duquel depuis on « court avec des torches. » Dans la bataille de Koulikovo, Dimitri Donskoï est aidé par des armes à feu, que lui a remis Serge de Radonège.
8. Les armes de Dimitri Donskoï sur le champ  de Koulikovo = Marathon sont décrites dans la littérature « antique » comme le « héros Érechthée, » qui a tué beaucoup des Mèdes lors de la bataille.
8.1. Le témoignage de Pausanias.
8.2. Christ - l'agriculteur.
8.3. Avec quelle merveilleuse « charrue » le héros Érechthée a-t-il puni les Mèdes? Très probablement, les armes à feu.
9. Le rêve prophétique d'Hippone, le chef des Perses. Il prédit la défaite des Athéniens.
9.1. L’Histoire d’Hérodote.
9.2. Le rêve prophétique du ciel et les signes donnés avant la bataille à Constantin le Grand = Dimitri Donskoï.
9.3. Pourquoi Hippone, c.-à-d. le Khan Mamaï, rêva-t-il qu'il dormait avec sa mère?
9.4. Qu'est-ce que la dent tombée au sol à cause d'une forte toux?
10. Le Grec « antique » Épizélus [fils de Cuphagoras] et le géant, David et Goliath bibliques, et Oslyabya et ​​Chelubey de la Russie-Horde.
14. Une petite rivière dans le domaine de Marathon et la petite rivière Iaouza à Moscou. Le marécage près du champ Marathon et le marais à Moscou.
15. Enterrement des morts directement sur le champ de bataille.
16. Dimitri Donskoï est lourdement blessé, Miltiade est gravement blessé.
17. Les circonstances de la mort. Les traces de l'histoire dans l'Évangile.
18. Le coureur de Marathon mourant et le coureur de Serge de Radonège, qui avait amené les corps des héros morts.
19. La célèbre « galerie peinte » dans l'Athènes antique – c’est probablement la Cathédrale de l'Archange du Kremlin de Moscou, qui, de haut en bas, est peinte de fresques.
19.1. En l'honneur de la bataille de Marathon = Koulikovo, dans l’« antique » Athènes on créa une grande peinture. C’était probablement l'une des célèbres fresques de la Cathédrale de l'Archange du Kremlin de Moscou.
19.2. La « galerie peinte » de l’« antique » Athènes et la Cathédrale de l'Archange au Kremlin.

Chapitre 2. L’« Antique » mythe de la victoire de Zeus et des Cyclopes sur les Titans comme un reflet de la bataille de Koulikovo en l’an 1380.

1. « Le mythe olympique de la Création » grec.
2. Zeus – c’était Jésus, qui est le Christ-Andronicus. Au nom de Zeus-Jésus, le prince Dimitri Donskoï a vaincu ses ennemis dans la bataille de Koulikovo.
3. Le terrible Tartare de l’« antiquité » –  c’est la grande Tartarie, à savoir la Russie-Horde des XIVème-XVIème siècles.
4. Le dieu Cronos-Saturne dévorant ses enfants et la persécution apostolique des chrétiens dans les XIIIème-XIVème siècles.
5. Le conflit religieux conduit à une grande guerre. Zeus vainc Cronos-Corona.
6. La prévision de la victoire de Dimitri Donskoï et la prévision de la victoire de Zeus.
7. La foudre faite par l’homme. Zeus a remis les Cyclopes au Tartare. Dimitri Donskoï a remis des fusils à Serge de Radonège.
8. Titans, Athènes, Don = Tan, l'Etna et les Cyclopes.
9. Deux Montagnes, où était le siège militaire de Zeus et Cronos pendant la bataille. Les lampes « antiques » de l’Olympe et chrétiennes. Des bougies dans les mosquées musulmanes.
10. La bataille de Koulikovo et les armes de Dimitri Donskoï sont représentées dans le célèbre autel de Pergame dédié à Zeus et la gigantomachie.
10.1. Quel est l’« antique » autel de Pergame?
10.2. Les dieux de l’Olympe de la Grèce « antique » tirent des coups de feu sur les Titans « antiques » avec des fusils et des canons.
11. Cyclopes et Sicile.

Chapitre 3. La bataille de Koulikovo décrite par les Grecs « antiques » aussi sous le nom de la célèbre bataille de Sicile en ~413 B.C.
1. La version scaligérienne de la bataille de Sicile.
2. Le noyau de l'événement.
3. Le décalage chronologique de 1800 ans fait coïncider les dates des batailles de Koulikovo et de Sicile.
4. Le chef de la guerre de Sicile, Nicias, c’est le Khan Mamaï.
5. La chronique de Sicile, les Cyclopes et le champ de Koulikovo.
5.1. L’Histoire de Thucydide.
5.2. Les Cyclopes et la Sicile dans la gigantomachie. Les Cyclopes et la Sicile dans l'histoire de la guerre de Sicile d'Athènes contre Syracuse.
6. L’armée d’agresseurs de Nicias - une énorme armée de professionnels. Le même est rapporté à propos l’armée d’agresseurs du Khan Mamaï.
7. Hésitations initiales dans le camp des Siciliens = ‘Koulikovites.’
8. Signes avant la bataille de Sicile = Koulikovo, favorables aux troupes d'invasion de Nicias = Mamaï.
9. Examen des troupes par Dimitri Donskoï avant la bataille de Koulikovo, et examen par Hermocrate des troupes siciliennes avant la bataille de Sicile.
10. Duel avant la bataille de Koulikovo et duel avant la bataille de Sicile. Les deux duellistes sont tués au combat.
11. Le biblique Goliath se moque des Israéliens, et les Athéniens se moquent du Sicilien Gylippe avant la bataille finale.
12. Les armes à feu sur le champ de bataille de Sicile et les armes sur le champ de Koulikovo.
12.1. Des machines à bois et une énorme flamme.
12.2. Tronc d'arbre creux « antique, » entouré de fer et crachant une énorme flamme.
12.3. Machines de siège, le feu de métal, et une force surhumaine.
12.4. Palissade avec des arbres abattus et le feu sacré de la palissade, pour arrêter l'ennemi.
13. La défaite de Nicias, Mamaï. La victoire des Siciliens = ‘Koulikovites.’
13.1. Le témoignage de Plutarque.
13.2. Le témoignage de Thucydide.
13.3. Comparaison des versions de la Grèce « antique, » de la Russie, et de la Bible.
14. Trahison des « antiques » habitants de Kamarina dans la Grèce « antique » et la trahison du prince Oleg de Riazan.
15. Un autre reflet de la bataille de Koulikovo – la guerre de Décélie.

Chapitre 4. De faibles traces de la conquête Ottomane = Ataman des XVème-XVIème siècles dans les annales des « Grecs antiques. »
1. Peste.
2. L'armée, soudainement noyée dans la mer.

dimanche 23 août 2015

Un Château Templier à Hokkaido, Japon?

http://bernshtam.name/?page_id=529

Ce voyageur russe pense être tombé sur les ruines d'un château des Templiers lors d'un voyage dans l'île nord du Japon. [En fait, il n'est pas clair où ça se trouve exactement. Le nom indiqué "ressemble" à Asahikawa, à l'intérieur d'Hokkaido, mais ça n'est pas consistant avec son récit.]


A l'évidence, ce n'est pas un château de style japonais.






Ensuite, le voyageur explique qu'il a vu à l'intérieur du temple ci-dessus - mais n'a malheureusement pas pu photographier - un blason représentant deux samouraïs sur un seul cheval! Comme celui-ci:


Et à l'extérieur [c'est lui qui a dû rajouter les lettres a posteriori]:



Sa thèse? Ce nom ferait référence à Géraud de Châteauneuf, l'un des douze hauts templiers qui a disparu, et était en charge...de leur marine. Voir le livre d'Heinrich Finke, Papsttum und Untergang des Templerordens.

jeudi 20 août 2015

Les Cathares V

7.10. Le croissant et l’étoile Ottomans = Atmans sur les chevaliers médiévaux et les armes des villes de l'Europe de l'Ouest.

Il se trouve que le croissant Ottoman = Atman avec l'étoile est présent sur beaucoup de chevaliers médiévaux, d’armes de villes et d'autres en Europe occidentale. Voici ce que nous avons dit dans HRON4, HRON5 et HRON6, chapitre 5:12. Certains nouveaux exemples nous les fournissons sur les fig.9.54, fig.9.55, fig.9.56. En outre, sur les armoiries françaises on trouve souvent des caractères « mongols, » comme l'aigle impériale bicéphale et le lion se tenant sur ses pattes arrière, qui est sur le blason impérial de la ville de Vladimir = Posséder le Monde [1477], [1331].


Sur les fig.9.57, fig.9.58 et fig.9.59 est la célèbre tapisserie française médiévale « La Dame à la Licorne, » attribuable à la fin du XVème siècle. Le croissant Ottoman = Atman apparaît ici comme le personnage principal. Nous le voyons sur les panneaux, sur des banderoles, des drapeaux, sur le dessus de la tente.




Sur la fig.9.60 nous montrons une gravure ancienne – « guerre fratricide en France XIV siècle. » [264], livre 1, s.778. À côté du chevalier français sur la droite on voit le croissant Ottoman = Atman. Nous soulignons encore une fois ce que représente une guerre fratricide en Europe.
Il est clair qu'à cette époque le croissant est très vénéré en France.


Sur la fig.9.61 nous montrons le blason présent dans plusieurs endroits sur les murs de l'ancien château de la ville espagnole de Peniscola. 
On croit que le château a été construit autour du XIVème siècle. Le vieux blason est très intéressant. En haut – la mitre épiscopale ou cardinalice chrétienne, sur les côtés – les clefs de saint Pierre, qui sont aussi un symbole chrétien très bien connu. Mais dans le centre de l'emblème, pour ainsi dire à la place d'honneur, on voit le croissant Ottoman = Atman. Sous celle-ci était clairement encore une certaine image, mais elle est en quelque sorte effacée ou détruite. Cette combinaison montre clairement que tous ces personnages ont été réunis sous le même culte. L’opposition au croissant est venue beaucoup plus tard, après le schisme du christianisme dans les siècles XVI-XVII en plusieurs branches.

Sur la fig.9.62 nous montrons un manteau militaire, surmonté d'un croissant de lune avec une croix. 
Et la fig.9.63 présente un autre manteau militaire, où entre les « cornes » du croissant est placée une véritable étoile. Nous voyons que la croix et l'étoile sont simplement des images différentes d'un même personnage. Ainsi, les « cornes » sur les casques des chevaliers médiévaux sont un croissant de lune, le symbole de la célèbre Tsar-Grad.


Pour tenter d'expliquer la généralisation croissant avec une étoile Ottomans = Atman en Europe occidentale, où cela - selon la version Scaliger – « ne pouvait pas être, » les historiens ont mis au point une « théorie. » Voilà son essence. Au Moyen Âge on aurait pratiqué la coutume suivante. Dès que tout État ou armée en avait vaincu un(e) autre, les vainqueurs inséraient immédiatement les symboles des perdants dans leurs symboles nationaux ou religieux. Pour la mémoire, disent-ils. Par exemple, aujourd'hui, on nous dit parfois que la présence du croissant ottoman sur de nombreuses croix russes - au pied de la croix, voir HRON4, chapitre 10:2 – s’explique « simplement. » À la suite de la victoire du christianisme sur l'islam dans certaines guerres, on a mis la demi-lune des vaincus sur la croix chrétienne. En mémoire de la victoire.
Nous considérons que cette « théorie » est extrêmement tirée par les cheveux. Par exemple, la coalition anti-hitlérienne des pays a permis de gagner la Seconde Guerre mondiale contre Allemagne. Mais ni la Russie ni les États-Unis, ni la France, ni l’Angleterre ne sont venus avec l'idée folle d’élever la croix gammée sur leurs drapeaux, emblèmes, etc… Dans l'histoire militaire authentique, c’est tout à fait le contraire. Les gagnants lancent triomphalement les drapeaux et emblèmes des vaincus aux pieds de leurs chefs. Par exemple, au mur du Kremlin à Moscou lors de la parade du Jour de la Victoire en 1945. Mais les soldats vainqueurs ne portent certainement pas sur leur poitrine, en permanence, les insignes de l'Ordre et des ennemis vaincus.

Donc, une fois de plus. Dans le cadre de notre reconstruction, la présence du croissant avec une étoile Ottoman = Atman dans les armoiries ou tout autre symbole médiéval est une chose très simple. Cet état, région, ville, etc. faisait partie, à l'époque, du Grand Empire « Mongol. » Dont un des symboles officiels était le croissant Ottoman = Atman. Avec l’étoile.

7.11. Pourquoi les Cathares ont été accusés de « culte du diable. »

Une nouvelle compréhension de l'histoire des Cathares = Scythes vous permet de voir une autre distorsion tendancieuse. Aujourd'hui on nous dit que les Cathares adoraient le Diable comme leur Dieu. Ils étaient donc de vilains hérétiques, et c’est correctement qu'ils ont été détruits.

À cet égard, nous attirons l'attention sur le fait que dans l'Ancien Testament, Israël et les rois de Judée sont souvent accusés d’adorer le dieu Baal. C.-à-d. Théos Baal, De-Baal [Diable], duquel on passe facilement au mot « diable. » La plupart de ces charges sont concentrées dans le Livre des Juges, Samuel et Chroniques 3-4. Cela est évident, par exemple, dans l'index de la Bible [670]. Ces livres de l'Ancien Testament semblent avoir subi une très forte pression éditoriale au cours de la Réforme, et reflétaient le plus les vues de ceux qui ont soutenu cette Réforme.
Les mentions de Baal sont constamment trouvées dans le livre des Juges de l'Ancien Testament (2:11, 2:13, 3:7, 6:25, 6:30-32, etc.). On parle de Baal et d’Astarté (Juges 3:7)…

Apparemment, dans les siècles XIII-XVI en Europe de l'Ouest, le mot D-Vaal = Dieu Vaal = Dieu Baal = Dieu des Bulgares, c’est le Dieu des Cathares-Scythes = Dieu Volgar = Dieu de Babylone = Dieu Blanc, c.-à-d. le Dieu la Horde Blanche, qui a été appelé le Dieu du Grand Empire « Mongol. » C’était la religion de l'Empire à cette époque - le christianisme orthodoxe - répartie sur tout son territoire, y compris ceux d'Europe occidentale. Par ailleurs, comme nous l'avons dit, le nom de Jésus = ASA a probablement donné lieu au nom de l'ensemble de l'Asie [AZII].

Mais au XVIème siècle en Europe occidentale c’est la mutinerie de la Réforme. Les rebelles ont commencé à combattre les gouverneurs non seulement avec l'Empire, mais aussi avec sa foi orthodoxe. Apparemment, le D-Baal orthodoxe = Theos-Baal = Dieu des Bulgares = Dieu des Volgars [de la Volga],  ils l’ont annoncé comme étant un « mauvais dieu, » « un dieu des mauvaises personnes. » Peut-être, à partir de ce moment le mot D-Baal a acquis en Europe occidentale un sens négatif. À la fin du XVIème - début du XVIIème siècle, on a attribué au De-Baal toute la laideur que vous pouvez penser…

Ces accusations du Livre des Juges de l’Ancien Testament - en partie originaires de l'Europe occidentale - sont en train de devenir apparentes. Nous avons trouvé qu'elles décrivent certains des événements de la Réforme, comme la guerre contre les Cathares = Scythes. Voilà sur les événements du XVIème - début du XVIIème siècles.

Aujourd'hui, on nous explique que les Cathares croyaient à la fois en Dieu et au Diable. Mais « la théorie du dualisme Cathare » peut avoir son origine seulement dans la fin du XVIème – début du XVIIème siècle, lorsque les historiens et les éditeurs scaligériens ont habilement remplacé le concept. En fait, les Cathares = Scythes croyaient probablement simplement en Dieu-Christ, qui a été appelé Dieu des Bulgares = Dieu des Volgars.

Notre pensée est : à l’époque impériale des XIIIème-XVIème siècles, D-Baal voulait dire Dieu  des Bulgares. Qui était adoré par les Cathares. Et alors seulement, après la victoire de la Réforme, les Cathares ont été accusés d'adoration du diable. Pour ce faire, on a déclaré que le D-Baal était un « mauvais dieu, » le diable.

Très probablement, les textes bibliques originaux parlaient de D-Baal, le Dieu Blanc, positivement. Les Rédacteurs de la fin du XVIème - début du XVIIème siècle ont remplacé les caractéristiques positives en négatif. Dans le même temps, ils ont essayé de transformer le D-Baal en quelque dieu païen inconnu (3 Rois 18)…

Il est intéressant de noter que dans ce passage de la Bible d’Ostrog ont été conservées des traces de l'ancienne attitude positive face à Baal. Le sens du texte est: « Qui lui a fait offense [Baal], qu’on le laisse mourir. »

…Les nouvelles idées réformistes sont mises en œuvre activement dans la conscience publique, avec l'aide d'un Ancien Testament « rénové. » En conséquence, les croisés catholiques des XVIème-XVIIème siècles ont commencé à nettoyer l’Europe occidentale de l'Église orthodoxe « Mongole » - y compris des Scythes = Cathares - pour ainsi dire « légalement. » Ils comptaient sur l'autorité de l'Ancien Testament…

Certains détails de l'impitoyable défaite des Cathares = Scythes de la fin du XVIème - début du XVIIème siècle se trouvent probablement sur les pages des livres bibliques des Rois 3 et 4. Mais alors, comme toute la Bible, ils ont été habilement mentionnés dans un passé profond. Par exemple, la Bible dit que le prophète Elie dit à Achab, roi d'Israël, « Rassemblez-moi sur le mont Carmel ... quatre cent cinquante prophètes de Baal » (3 Rois 18:19).
Puis ils ont testé et prouvé de façon convaincante que la foi en Baal, qui est le Dieu Blanc ou Bulgare, est très mauvaise. Après cela, « dit Eli ... Saisissez les prophètes de Baal. Ne laissez pas l'un d'eux s’évader. Ils les prirent. Élie les fit descendre au torrent de Kison, et les égorgea là. » (3 Rois 18:40).
Vraisemblablement, aucun d'entre eux n’en réchappa…
Le « nettoyage » des pays d'Europe occidentale de la religion de Baal, selon le récit biblique, fut donc terminé. Le roi d'Israël, Jéhu, a dupé tous les prophètes de Baal dans le temple, et a ordonné de les tuer tous jusqu'au dernier (4 Rois 10:24)…

7.12. Bref historique de la reconstruction Cathare.

1) Les Cathares Bulgares – ce sont les Scythes de la Volga venus en France au XIVème siècle, de la Russie-Horde, lors de la grande conquête « mongole. » Ils se sont installés ici et ont créé, en conquérants, la classe dirigeante. Leur religion était chrétienne, l'ancienne orthodoxie.

2) À l'ère du Grand Empire « Mongole » des XIVème-XVIème siècles, les Cathares = Scythes se sont partiellement mélangés avec la population locale, ont créé une culture unique et construit leurs villes, cathédrales, châteaux, dont certains encore aujourd'hui continuent à s’appeler Cathares.

3) À la fin du XVIème - début du XVIIème siècle, lors de la rébellion de la Réforme en Europe de l'Ouest, les Cathares = Scythes ont été vaincus dans une guerre civile lourde et sanglante.

4) Lors de l'écriture de leur manuel d'histoire scaligérienne, les XIVème-XVIème siècles ont été « exilés » aux XIème-XIIIème siècles. La substitution a eu lieu dans les XVIIème-XVIIIème siècles. Il a alors été annoncé que les cathédrales gothiques Cathares = Scythes du XIIIème siècle - qui est le moment de leur construction – ont prétendument toujours été « vraiment Catholiques. » Dans le nouveau sens, celui de la Réforme. C’était faux. La religion des Cathares = Scythes qui était l’orthodoxie des Bulgares de la Volga a été déclarée une « hérésie, » une « mauvaise religion. »

5) Certains des plus brillants événements de l'histoire des Cathares = Scythes étaient alors sur les pages de la Bible. Par exemple, l'histoire du comte Simon= Osman de Montfort = Pyrrhus = Abimélec, brièvement décrite dans le livre des Juges de l’Ancien Testament (chapitre 9).

Nous devons rendre hommage aux historiens du XVIIème siècle. Ils ont effectué un effort concerté et bien organisé pour fournir un ordre cohérent des nouveaux régents, arrivés au pouvoir illégalement en Europe occidentale et en Russie dans le XVIIème siècle. Ils ont réussi, quoique avec difficulté, une entreprise de grande échelle. Il est impossible de complètement effacer la mémoire des peuples des souvenirs du Grand Empire « Mongol » des XIIIème-XVIème siècles, les historiens des XVIIème-XVIIIème siècles ayant fait une substitution des dates en catimini. Ils ont « exilé » l’Empire dans le passé lointain…

http://www.chronologia.org/xpon6/x6_09_07.html

mercredi 19 août 2015

Les Cathares IV

7.7. Des croix Cathares = Scythes dans les églises gothiques de France.

C’est très ostensiblement qu’à ce jour, dans certaines cathédrales gothiques de France, on conserve l'image de croix Cathares = Scythes, qui sont de larges croix orthodoxes inscrites dans un cercle. Elles sont représentées sur les sculptures en pierre, sur les mosaïques, les vitraux. Par exemple, dans la célèbre cathédrale médiévale de Notre-Dame de Paris, ces croix ornent la colonne principale à l'intérieur de l’église. Et ces croix Cathares sont même sous deux formes : comme une croix à plat, et comme une en relief convexe fig.9.35


La croix Cathare sur des vitraux de la cathédrale. Mais comment ? Aujourd'hui, on nous explique avec autorité que la croix Cathare est hérétique, une croix mauvaise. Alors pourquoi étaient-ils fiers de montrer des croix Cathares = Scythes orthodoxes sur les colonnades de Notre-Dame ? L'une des églises les plus importantes, non seulement à Paris - la capitale française - mais aussi en général dans toute la France. Aujourd'hui, il est considéré que la cathédrale a été construite principalement à partir du XIIIème siècle. Ils l’ont construite à l’époque de la lutte avec les Cathares. Donc, ils se battent contre les Cathares et en même temps couvrent les murs de leurs églises de croix de ces mêmes Cathares ?

Notre reconstruction élimine immédiatement cette bizarrerie. Comme nous l'avons expliqué, la croix Cathare est généralement une croix orthodoxe inscrite dans un cercle-halo, celui autour du visage de Jésus-Christ. Il n'y a rien hérétique là-dedans, bien sûr. Ni dans l'antiquité, ni maintenant. Au contraire, dans les siècles XIV-XVI, c’était, pour ainsi dire, la croix impériale officielle. Plus précisément, l'une de ses variantes. Notre pensée est très clairement confirmée par d'autres images de la même Notre-Dame. Dans ses galeries latérales, à droite et à gauche de l'autel, sont conservées de nombreuses sculptures médiévales de scènes de la vie de Jésus-Christ. Le groupe sculptural situé au fond d'un mur est recouvert d'un motif. Donc, le dessin et la sculpture fusionnent en une image artistique unique. Il est remarquable que sur la gauche – à l'entrée - le mur derrière la tête de Jésus-Christ, chaque image est de la croix Cathare. Par conséquent, lorsque vous regardez une sculpture, vous voyez la tête du Christ, entourée d'un nimbe, qui est inscrit dans la croix. Le résultat est une image classique de l'orthodoxie canonique. La croix Cathare autour de la tête du Christ est visible distinctement ici dans les scènes suivantes: L'Adoration des Mages, Les Noces de Cana, L’Entrée à Jérusalem, la Cène, Jésus lave les pieds de ses disciples [1 336] s.16-18. Voir. fig.9.36.


En outre, on voit pratiquement le même au-dessus de l'entrée principale de la cathédrale de Notre-Dame. Sur le portail central du Jugement Dernier se dresse une sculpture du Christ. Derrière sa tête sur le mur de la cathédrale on montre à nouveau une croix Cathare en pierre.
Par conséquent, il est clair que la croix Cathare dans la cathédrale Notre-Dame est juste une des formes canoniques de la croix orthodoxe. Rien d'étonnant ici. Selon notre reconstruction, la cathédrale de Notre-Dame a été construite comme une cathédrale orthodoxe impériale Cathare = Scythe des XIIIème-XVIème siècles. En France - l'une des zones du Grand Empire « Mongol. » Pendant la rébellion de la Réforme elle est devenue une nouvelle église catholique et ils ont annoncé que les Cathares = Scythes étaient tous de « mauvais » hérétiques. Et ils ont interprété la croix orthodoxe comme un symbole de « l'hérésie. » Ils ont projeté leurs péchés sur les autres.

Ensuite les « hérétiques » ont été détruits. Ils ont détruit les châteaux, brûlé les livres. Mais pour quelque raison la croix orthodoxe Cathare n’a toujours pas été retirée des murs de la cathédrale de Notre-Dame. Aujourd'hui, il est difficile de dire pourquoi…
Incidemment, l'architecture de Notre Dame, fig.9.37, est comme celle de la cathédrale de Cologne en Allemagne. Très probablement, ces deux cathédrales - comme d’autres églises gothiques = Goths de l'Europe occidentale - ont été construites comme des temples/églises du Grand Empire « Mongol » à l’ère des XIVème-XVIème siècles.

Le résultat d'une compréhension claire de l'histoire des siècles XVI-XVII devenant l'idée suivante. Si les croix Cathares = Scythes étaient un symbole de la religion orthodoxe du Grand Empire, les rebelles de la Réforme ont commencé à en introduire une nouvelle, les catholiques réformistes étaient, par conséquent, de très réels schismatiques, les apostats de la vraie foi. Ils étaient, tout simplement, des hérétiques. Nous commençons à comprendre que les historiens scaligériens ont, non sans raison, délibérément tourné « à l'envers » les aspects religieux de l'histoire de la Réforme. Les rebelles, les apostats de la vraie foi ancienne, ont été déclarés « bon. » Et ceux qui sont restés fidèles à l'orthodoxie ont été labellisés «mauvais hérétiques. » En d'autres termes, ils ont changé le noir en blanc et vice versa. La méthode habituelle.

Apparemment, le nouveau catholicisme réformiste du XVIème siècle a cherché à se séparer rapidement de la foi catholique orthodoxe. À cette fin, il y a eu des changements importants dans l'Église de l'Europe occidentale. Y compris la levée de l'interdiction des images naturalistes du corps humain nu et à moitié nu, à la fois dans le domaine séculier et dans la peinture d'Église. Ce qui était strictement interdit dans le christianisme et l'islam. Par conséquent, de nombreuses peintures et sculptures de ce genre - y compris celles « antiques » - qui maintenant remplissent les musées occidentaux – n’existent probablement seulement que depuis la Réforme de la fin du XVIème - début du XVIIème siècle. Les historiens scaligériens ont alors déclaré ces œuvres  « très vieilles. » Pour se défaire de l’accusation de ‘dangereux hérétiques,’ ils ont poussé loin dans le passé les violations manifestes de l'orthodoxie canonique du Grande Empire « Mongol. »

Au pied du monument aux Cathares = Scythes, près du château de Montségur, à notre époque - nous étions là en 1997 - est une petite pierre plate sur laquelle sont gravés les mots de Bacon : « L’hérétique n’est pas celui que brûle le bûcher, mais celui qui l’allume. » fig.9.38. En plus de la signification philosophique, investie par Bacon, aujourd'hui ces mots prennent un autre sens – littéral cette fois. En effet, ils ont brûlé sur le bûcher les Cathares = Scythes orthodoxes. Mais les rebelles ont allumé le feu de la Réforme, et ces « nouveaux catholiques » devraient maintenant, à juste titre, être appelés des hérétiques.


7.8. La bannière Cathare = Scythe sur les blasons des régions et villes françaises et espagnoles, et aussi sur les cartes de différents pays.

Nous avons rencontré la bannière des Cathares = Scythes lors d'une visite au château de Montségur. Au pied du monument aux Cathares = Scythes brûlés, nous avons vu la place de la couronne mortuaire – un tissu rectangulaire tissé de fleurs. Elle montre plusieurs bandes verticales de largeur égale, jaunes et rouges, fig.9.39. À notre question – qu’est-ce que c’est? – la  réponse : la bannière Cathare.

Ensuite, lors de l'analyse de l'histoire des Cathares = Scythes, nous avons vu l'emblème de la région du Roussillon. Il s’avère que c’est simplement la bannière des Cathares = Scythes. Les mêmes bandes verticales, jaunes et rouges, de largeur égale, et alternant, fig.9.40. Cela est tout à fait naturel. Puisque, comme nous l'avons dit, la région du Roussillon – c.-à-d. les Lions Russes, ou les Alanis Russes – en Europe occidentale a été l'une des plus Cathare = Scythe. La bannière Cathare = Scythe se trouve sur les armes du Comté de Foix dans le sud de la France, fig.9.41. La même coloration jaune-rouge et la même disposition verticale des bandes. Le Comté de Foix était connu comme une région Cathare = Scythe [1 020]. La bannière des Cathares,  nous pouvons la voir sur les armoiries de Roger I, comte de Foix, fig.9.42.


Les Cathares = Scythes étaient fréquents en Espagne. Par exemple, l'Aragon espagnol a été l'un des domaines très importants des Cathares. Et en conséquence, le blason d'Aragon coïncide également avec la bannière des Cathares = Scythes fig.9.43. Il est inclus également dans le et les armes de certaines villes et villages aragonais. Par exemple, fig.9.44, l’emblème de la ville espagnole de Torreciudad. Sur la fig.9.45 on voit le blason de l’Aragon sur une carte prétendument des années 1582-1624 dans l’Atlas Blau [1036] s.130-131.La  grand bannière Cathare = Scythe est placée sur les armes de gauche. En outre, deux croix et deux drapeaux Cathares forment le deuxième blason, plus petit et placé en bas à droite du centre de la carte fig.9.45.



Le drapeau et les armoiries des Cathares sont présents sur les cartes de nombreux autres pays, tant européens qu’à l'étranger. Sur fig.9.46 est un fragment d'une carte de l'Italie en 1640 de l'Atlas Blau [1036] s.116-117. Il est entouré par des emblèmes des régions italiennes. Parmi eux, nous pouvons voir deux blasons avec le drapeau Cathare – des bandes de rayures verticales rouge et jaune, fig.9.47




















La moitié droite de la carte italienne, de l'autre côté du golfe de Venise, contient la Dalmatie, où nous voyons aussi un grand blason, qui comprenait le drapeau Cathare fig.9.49 et fig.9.48.



Le drapeau Cathare rayé rouge-jaune est présent sur la carte de l'île de Sicile en 1635 de l'Atlas Blau [1036] s.118-119. Voir. fig.9.50 et fig.9.51.



7.9. Le croissant et l’étoile Ottomans = Atmans sur le sceau de Raimond VII – Comte de la ville française de Toulouse.


Raymond VII est devenu le comte de Toulouse supposément en 1222 [1020], p.31. Il a été aussi un personnage bien connu de la période de la guerre avec les Cathares et est passé au premier plan peu après la mort de Simon de Montfort, qui a été tué prétendument en 1218. Contre Raymond VII a été entreprise une croisade, et Raymond VII << a été déclaré « ennemi du roi et de l'Église » >> [1020], p.28. Ensuite, prétendument en 1229, comme « comte de Toulouse il a été contraint de prendre part à la lutte contre l'hérésie cathare » [1 020], p.29. Il est mort soi-disant en 1249. Deux de ses sceaux ont survécu jusqu’à nous, nous les donnons sur les fig.9.52 et fig.9.53. Sur les deux sceaux sont absolument clairement visibles le croissant et l’étoile Ottomans = Atmans. Notre reconstruction donne une bonne explication de ce fait. Le fait est que Toulouse, ainsi que toute l'Europe occidentale de cette époque, faisait partie de l’Empire « Mongol » de la Horde Ottomane = Atman.

Les Cathares III

7.5. Le comte Simon de Montfort dans la Bible comme le roi Abimélec, et l’« antique » Plutarque en tant que commandant Pyrrhus.

Le comte Simon de Montfort est le plus célèbre personnage de la prétendue guerre Cathare du XIIIème siècle, le vainqueur des Cathares. Il est aussi appelé Simon le Fort [1020], p.27. On croit qu'il a mené la plus grande croisade contre les Cathares et les défit dans une série de batailles féroces et lourdes [en 1020]. Cependant, la victoire était loin d'être définitive. La guerre contre les Cathares = Scythes a continué longtemps après la mort du comte…

Simon-Osman de Montfort a été tué au siège de la ville de Toulouse supposément en 1218 [1020]. Son décès est survenu dans des circonstances uniques qui méritent une discussion séparée. Pendant le siège de Toulouse « une pierre jetée par une baliste frappa Simon de Montfort à la tête » [1020], p.27. Une autre présentation de l'histoire va comme ceci : « Il a été tué par une pierre, lancée par une machine de guerre montée en position centrale sur les fortifications de Toulouse, et opérée, selon la tradition, par des femmes et des filles » [1020], p.27. Le chroniqueur Pierre des Vaux de Cernay ajoute : « Et la pierre est allée directement sur lui au bon endroit, et a frappé le comte exactement sur son casque d'acier, au point que ses yeux, son cerveau, ses dents, son front et sa mâchoire ont été brisés en morceaux. Il s’est effondré sur le sol, mort, noirci et sanguinolent, » [1020], p.27.

Pour autant que nous sachions, dans toute l'histoire de Scaliger de l’Europe médiévale, il n’y a aucune autre affaire aussi médiatisée d’un célèbre commandant ayant été tué dans la bataille par une pierre lancée par des femmes ou une femme…
Il est à noter que la baliste – une catapulte militaire – en anglais sonne comme Mangonel [1020], p.27. Et ‘mangonneau’ en français = « arme de jet médiévale type catapulte. » Est-ce à dire que, à une époque, ces véhicules militaires ont été appelés en Europe simplement ‘mongole’ ? Il est donc possible que Simon-Osman de Montfort a été assassiné par un instrument mongol…
Mais revenons à la partie principale de l'histoire populaire - une pierre lancée par des femmes, ou une femme.

Tournons-nous maintenant vers le monde « antique. » Tout au long de l'histoire « antique » il n'y a qu'un seul cas où un commandant éminent a été tué par une pierre jetée par une femme, la pierre ayant frappé à la tête. C’est le fameux Pyrrhus « antique. » Il est décrit dans les sources « antiques »  comme le plus grand commandant macédonien. Voici comment Plutarque raconte la mort de Pyrrhus lors de l'assaut sur la ville d'Argos. Une vieille femme, résidente d'Argos, « avait pris part à la bataille (à partir de la fenêtre de sa maison - NdA), et quand elle a vu que son fils était entré dans le combat contre Pyrrhus ... elle a arraché des bardeaux de toit et des deux mains, les jeta sur Pyrrhus. La tuile le frappa à la tête et brisa les vertèbres du cou, » [660], Volume 2, p.64. Mortellement blessé, Pyrrhus tomba de son cheval et mourut.

Nous passons maintenant à la Bible. Tout au long de la Bible, il n’y a qu’une référence à un cas dans lequel un célèbre commandant a été tué par une pierre lancée par une femme qui l'a frappé à la tête. C’est le roi biblique Abimélec.
Voici ce que dit le livre des Juges, dans l'Ancien Testament. La femme - une résidente de la ville de Thébets regarda la bataille d'une fenêtre de la tour, vit les soldats assiégés par Abimélec (Juges 9: 51-53). « Et Abimélec vint à la tour et lutta contre elle ... Puis une femme jeta un fragment de la meule sur la tête d'Abimélec, et cassa son crâne » (Juges 9: 52-53). Abimélec, mortellement blessé, meurt.

Ainsi, nous avons trois descriptions remarquablement similaires d’un événement unique : un commandant célèbre, assiégeant une ville, est tué par la main d’une femme lui jetant une pierre depuis la muraille ou la tour d’une ville… Nous affirmons que nous sommes face à trois descriptions différentes des mêmes événements réels du Moyen Âge, produites soit dans les XIIIème-XIVème siècles, soit dans le XVIème siècle…
Différents chroniqueurs, apparemment polyglottes, ont appelé le même général différemment. Certains ont enregistré son nom en tant que comte Simon = Osman de Montfort. Un autre a écrit : le chef militaire macédonien Pyrrhus. Un troisième - le roi Abimélec. Quant au nom de Montfort et le nom de Pyrrhus [Pierre], ils veulent dire la chose suivante. Il se trouve que dans les sources françaises il est dit que de Montfort était le Seigneur Epernon [1020], p.27. En outre, la ville de Toulouse, où mourut Osman de Montfort est située tout près des Pyrénées. Par conséquent, l’« ancien » nom Pyrrhus peut être dérivé soit du nom Epernon, soit du nom des Pyrénées. Cela indiquant l'emplacement approximatif de l'événement. Si nous traduisons le titre : Mont = montagne, Fort = Forteresse, Epernon = Pyrénées - vous obtenez une expression compréhensible, « Seigneur de la montagne forteresse des Pyrénées. »

Maintenant, tournons-nous vers le nom de la ville, où mourut le roi biblique Abimélec. Dans la Bible, la ville est nommée Thébets, en hébreu TVTs ou TBTs (Juges 9:50). Mais c’est évidemment le Toulouse français. Le fait est que les lettres V et L sont écrites de manière très similaire, surtout en sténographie, à la main. La seule différence réside dans le degré d'inclinaison du trait droit. Les lettres hébraïques B / V [Б/В] et L sont également très similaires. Idem des lettres U et V. Ce qui a fait du nom de Toulouse Tovlovz ou TVZ. Ainsi, la ville biblique de Thébets est susceptible d’être la ville française Cathare = Scythe de Toulouse. Cependant, le Toulouse français, apparemment, est déjà mentionné dans le Livre des Juges et en texte brut. Déjà dans le premier chapitre il est dit : « Je suis allé à la terre des Hittites (les Goths - NdA), et ai bâti une ville, appelée du nom de Luz. Voilà son nom jusqu’à ce jour » (Juges 1:26).

La ville de Plutarque, où Pyrrhus a été tué, est appelée ARGOS [660], Volume 2, p.64. Mais le mot ARGOS est très proche du nom Saragosse en espagnol, qui, à son tour, est presque identique au nom de Carcassonne. Voir ci-dessus. Ainsi, l’« antique » Plutarque donne le lieu de décès de Pyrrhus, qui est Simon de Montfort, non pas à Toulouse, mais situé à proximité de la ville Cathare = Scythe de Carcassonne. Ou l'espagnole Saragosse. Le nom de la ville est Argos. Mais il semble qu’ARGOS soit connu comme la région espagnole d'Aragon ! Par ailleurs, après avoir lu la biographie de Simon de Montfort, il devient clair pourquoi l’« antique » Plutarque a indiqué Carcassonne et pas Toulouse. Le fait est que le corps de Simon de Montfort, après sa mort, a été transporté dans la ville de Carcassonne, où il a été enterré [1020], p.28. Ainsi, l’« antique » ARGOS de l’« antique » Plutarque – c’est la ville Cathare = Scythe de Carcassonne. Maintenant, il est très intéressant de regarder de près d'autres événements « anciens » qui ont eu lieu dans la célèbre ville « antique » d'Argos.

Revenons à la Bible. Le Biblique Abimélec, qui est Simon de Montfort, fait d'abord une guerre difficile contre les habitants de la ville de Sichem (Juges 9:1 et après), et surtout contre les tours de Sichem (Juges 9:47, 9:49 et suivants). C’est très curieux cette indication de la Bible que « les habitants de Sichem ont monté contre lui une embuscade sur le sommet de la montagne » (Juges 9:25).
C’est bien cohérent avec le fait que de nombreux châteaux Cathares = Scythes sont effectivement construits au sommet des montagnes et des rochers [en 1020].
Et le nom biblique des tours de Sichem, en hébreu MGDL SKM ou ShKhM, c’est probablement le plus célèbre des châteaux Cathares = Scythes, celui de Montségur, construit au sommet d'une montagne, fig.9.28… Il est remarquable que la montagne est encore appelée POG, à savoir « rocher au sommet » [1020], p.47. Peut-être que le nom vient du slave POG = bourgeon…


...
Dans les guerres albigeoises, c'était souvent le cas que  certains « Mongols » tuent d'autres « Mongols. » Ceci est probablement la raison pour laquelle l'attitude de la Bible face au comte Simon de Montfort / Abimélec est ambiguë. Elle finit son histoire avec les mots: « Ainsi Dieu a rendu la méchanceté de Abimélec, ce qu'il a fait à son père en tuant ses soixante-dix frères » (Juges 9:56). 
On voit que l'expression bien connue « victoire à la Pyrrhus » devient maintenant beaucoup plus intense. 

En Novembre 2001, un des auteurs de ce livre (A. T. Fomenko) a visité Carcassonne, la Basilique de Saint- Nazaire, fig.9.32, où l'on croit qui était autrefois la tombe originale de Simon de Montfort. 


Aujourd'hui, il est plus là, mais dans le temple est préservée la pierre tombale fig.9.32b, fig.9.32f. 



Le guide officiel de la cathédrale rapporte avec parcimonie ce qui suit : << Pierre tombale de "Simon de Montfort," le chef de la croisade des Albigeois, le vicomte de Béziers et Carcassonne, tué en 1218 pendant le siège de Toulouse. Il a d'abord été enterré ici, maintenant à Monfort l'Amaury, où son fils a déplacé le corps >>. 

...

Le livre [1 028: 1], détaille l'histoire des Cathares. Dans le chapitre consacré à Simon de Montfort, il signale son enterrement dans la cathédrale principale de St.Nazaire et on trouve une photographie de la pierre tombale de Simon de Montfort, ris.9.32 d. 

Il souligne que la plaque est maintenant dans la cathédrale St.Nazaire de  la ville de Carcassonne : "Son corps a été transporté à Carcassonne pour l'enterrement à Saint-Nazaire. Sa pierre tombale, vous pouvez maintenant la voir ici" [ 1 028: 1], p.31. Le livre a été publié en 2001, qui est précisément l'année où nous avons visité la cathédrale. Mais aujourd'hui, cette dalle n'est plus dans la cathédrale de St.Nazaire! Peut-être a-t-elle été déplacée à un autre endroit ? Par ailleurs, la plaque représentée sur la ris.9.32 d, donne également l'impression d'une réplique tardive.  Quoi qu'il en soit, aujourd'hui, dans la cathédrale, sur le mur, est tout à fait une autre plaque, que nous avons décrit en détail ci-dessus.

Fig.9.32 e nous présentons une image de l'artiste défunt Jean-Paul Laurens, représentant la mort de Simon de Montfort. 


L'image est symbolique, une aide visuelle à la version de l'histoire créée aux XVIIème-XVIIIème siècles. Ci-dessus - le lion percé tombant, symbole de Simon de Montfort, dont l'emblème était le lion. La peinture est dans la cathédrale de Saint Sernin à Toulouse.

7.6. Un nouveau regard sur l'histoire des cathédrales catholiques du sud de la France aux XIIIème-XVIIème siècles.

Aujourd'hui, on nous dit que l’« hérésie »  Cathare = Scythe des XIème-XIIIème siècles aurait été détruite dans le XIIIème siècle, soi-disant, et aurait disparu de la scène. Cependant, selon notre reconstruction, dans les siècles XIII-XIV en France, les Cathares = Scythes = Kitaï sont les grands conquérants « mongols. » À l'ère du Grand Empire de « Mongolie » des siècles XIV-XVI, c’est sur eux qu’est formée la classe dirigeante aristocratique de la France.

L'un des centres des Cathares = Scythes dans les XIVème-XVIème siècles était la ville d'Albi - Albi, c.-à-d. Blanc - non loin de Toulouse. Rappelons que les Cathares étaient aussi appelés les Goths blancs ou les Cosaques blancs. La ville d'Albi possède encore une immense cathédrale, aujourd'hui connue comme la basilique de Sainte-Cécile [1028]. Voir. fig.9.33, fig.9.34.  



L’histoire scaligérienne ne cesse de répéter que les Cathares = Scythes eux-mêmes, habituellement, ne construisaient pas, ils utilisaient seulement les anciennes structures. Apparemment, il n’y a rien de significatif dans le fait qu’ils n’ont rien construit à Albi, qui était l’un de leurs principaux centres. Des caveaux [habitations troglodytes], des huttes, quelques maisons. Ceci est très étrange. Ici, une grande cathédrale a été construite - comme nous sommes assurés aujourd'hui à l'unisson – « certainement pas par les Cathares. » On nous dit qu'elle a été fondée en 1282, prétendument après la victoire sur les Cathares-Albigeois. Le bâtiment a été terminé au XVIIème siècle. Depuis le XIIIème siècle elle aurait toujours fonctionné comme une cathédrale catholique [en 1028], p.6.

Mais alors, nous commençons maintenant à comprendre que la cathédrale d'Albi est susceptible d’avoir été construite par les Cathares au XIVème siècle et ils y ont travaillé jusqu'au XVIème, ou même avant le début du XVIIème siècle, comme une église Cathare = Scythe chrétienne. C’est seulement après la défaite des Cathares = Scythes dans les siècles XVI-XVII qu’elle a été capturée et transformée en une église catholique. Il a été déclaré que « elle a toujours été comme ça. » Son origine Cathare = Scythe, on a essayé de l'effacer des pages de l'histoire de Scaliger. Néanmoins, les dernières traces Cathares sont clairement visibles aujourd'hui. La cathédrale combine les deux fonctions de temple et d'immense forteresse militaire. Les murs sont incroyablement épais, les bases très solides. « Les fenêtres sont élevées à 20 mètres au-dessus de la fondation, elles sont hautes et étroites » [1 028], p.8. Les historiens soulignent à juste titre le rôle militaire évident de cet ancien temple : « La cathédrale était non seulement un château terrible mais aussi un gardien vigilant de la ville » [1 028], p.14.
Les tours élancées attachées aux côtés de la cathédrale sont très similaires à des minarets, fig.9.33, fig.9.34. L’intérieur de la cathédrale rappelle franchement une basilique byzantine ou même une mosquée, en dépit de nombreuses reconstructions et des ajouts ultérieurs, pour apparemment retrouver le style général de la cathédrale. Par exemple, aujourd'hui, une grande partie de la zone à l'intérieur de l'église est occupée par le soi-disant « dispensaire » - un grand bâtiment sous la forme d'une église séparée. Il est construit dans un style complètement différent, il a été créé plus tard, le plus probable - dans l'ère des XVIème-XVIIème siècles, lorsque la cathédrale Cathare = Scythe a été capturée et converti en une église catholique moderne. Si vous supprimez le « dispensaire, » les similitudes entre l'intérieur de la cathédrale et une basilique byzantine ou une mosquée deviendront encore plus évidentes. Beaucoup de peintures et de sculptures de la cathédrale contiennent un tamga - un symbole qui est bien connu de nous de l'histoire de la Russie-Horde, voir HRON4. Incidemment, dans la ville d'Albi est la rivière qui porte le nom de Tarn [1028]. C’est la rivière Troie [ТРОЯН - Troyan] = Franc [ФРАНК - Frank] ou pharaonique [ФАРАОН - Faraon]. La rivière Pharaon ou Turque.

Il sera intéressant de repenser cette histoire en perspective pour d'autres cathédrales catholiques du sud de la France. Et pas seulement le sud. Et pas seulement la France. Voir fig.9.12. Selon notre reconstruction, la plupart de ces cathédrales ont été construites dans les siècles XIV-XVI comme des églises [chrétiennes] du Grande Empire « Mongol. »

mardi 18 août 2015

Les Cathares II

7.3. Ce qui est arrivé ensuite avec les Cathares = Scythes en Europe occidentale.

Le sort des Cathares a été tragique. On croit que, dans le XIIIème siècle, ils ont été défaits et en grande partie détruits. Mais nous commençons maintenant à comprendre que ce n’est pas arrivé dans le XIIIème siècle, seulement à la fin du XVIème siècle, ou, plus probablement, au début du XVIIème, alors qu'en Europe de l'Ouest la mutinerie de la Réforme a pris fin avec succès. En conséquence, le Grand Empire « Mongol » a éclaté. Les domaines spécifiques de l'Europe occidentale, pour quelque temps encore, sont restés fidèles à l'idée de l'Empire et ont obstinément résisté aux rebelles. Parmi le nombre de ces zones fidèles à l’empire on trouve les Cathares = Scythes en France. Mais ils ont perdu leurs villes et châteaux et ont été impitoyablement détruits. Comme les historiens l’écrivent à propos des zones Cathares – en particulier à Toulouse, Carcassonne et d'autres – « les batailles étaient trop nombreuses pour être en mesure de les énumérer » [1020], p.25. Puis, lors de l'écriture de la « bonne » histoire scaligérienne, les événements sanglants de l'époque ont été délibérément relégués trois cents en arrière. La défaite des Cathares = Scythes du XVIème siècle, ou même du début du XVIIème siècle, a été déplacée dans un XIIIème siècle lointain et brumeux. Voyons maintenant plus en détails comment s’est terminée leur histoire en France.

L’histoire scaligérienne, à partir du XVIIème siècle, dit que la religion des Cathares = Scythes a été déclarée « hérétique » dans l'Europe de l'Ouest. Aujourd'hui, le nom du catharisme médiéval est bien établi comme « l’hérésie Cathare. » À cet égard, il est utile de se rappeler que ce XVIème siècle est considéré comme un siècle de guerres brutales, soi-disant pour la plupart religieuses, en Europe occidentale, et un siècle de lutte contre les diverses hérésies. Aujourd'hui, il est considéré que le mot hérésie a toujours indiqué seulement une déviation de la vraie religion. Mais après ce que nous avons appris sur l'histoire médiévale, à un tel sens ordinaire du mot hérésie on peut en ajouter un autre. Peut-être que la lutte des Européens de l'Ouest aux XVIème-XVIIème siècles contre « l’hérésie » était une lutte avec le christianisme orthodoxe, qui est la religion de la Rus. Le mot ‘hérésie’ [ЕРЕСЬ = ERES] pourrait être une variation du mot РУСЫ = Rusi ou РУСС-КИЙ = Rus-Ki, dans la prononciation РУСС-ХИ = RUSS-KHI ou ХИ-РУСЫ = KHI-RUSI, soit ‘hérésie.’ Rappelons que dans la vieille langue russe, le mot « hérésie » n'a pas été utilisé. En Russie, on parlait de « mauvais » et non « d’hérétiques. »
Selon notre reconstruction, le catholicisme n’a gagné le soutien du public que dans les XVIème-XVIIème siècles, à la suite de la rébellion anti-impériale en Europe occidentale. Le catholicisme réformé a immédiatement commencé à lutter avec l'ancienne orthodoxie catholique impériale de la Rus-Horde. Ce que, par une légère déformation de la prononciation, on a appelé « l'hérésie. » Après, cette « hérésie » et les « hérétiques » ont été détruits « légalement. » En particulier avec l'aide des croisades des XVIème-XVIIème siècles. La défaite des Cathares = Scythes en est un exemple frappant.
Pour mieux imaginer le sort des Cathares = Scythes en France, on rappelle l'histoire de la mise en garde suivante. Le chef militaire d'une croisade contre les Cathares = Scythes, Simon de Montfort, pour intimider les Cathares << a ordonné de punir de manière exemplaire les rebelles [donc devenus connus comme les Cathares = Scythes – NdA]. Il a arrêté une centaine d’hommes Cathares, ordonné de leur crever les yeux et de leur couper les oreilles, les lèvres et le nez. Un prisonnier a été aveuglé de « seulement » un œil afin qu'il puisse rapporter ceci à ses camarades au glorieux château de cette région – la forteresse de Cabaret (Cosaque ‘Kabarde’ à nouveau - NdA), qui défiait encore l'armée des croisés >> [1020] p.22. Mais c’était juste le début. Le chef religieux des Croisés, qui ont pris – prétendument au début du XIIIème siècle, et en réalité, apparemment, dans le XVIème siècle – la grande ville Cathare = Scythe de Carcassonne, l'abbé et le légat du pape, Arnauld Amaury, a lancé avant l'assaut décisif un appel à ses troupes avec des mots devenu tristement célèbres : « Tuez-les tous. Dieu reconnaîtra les siens. » [1020], p.17. Par ce slogan ils ont commencé à exterminer plusieurs milliers de Cathares [1020], [1376].
Ainsi, dans le XVIème siècle, les rebelles ont essayé de vider l'Europe occidentale des Cathares = Scythes. Et dans le XVIIème siècle, ils ont déformé l'histoire et « banni » les événements dans le lointain XIIIème siècle, ayant « purifié » ainsi le XVIème siècle en ôtant la responsabilité de la révolte la plus récente contre le gouvernement impérial « mongol. » Par ailleurs, ‘Amaury’ n’est-il pas la prononciation légèrement déformée du célèbre nom Ottoman = Ataman ‘Omar’ ? Rien d'étonnant ici, vu que dans le XVIème siècle, certains gouverneurs ottomans se sont révoltés contre le Grand Empire « Mongol. »
La répression contre les Cathares = Scythes s’est largement déployée non seulement en France, mais dans toute l'Europe occidentale. Sur la carte dessinée par les historiens fig.9.12, on a marqué le pays de résidence des Cathares = Scythes de points noirs pour montrer qui a entamé les représailles contre eux… 

Comme nous commençons à comprendre la véritable histoire de nombreux événements des XIIIème-XVIème siècles est descendue vers nous aujourd'hui sous le couvert de « la mauvaise hérésie. » Aujourd'hui, donc, nous avons besoin d’étudier de plus près l'histoire des principales « hérésies. »
Dans l'historiographie moderne - et principalement française – l’attitude envers les Cathares = Scythes est mixte. D'une part, dans le Sud de la France leur histoire forte et dramatique reçoit une publicité énergique. Les villes Cathares, les châteaux Cathares, les rebelles Cathares, les feux de l'Inquisition catholique ... D'autre part, on a constamment souligné que « c’était il y a très longtemps » et que le Catharisme est une « terriblement mauvais hérésie, » qui a disparu sans laisser de trace. Dans les soi-disant XIVème-XVème siècles ils n’ont presque rien laissé. Et quand les historiens d'aujourd'hui sont parfois tombés sur des signes clairs de traces Cathares = Scythes répandues dans les XIVème-XVème siècles, ils ont - consciemment ou inconsciemment - essayé de les rendre muettes. Voilà juste un exemple.
Dans le sous-sol du Musée Paul-Dupuy à Toulouse, A. T. Fomenko et T. N. Fomenko ont vu en 1997 plusieurs grandes croix en pierre Cathares = Scythes fig.9.20


Elles sont presque identiques à d'autres dans la même section que l'on voit aujourd'hui dans les vieilles images et les châteaux Cathares fig.9.15, fig.9.16



Un fait remarquable est que dans ce cas, les historiens et les archéologues connaissent la datation des croix. Les croix Cathares, exposées dans le sous-sol du Musée Paul-Dupuy, ont leur datation prouvée dans les XIVème-XVème siècles. Et qu’avons-nous vu sur la plaque du musée, à côté d'elles ? Il est écrit à ce sujet – de manière plutôt évasive – le texte suivant : « Sté ‘les discoïdales’ - Pierre sculptée - Ateliers du Lauragais XIV-XV s. » C.-à-d. : « Stèle discoïdale. Gravure sur pierre. Ateliers de la région du Lauragais. XIV-XV siècles...." Voilà – du fait que la croix est évidemment Cathares, ils n’en disent pas un mot…

D'autre part, les historiens reconnaissent toujours l'existence des Cathares = Scythes en Europe occidentale, au moins jusqu'au XIVème siècle. Voir, par exemple, l'inscription sur la carte présentée dans la fig.9.12. Et parfois même jusqu'au XVème siècle [1376]. Par conséquent, forcés de reconnaître ce fait sous la pression des faits, les historiens essaient encore, chaque fois que possible, de le cacher…

7.4. Puzzle chronologique des châteaux Cathares.

Nous passons maintenant à l'histoire des châteaux-forts Cathares = Scythes, dont beaucoup ont été construits non seulement dans les villes mais aussi sur les sommets des montagnes et des falaises. Et presque toujours sur les points clés qui sont pratiques d'un point de vue stratégique [1403]. Aujourd'hui, beaucoup d'entre eux sont complètement détruits. Les ruines de ces châteaux Cathares = Scythes bien connus comme Montségur, sont entourées par un grand nombre de légendes et de mystères…Fleur Espine, les quatre châteaux de Lastours, l’immense forteresse de Peyrepertuse, les châteaux de Puivert, Puilaurens, Quéribus, Roquefixade, Usson, Minerve, Montaillou, San Jordi, Padern, Durban, Aguilar, Villerouge-Termenès, Durfort, Termes, Auriac, Coustaussa, Saissac, Ensérune et autres [1403]. Murs bosselés, tours effondrées, des tas de pierre concassées dans les autres fortifications. Sur fig.9.21 et fig.9.22 nous montrons les ruines de l'une des plus grandes forteresses Cathare = Scythe, Peyrepertuse. 



Sur les ruines du château peut être vu Quéribus, fig.9.23.


La nature même de la destruction suggère que les châteaux ont été impitoyablement exterminés en utilisant des canons. Il est clair que personne ne va les « restaurer. » Ils ont essayé de démolir les fortifications JUSQU'ÀU SOUS-SOL, cherché à effacer définitivement la mémoire même des Cathares = Scythes. Nous pouvons clairement voir qu'a été menée une destruction systématique et approfondie de l'ensemble du système complexe de puissantes fortifications Cathares = Scythes. Après tout, le réseau de châteaux couvre densément l'ensemble du Languedoc, dans le Sud de la France…

Mais voici la chose étrange. Comme nous le disions, selon l’histoire scaligérienne qui n’a été écrite qu'à partir du XVIIème siècle, presque tous les châteaux Cathares auraient ensuite été récupérés et auraient longtemps servi comme forteresses royales solides, jusqu'à la fin du XVIème - début du XVIIème siècle. Puis ils ont À NOUVEAU été détruits. Cela veut dire qu’ils ont été détruits POUR LA DEUXIÈME FOIS [1020], [1403]. En principe, cela est possible. Détruire, restaurer, détruire à nouveau, encore une fois restaurer. Mais le fait est que dans le cas des châteaux Cathares une « seconde destruction » semble très mystérieuse. Voici, par exemple, ce qu’on nous dit aujourd'hui sur le sort du château de Roquefixade, situé à proximité du château de Montségur, sur la même ligne de défense [en 1020]. Il se trouve qu'il sort de l'obscurité des siècles XIV-XV en tant que grande et puissante forteresse royale. Cette garnison royale servant dans des bastions bien équipés, et pas dans des ruines. En outre, cette histoire ressemble à une mauvaise anecdote. Le roi Louis XIII, prétendument en 1632, « a voyagé en direction de Toulouse » [1020], p.40. En passant par son propre majestueux château de Roquefixade, il fit une pause, pensa et aurait ordonné de détruire impitoyablement le château, « parce que maintenant il n'est plus bon et trop cher pour le garder » [1020], p.40. L'historien moderne conclut cette histoire très étrange avec les mots : « Son (c.-à-d. le château - NdA) état montre l'ardeur avec laquelle les soldats royaux ont démoli le château en 1632" [1020], p.40. Voir fig.9.24.


Très probablement, cette histoire fantastique a été inventée par les historiens scaligériens seulement plus tard pour expliquer en quelque sorte la destruction effective du château dans la guerre de la première moitié du XVIIème siècle. Ils ne pouvaient pas dire - ou ont eux-mêmes oublié - que le château a été gravement endommagé pendant les croisades des XVIème-XVIIème siècles contre les Cathares = Scythes. Ces événements, les historiens les ont « renvoyés » dans le XIIIème siècle…
Mais supposons même que le château de Roquefixade ait vraiment souffert un destin étrange. Que, dans le XVIIème siècle, le pauvre roi Louis XIII ne voulait pas le conserver, ou l’utiliser comme un poste de garde, ou pour le stockage, ou comme une prison. Et a tout simplement ordonné de le démolir. Incidemment, c’est un dur travail de démolir ces murs et ces tours !...
Tournons-nous vers l'histoire, peut-être la plus célèbre, du château Cathare = Scythe de Montségur, fig.9.25


Il se trouve que, lui aussi, revient de l'obscurité aux XIVème-XVème siècles comme forteresse royale [1020], p.48. Les historiens rapportent que le « château a été occupé jusqu'au XVIème siècle, puis a été abandonné par tous » [1020], p.48. Mais aujourd'hui, il est en ruines, fig.9.26


Les seuls vestiges sont la ceinture extérieure des murs, et même alors sous forme très pauvre, fig.9.27


Donc, quelqu'un a détruit Montségur, pratiquement rayé de la surface de la Terre qu'à la fin du XVIème ou même au début du XVIIème siècle. Qui ? Est-il possible que le roi ait à nouveau - en raison d'un manque d'argent ? - ordonné à ses troupes de quitter le château, après quoi il s’est « de lui-même » rapidement effondré ? Ou le roi ordonna aussi de démolir Montségur ? En 1997, nous étions en mesure de visiter et d'explorer en détail le château légendaire. Qu’un château de ce type puisse « tomber en morceaux par lui-même » est hors de question. D'énormes blocs de pierre soigneusement assemblés et soudés fermement par du ciment. Les murs et les tours massifs sont d’une seule pierre-béton monolithe. Ces structures doivent sauter à la poudre. Ils avaient besoin de canons.

On nous raconte presque la même histoire étrange - mais seulement au début du XVIIème siècle - avec le château de Puilaurens. Comme disent les historiens, après la signature du traité de 1659 sur la frontière avec l'Espagne, « le château a cessé d'être stratégiquement important. Puilaurens a été transformée en prison quelque temps puis il est tombé de plus en plus en ruine, parce que les gens l’ont quitté » [1020], p.59. Donc, soi-disant tranquillement, au milieu du XVIIème siècle, a été pratiquement rasé le puissant château de Puilaurens.
Avec presque les mêmes mots ils nous parlent de la prétendue « destruction calme et tranquille » dans le XVIIème siècle de la puissante forteresse de Peyrepertuse [1020], p.63. Et ainsi de suite et ainsi de suite. Nous ne donnerons pas les citations appropriées, leur uniformité incroyable devient fastidieuse [1020].

Notre reconstruction explique très simplement tout ce conglomérat de bizarreries. La plupart des châteaux Cathares = Scythes ont servi de la fin du XVIème au début du XVIIème siècle. Puis, lors de la rébellion de la Réforme en Europe de l'Ouest, ils ont été capturés et détruits par les rebelles qui tentaient de détruire les troupes Cathares = Scythes restées fidèles au Grand Empire « Mongol. » Après, lors de l'écriture de l'histoire scaligérienne « juste » dans le XVIIème siècle, la guerre a été poussée dans le passé, dans le XIIIème siècle.
En particulier  on a envoyé dans le passé, au XIIIème siècle, l'histoire de la chute du château Montségur. Ce château Cathare puissant, construit au sommet d'une colline escarpée, a été considéré comme imprenable, fig.9.28


Il a été assiégé par les forces catholiques prétendument au printemps 1243. Le siège a duré toute une année [1020], p.30. Environ 400-500 Cathares = Scythes étaient piégés dans un château farouchement défendu. Les attaques des Croisés se sont terminées à plusieurs reprises par un échec. Le château a été subitement pris seulement à cause d’une trahison [1020], p.30. Les survivants Cathares ont été invités à choisir entre renoncer à leur foi et être brûlés vifs Plus de deux cents engagés (c.-à-d. des Cathares - NdA) ont refusé de renoncer à leur foi. Ils sont tous morts sur le bûcher au pied de la montagne "[1020], p.48. À notre époque, en 1960, le site était un monument à la mémoire des Cathares = Scythes. Jusqu'à aujourd'hui, beaucoup viennent au château pour rendre le culte. Au sommet de la montagne, en général, il ne faut pas parler fort.