7.5. Le comte Simon de Montfort dans la Bible
comme le roi Abimélec, et l’« antique » Plutarque en tant que
commandant Pyrrhus.
Le comte Simon de
Montfort est le plus célèbre personnage de la prétendue guerre Cathare du XIIIème
siècle, le vainqueur des Cathares. Il est aussi appelé Simon le Fort [1020],
p.27. On croit qu'il a mené la plus grande croisade contre les Cathares et les
défit dans une série de batailles féroces et lourdes [en 1020]. Cependant, la
victoire était loin d'être définitive. La guerre contre les Cathares = Scythes a
continué longtemps après la mort du comte…
Simon-Osman de
Montfort a été tué au siège de la ville de Toulouse supposément en 1218 [1020].
Son décès est survenu dans des circonstances uniques qui méritent une
discussion séparée. Pendant le siège de Toulouse « une pierre jetée par
une baliste frappa Simon de Montfort à la tête » [1020], p.27. Une autre
présentation de l'histoire va comme ceci : « Il a été tué par une pierre, lancée
par une machine de guerre montée en position centrale sur les fortifications de
Toulouse, et opérée, selon la tradition, par des femmes et des filles » [1020],
p.27. Le chroniqueur Pierre des Vaux de Cernay ajoute : « Et la pierre est
allée directement sur lui au bon endroit, et a frappé le comte exactement sur son
casque d'acier, au point que ses yeux, son cerveau, ses dents, son front et sa
mâchoire ont été brisés en morceaux. Il s’est effondré sur le sol, mort, noirci
et sanguinolent, » [1020], p.27.
Pour autant que
nous sachions, dans toute l'histoire de Scaliger de l’Europe médiévale, il n’y
a aucune autre affaire aussi médiatisée d’un célèbre commandant ayant été tué
dans la bataille par une pierre lancée par des femmes ou une femme…
Il est à noter
que la baliste – une catapulte militaire – en anglais sonne comme Mangonel
[1020], p.27. Et ‘mangonneau’ en français = « arme de jet médiévale type catapulte. »
Est-ce à dire que, à une époque, ces véhicules militaires ont été appelés en
Europe simplement ‘mongole’ ? Il est donc possible que Simon-Osman de Montfort
a été assassiné par un instrument mongol…
Mais revenons à
la partie principale de l'histoire populaire - une pierre lancée par des
femmes, ou une femme.
Tournons-nous
maintenant vers le monde « antique. » Tout au long de l'histoire « antique »
il n'y a qu'un seul cas où un commandant éminent a été tué par une pierre jetée
par une femme, la pierre ayant frappé à la tête. C’est le fameux Pyrrhus « antique. »
Il est décrit dans les sources « antiques » comme le plus grand commandant macédonien.
Voici comment Plutarque raconte la mort de Pyrrhus lors de l'assaut sur la
ville d'Argos. Une vieille femme, résidente d'Argos, « avait pris part à
la bataille (à partir de la fenêtre de sa maison - NdA), et quand elle a vu que
son fils était entré dans le combat contre Pyrrhus ... elle a arraché des
bardeaux de toit et des deux mains, les jeta sur Pyrrhus. La tuile le frappa à
la tête et brisa les vertèbres du cou, » [660], Volume 2, p.64.
Mortellement blessé, Pyrrhus tomba de son cheval et mourut.
Nous passons
maintenant à la Bible. Tout au long de la Bible, il n’y a qu’une référence à un
cas dans lequel un célèbre commandant a été tué par une pierre lancée par une
femme qui l'a frappé à la tête. C’est le roi biblique Abimélec.
Voici ce que dit le
livre des Juges, dans l'Ancien Testament. La femme - une résidente de la ville
de Thébets regarda la bataille d'une fenêtre de la tour, vit les soldats
assiégés par Abimélec (Juges 9: 51-53). « Et Abimélec vint à la tour et
lutta contre elle ... Puis une femme jeta un fragment de la meule sur la tête
d'Abimélec, et cassa son crâne » (Juges 9: 52-53). Abimélec, mortellement
blessé, meurt.
Ainsi, nous avons
trois descriptions remarquablement similaires d’un événement unique : un
commandant célèbre, assiégeant une ville, est tué par la main d’une femme lui
jetant une pierre depuis la muraille ou la tour d’une ville… Nous affirmons que
nous sommes face à trois descriptions différentes des mêmes événements réels du
Moyen Âge, produites soit dans les XIIIème-XIVème siècles, soit dans le XVIème
siècle…
Différents
chroniqueurs, apparemment polyglottes, ont appelé le même général différemment.
Certains ont enregistré son nom en tant que comte Simon = Osman de Montfort. Un
autre a écrit : le chef militaire macédonien Pyrrhus. Un troisième - le roi
Abimélec. Quant au nom de Montfort et le nom de Pyrrhus [Pierre], ils veulent
dire la chose suivante. Il se trouve que dans les sources françaises il est dit
que de Montfort était le Seigneur Epernon [1020], p.27. En outre, la ville de
Toulouse, où mourut Osman de Montfort est située tout près des Pyrénées. Par
conséquent, l’« ancien » nom Pyrrhus peut être dérivé soit du nom
Epernon, soit du nom des Pyrénées. Cela indiquant l'emplacement approximatif de
l'événement. Si nous traduisons le titre : Mont = montagne, Fort =
Forteresse, Epernon = Pyrénées - vous obtenez une expression compréhensible, « Seigneur
de la montagne forteresse des Pyrénées. »
Maintenant,
tournons-nous vers le nom de la ville, où mourut le roi biblique Abimélec. Dans
la Bible, la ville est nommée Thébets, en hébreu TVTs ou TBTs (Juges 9:50).
Mais c’est évidemment le Toulouse français. Le fait est que les lettres V et L
sont écrites de manière très similaire, surtout en sténographie, à la main. La
seule différence réside dans le degré d'inclinaison du trait droit. Les lettres
hébraïques B / V [Б/В] et L sont également très similaires. Idem des lettres U et
V. Ce qui a fait du nom de Toulouse Tovlovz ou TVZ. Ainsi, la ville biblique de
Thébets est susceptible d’être la ville française Cathare = Scythe de Toulouse.
Cependant, le Toulouse français, apparemment, est déjà mentionné dans le Livre
des Juges et en texte brut. Déjà dans le premier chapitre il est dit : « Je
suis allé à la terre des Hittites (les Goths - NdA), et ai bâti une ville,
appelée du nom de Luz. Voilà son nom jusqu’à ce jour » (Juges 1:26).
La ville de Plutarque,
où Pyrrhus a été tué, est appelée ARGOS [660], Volume 2, p.64. Mais le mot
ARGOS est très proche du nom Saragosse en espagnol, qui, à son tour, est
presque identique au nom de Carcassonne. Voir ci-dessus. Ainsi, l’« antique »
Plutarque donne le lieu de décès de Pyrrhus, qui est Simon de Montfort, non pas
à Toulouse, mais situé à proximité de la ville Cathare = Scythe de Carcassonne.
Ou l'espagnole Saragosse. Le nom de la ville est Argos. Mais il semble qu’ARGOS
soit connu comme la région espagnole d'Aragon ! Par ailleurs, après avoir lu la
biographie de Simon de Montfort, il devient clair pourquoi l’« antique »
Plutarque a indiqué Carcassonne et pas Toulouse. Le fait est que le corps de
Simon de Montfort, après sa mort, a été transporté dans la ville de
Carcassonne, où il a été enterré [1020], p.28. Ainsi, l’« antique » ARGOS
de l’« antique » Plutarque – c’est la ville Cathare = Scythe de
Carcassonne. Maintenant, il est très intéressant de regarder de près d'autres
événements « anciens » qui ont eu lieu dans la célèbre ville « antique »
d'Argos.
Revenons à la
Bible. Le Biblique Abimélec, qui est Simon de Montfort, fait d'abord une guerre
difficile contre les habitants de la ville de Sichem (Juges 9:1 et après), et
surtout contre les tours de Sichem (Juges 9:47, 9:49 et suivants). C’est très
curieux cette indication de la Bible que « les habitants de Sichem ont monté contre
lui une embuscade sur le sommet de la montagne » (Juges 9:25).
C’est bien
cohérent avec le fait que de nombreux châteaux Cathares = Scythes sont
effectivement construits au sommet des montagnes et des rochers [en 1020].
Et le nom biblique
des tours de Sichem, en hébreu MGDL SKM ou ShKhM, c’est probablement le plus
célèbre des châteaux Cathares = Scythes, celui de Montségur, construit au
sommet d'une montagne, fig.9.28… Il est remarquable que la montagne est encore appelée POG, à savoir « rocher
au sommet » [1020], p.47. Peut-être que le nom vient du slave POG =
bourgeon…
...
Dans les guerres albigeoises, c'était souvent le cas que certains « Mongols » tuent d'autres « Mongols. » Ceci est probablement la raison pour laquelle l'attitude de la Bible face au comte Simon de Montfort / Abimélec est ambiguë. Elle finit son histoire avec les mots: « Ainsi Dieu a rendu la méchanceté de Abimélec, ce qu'il a fait à son père en tuant ses soixante-dix frères » (Juges 9:56).
On voit que l'expression bien connue « victoire à la Pyrrhus » devient maintenant beaucoup plus intense.
En Novembre 2001, un des auteurs de ce livre (A. T. Fomenko) a visité Carcassonne, la Basilique de Saint- Nazaire, fig.9.32, où l'on croit qui était autrefois la tombe originale de Simon de Montfort.
Aujourd'hui, il est plus là, mais dans le temple est préservée la pierre tombale fig.9.32b, fig.9.32f.
Le guide officiel de la cathédrale rapporte avec parcimonie ce qui suit : << Pierre tombale de "Simon de Montfort," le chef de la croisade des Albigeois, le vicomte de Béziers et Carcassonne, tué en 1218 pendant le siège de Toulouse. Il a d'abord été enterré ici, maintenant à Monfort l'Amaury, où son fils a déplacé le corps >>.
...
Le livre [1 028: 1], détaille l'histoire des Cathares. Dans le chapitre consacré à Simon de Montfort, il signale son enterrement dans la cathédrale principale de St.Nazaire et on trouve une photographie de la pierre tombale de Simon de Montfort, ris.9.32 d.
Il souligne que la plaque est maintenant dans la cathédrale St.Nazaire de la ville de Carcassonne : "Son corps a été transporté à Carcassonne pour l'enterrement à Saint-Nazaire. Sa pierre tombale, vous pouvez maintenant la voir ici" [ 1 028: 1], p.31. Le livre a été publié en 2001, qui est précisément l'année où nous avons visité la cathédrale. Mais aujourd'hui, cette dalle n'est plus dans la cathédrale de St.Nazaire! Peut-être a-t-elle été déplacée à un autre endroit ? Par ailleurs, la plaque représentée sur la ris.9.32 d, donne également l'impression d'une réplique tardive. Quoi qu'il en soit, aujourd'hui, dans la cathédrale, sur le mur, est tout à fait une autre plaque, que nous avons décrit en détail ci-dessus.
Fig.9.32 e nous présentons une image de l'artiste défunt Jean-Paul Laurens, représentant la mort de Simon de Montfort.
L'image est symbolique, une aide visuelle à la version de l'histoire créée aux XVIIème-XVIIIème siècles. Ci-dessus - le lion percé tombant, symbole de Simon de Montfort, dont l'emblème était le lion. La peinture est dans la cathédrale de Saint Sernin à Toulouse.
7.6. Un nouveau regard sur l'histoire des cathédrales
catholiques du sud de la France aux XIIIème-XVIIème siècles.
Aujourd'hui, on
nous dit que l’« hérésie » Cathare = Scythe
des XIème-XIIIème siècles aurait été détruite dans le XIIIème siècle,
soi-disant, et aurait disparu de la scène. Cependant, selon notre
reconstruction, dans les siècles XIII-XIV en France, les Cathares = Scythes =
Kitaï sont les grands conquérants « mongols. » À l'ère du Grand
Empire de « Mongolie » des siècles XIV-XVI, c’est sur eux qu’est
formée la classe dirigeante aristocratique de la France.
L'un des centres
des Cathares = Scythes dans les XIVème-XVIème siècles était la ville d'Albi -
Albi, c.-à-d. Blanc - non loin de Toulouse. Rappelons que les Cathares étaient
aussi appelés les Goths blancs ou les Cosaques blancs. La ville d'Albi possède
encore une immense cathédrale, aujourd'hui connue comme la basilique de
Sainte-Cécile [1028]. Voir. fig.9.33, fig.9.34.
L’histoire
scaligérienne ne cesse de répéter que les Cathares = Scythes eux-mêmes,
habituellement, ne construisaient pas, ils utilisaient seulement les anciennes
structures. Apparemment, il n’y a rien de significatif dans le fait qu’ils n’ont
rien construit à Albi, qui était l’un de leurs principaux centres. Des caveaux
[habitations troglodytes], des huttes, quelques maisons. Ceci est très étrange.
Ici, une grande cathédrale a été construite - comme nous sommes assurés
aujourd'hui à l'unisson – « certainement pas par les Cathares. » On
nous dit qu'elle a été fondée en 1282, prétendument après la victoire sur les
Cathares-Albigeois. Le bâtiment a été terminé au XVIIème siècle. Depuis le XIIIème
siècle elle aurait toujours fonctionné comme une cathédrale catholique [en
1028], p.6.
Mais alors, nous
commençons maintenant à comprendre que la cathédrale d'Albi est susceptible d’avoir
été construite par les Cathares au XIVème siècle et ils y ont travaillé jusqu'au
XVIème, ou même avant le début du XVIIème siècle, comme une église Cathare = Scythe
chrétienne. C’est seulement après la défaite des Cathares = Scythes dans les
siècles XVI-XVII qu’elle a été capturée et transformée en une église
catholique. Il a été déclaré que « elle a toujours été comme ça. »
Son origine Cathare = Scythe, on a essayé de l'effacer des pages de l'histoire de
Scaliger. Néanmoins, les dernières traces Cathares sont clairement visibles
aujourd'hui. La cathédrale combine les deux fonctions de temple et d'immense
forteresse militaire. Les murs sont incroyablement épais, les bases très
solides. « Les fenêtres sont élevées à 20 mètres au-dessus de la
fondation, elles sont hautes et étroites » [1 028], p.8. Les historiens
soulignent à juste titre le rôle militaire évident de cet ancien temple : « La
cathédrale était non seulement un château terrible mais aussi un gardien
vigilant de la ville » [1 028], p.14.
Les tours élancées
attachées aux côtés de la cathédrale sont très similaires à des minarets, fig.9.33, fig.9.34. L’intérieur de la cathédrale rappelle
franchement une basilique byzantine ou même une mosquée, en dépit de nombreuses
reconstructions et des ajouts ultérieurs, pour apparemment retrouver le style
général de la cathédrale. Par exemple, aujourd'hui, une grande partie de la
zone à l'intérieur de l'église est occupée par le soi-disant « dispensaire »
- un grand bâtiment sous la forme d'une église séparée. Il est construit dans
un style complètement différent, il a été créé plus tard, le plus probable -
dans l'ère des XVIème-XVIIème siècles, lorsque la cathédrale Cathare = Scythe a
été capturée et converti en une église catholique moderne. Si vous supprimez le
« dispensaire, » les similitudes entre l'intérieur de la cathédrale et
une basilique byzantine ou une mosquée deviendront encore plus évidentes.
Beaucoup de peintures et de sculptures de la cathédrale contiennent un tamga - un symbole
qui est bien connu de nous de l'histoire de la Russie-Horde, voir HRON4.
Incidemment, dans la ville d'Albi est la rivière qui porte le nom de Tarn
[1028]. C’est la rivière Troie [ТРОЯН - Troyan] = Franc [ФРАНК - Frank] ou
pharaonique [ФАРАОН - Faraon]. La rivière Pharaon ou Turque.
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