dimanche 26 avril 2015

Léonidas et ses 300 Spartiates - Jean La Roche et ses 300 chevaliers

13. Les 300 chevaliers médiévaux du  duc Jean LA ROCHE : Ce sont les fameux 300 Spartiates ‘"antiques" du roi Léonidas. 

Un des épisodes les plus célèbres et les plus romantiques des guerres médiques "classiques" est le combat courageux de 300 Spartiates contre les forces perses de Xerxès aux Thermopyles, prétendument en 480 av. J.C. Peut-être que les troupes des Thermopyles venaient  de Russie Blanche, dirigées par le duc ou roi Cosaque ? La mort tragique de 300 Spartiates et de leur roi Leonidas a été racontée dans de nombreux ouvrages. Il faut s’attendre à ce qu’une certaine forme de cet épisode remarquable apparaisse dans l'histoire médiévale des XIIIème-XIVème siècles de notre ère. En effet, un tel épisode est détecté dans un livre de F. Gregorovius [195]. En outre, cette bataille n’est pas seulement décrite par les chroniqueurs médiévaux, mais elle est aussi mise en texte clair en parallèle avec l’"antique" bataille des Thermopyles ! Comment exactement se ressemblent-elles ? 

Rappelons que selon les résultats de HRON1, chapitre 6, le décalage de 1810 ans se manifeste parfois comme un décalage de 1800 ans ou 1778 ans. Par conséquent, il faut essayer de prendre du recul un peu en arrière dans le temps. Et nous rencontrons immédiatement les 300 chevaliers médiévaux Spartiates ! 

En 1275 A.D. avec le duc Jean La Roche (Ivan Rash ou Ivan Rus ?). Et le mot ГЕРЦОГ ~ Gertsog = duc, n’est-ce pas  КСЕРКС ~ Kserks= Xerxès? Son histoire est la suivante. Les Turcs (TRK-PRS), avec le soutien des Grecs et des Coumans assiégeaient la ville de Néopâtre. Sébastocrator fuît Néopâtre, fit son chemin à travers les Thermopyles et se tourna vers Jean La Roche (Ivan Ros ?) pour de l'aide. Le duc (Xerxès ?) décida de soutenir Sébastocrator et se dirigea vers le défilé des Thermopyles [195], p.188 (17). Donc, à la fois dans l'histoire d'Hérodote sur la campagne « antique » de Xerxès, et dans l'histoire médiévale du duc Jean La Roche (Ivan Rosa ou Rus ?), on trouve les célèbres Thermopyles. 

68a. Invasion des Byzantins et des Turcs en Grèce au XIVème siècle après J.C. Le général Senadenos, analogue de l’"antique" Xerxès dans cet épisode, envahit la Thessalie avec « un armée exceptionnellement grande. » De la mer, sa flotte le soutien [195], p.188 (17). Il attaque en Grèce les troupes byzantines et turques (PRS). 

68b. « Grèce Antique ». Invasion perse. Une énorme armée de Perses (P-Rus ?) dirigée par Xerxès envahit la Grèce. De la mer, les Perses on le soutien d’une grande flotte. Dans cet épisode de l’"antiquité" locale, Xerxès est probablement le reflet du général Senadenos et son adversaire, le roi Spartiate Leonidas, une réflexion fantôme du duc Jean de La Roche (Ivan Rosa ?). 

69a. TROIS CENTS CHEVALIERS DE JEAN LA ROCHE Dans le XIVème siècle après J.C. Jean La Roche "avec 300 chevaliers bien armés" répond à la grande armée toute proche des Turcs, des Grecs et des Coumans [195], p.188 (18). Couman [kumani] - Caumont [komon] – cheval [kon] – chevaliers [konniki] ? S’engage une bataille féroce. Le duc l’emporte sur l'ennemi. C’est ici Xerxès – duc [gertsog] à nouveau. Par ailleurs, parmi les trois cents chevaliers "on trouve aussi les messieurs de Saint-Omer (c.-à-d. Homer, Omar des ottomans ? - AF)" [195], p.188 (17). 

69b. « Grèce Antique ». Les trois cents Spartiates du roi Leonidas. Le roi Spartiate Leonidas avec trois cents Spartiates, aux Thermopyles, rencontre une immense armée des Perses (P-Rus ?) [258], p.190. A la fois dans l’"antiquité" et dans la version médiévale est indiqué le même nombre de soldats – TROIS  CENTS ! Dans le combat inégal "antique" le cruel Xerxès gagne les Spartiates, même s’il obtient la victoire pour un prix anormalement élevé. 
La bataille médiévale de trois cents chevaliers avec des forces ennemies supérieures est bien identifiée avec la bataille "antique" des trois cents Spartiates, grâce aussi à la scène suivante. Il est rapporté que << face à ses nombreux ennemis il (le Duc - AF) a déclaré voir, "beaucoup de gens, mais peu d'hommes" >> [195], p.188 (18). Tout connaisseur de l’histoire "antique" s’écrie immédiatement : « Mais, c’est la phrase d'Hérodote quand il parle de Xerxès ! » En effet, ce sont les mots exacts d'Hérodote: "Alors, on peut dire, il est devenu évident, en particulier pour le roi (Xerxès - AF), que les Perses sont beaucoup, mais les hommes [parmi eux] peu" [163] 7 210, s.369. 
Dans l'histoire Scaligeriénne il s’avère que le duc médiévale du XIVème a été si hautement instruit qu’« accidentellement », une fois dans les Thermopyles, et en participant à une bataille étrangement similaire à l’"antique" bataille des 300 Spartiates avec Xerxès, il a « accidentellement » et avec enthousiasme cité l’"Hérodote antique," parlant de cette bataille ! 

Si c’est lumineux et étrange – pour l'historien moderne – le parallèle a immédiatement attiré l'attention de F.Gregorovius. Et il donne immédiatement le commentaire suivant : << Je pense que ces mots (du duc médiéval - AF) ont été empruntés à Hérodote VII: 210, où Xerxès, aux Thermopyles, est convaincu qu’il y a « beaucoup de gens des Perses, et des hommes [parmi eux] un peu. » … >> [195], p.188 (18).
On peut dire : Eh bien, est-ce étrange ? Les chevaliers médiévaux lisaient beaucoup et étaient des gens très instruits. Pris au milieu de la bataille des Thermopyles, entre le cliquetis du fer, du sang, et le bruit des chevaux, ils se sont arrêtés et ont commencé à citer les œuvres immortelles, inspirés par les classiques "antiques". En outre, l’expression est appropriée. 
À notre avis, il y a une explication très différente. Très probablement, la bataille médiévale des 300 chevaliers aux Thermopyles en 1275 A.D. a été décrite par plusieurs chroniqueurs médiévaux, y compris Hérodote dans son "Histoire", comme la bataille des 300, avec le roi perse Xerxès. Il s’ensuit qu’Hérodote a écrit son livre avant la fin du XIIIème siècle A.D. Et plus probablement encore dans les XVème-XVIème siècles. 

Nous retournons à la bataille. "Il (le duc - AF) se précipita courageusement vers le camp ennemi, dispersa la grande armée de Paleologos et remporta une brillante victoire, et la ville de Néopâtre. (Néo-Sparte - AF) fut libérée, échappant à l'ennemi qui fut forcé de se retirer de Thessalie" [ 195], p.188 (18). La différence entre l'année 1275 A.D. et la soi-disant année 480 av. J.C. est de 1755 ans. C’est proche du décalage chronologique de 1778 ans ou de 1800-1810 ans. Nous pouvons voir que la quantité de décalage varie légèrement d'une source à l’autre. Mais ces écarts sont faibles par rapport à l'ampleur du changement qui est presque de deux mille ans. 

Nous avons déjà noté que l'historien Ferdinand Gregorovius, un connaisseur de « l'antiquité » et expert reconnu sur le Moyen Âge, dit souvent qu’elle est étrange pour lui, cette "renaissance de l'antiquité" au Moyen Age. C’est, tout simplement, un double-parallèle. Mais étant mis sur la chronologie de Scaliger, il ne comprenait pas l'essence de ce qui se passait et se limitait à une déclaration attentive des faits, sans en tirer des conclusions. Mais nous pouvons déjà tirer une conclusion, car elle est fondée sur des études empiriques et statistiques qui ont clarifié l'image globale de ce qui se passe. 

Ici, par exemple, nous avons constaté que les "antiques" Perses sont le reflet des Francs-Français ou P-Rus, des Turcs Ottomans, des Tatars. L’histoire de la Grèce de la première moitié du XIVème siècle A.D. est si bien alignée avec la "Grèce antique" par un décalage de 1810 ans que F. Gregorovius pointe des parallèles avec l'époque de Darius (Horde?) et de Xerxès (duc ou roi cosaque?). << Suleyman (Osman-Ottoman, un acte qui est également partiellement inclus dans la biographie de Xerxès - AF), le fils courageux d’Orkhan, en 1354 a franchi la nuit obscure de l'Hellespont ... C’était la première entreprise turque à mettre le pied sur le sol européen. Les Byzantins comparaient cette horde de conquérants (notez l'apparition ici du nom ORDA - AF) avec la Perse et les a même appelés du même nom (! - AF). Mais les Ottomans étaient terribles et plus heureux que les gens de Darius et de Xerxès >> [195], p.252. 

On notera au passage une circonstance intéressant. Comme nous pouvons le voir, les Byzantins médiévaux ont appelé les Turcs - Perses. Et les commentateurs et les traducteurs n’ont commencé que plus tard à remplacer partout le mot « Perses » dans les textes byzantins par « Turcs ». Sinon, nous aurions « les anciens Perses » toujours présents dans le Moyen Age, ce que l'histoire de Scaliger ne peut avoir. 

F. Gregorovius attire encore et encore sur un parallèle entre les invasions Osmaniennes Chypriotes des XIVème-XVème siècles, et l'invasion des Perses (P-Rus ?) "antiques". "Les Grecs et les Francs peuvent encore trembler à la pensée que le terrible seigneur de l'Asie, comme Darius et Xerxès va repousser les limites de leur monarchie dans toute l'Europe "[195], s.302. 

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