http://www.chronologia.org/xpon6/index.html
Chapitre 8. Fin de l'histoire russe du XVIème siècle dans le livre de Judith.
1. Résumé du livre de Judith.
2. La guerre du roi assyrien Nabuchodonosor avec le roi Arphaxad - c'est laprise de Kazan par Ivan le Terrible.
3. La tenter de sécession des rois occidentaux d'avec Nabuchodonosor - c'est la Réforme en Europe occidentale.
4. La préparation d'une campagne punitive de Nabuchodonosor - c'est la préparation de la campagne de Livonie d'Ivan le Terrible.
5. La panique dans les pays occidentaux à la nouvelle du début d'une campagne punitive d'Assyrie = Russ-Horde.
6. L'invasion des Assyriens en Béthulie - c'est l'invasion russe en Lituanie, à savoir en Europe occidentale dans le XVIème siècle.
7. Le commandant assyrien - c.-à-d. russe - Holopherne, tué par la main d'une femme, Judith.
8. Autres pistes du Holopherne biblique dans la guerre russo-lituanienne au XVIème siècle.
8.1. La mort de Maliouta Skuratov en Lituanie.
8.2. Olferev, a remplacé Maliouta Skuratov.
9. La défaite d'Assyrie = Russ-Horde à la fin du XVIème siècle.
10. "Esther" - une vue de l'intérieur, et "Judith" - une vue de loin du même événement à la fin "de l'Empire "mongol" du XVIème siècle.
11. Le traître biblique Achior - c'est le prince André Kourbsky.
11.1. Le récit biblique d'Achior lors du siège de Béthulie.
11.2. La fuite du prince André Kourbsky en Lituanie.
11.3. Le monologue biblique d'Achior - c'est la célèbre lettre du prince Kourbsky à Ivan le Terrible.
11.4. La réponse du tsar Ivan le Terrible au traître André Kourbsky - c'est la réponse de l'Assyrien Holopherne au traître Achior.
12. Les thèmes de Judith et Esther reflètent, en particulier, la joie de la libération de l'Europe de l'Ouest du "joug Mongol".
13. Le reflet de l'histoire d'Esther, à savoir l'histoire russe du XVIème siècle, dans le livre de l'Ancien Testament des juges.
Chapitre 9. La Réforme des XVI-XVIIème siècles c'est la libération de l'Europe de l'Ouest de la puissance du Grand Empire "mongol".
1. Quel était le vrai sens de la « Réforme ». Contre qui ont effectivement combattu les réformateurs occidentaux.
2. L'empereur d'occident Charles V - c'est l'Assyro-Babylonien Nabuchodonosor, c.-à-d. Ivan IV le Terrible.
3. Qui sont les Habsbourg avant Charles V.
4. Le refus de Charles V des titres et l'évacuation du monastère. Histoire de la Cathédrale Saint-Basile [de Moscou].
5. Qui était Frédéric Barberousse.
6. Le combat de Charles V avec la Réforme. Le Grand Schisme de l'Empire "mongol". L'Europe se libère du "bestial = joug scythe."
7. Le combat de la Réforme de l'Europe occidentale aux XVI-XVIIème siècles avec les scissionnistes du Grand Empire "mongol". Un exemple frappant: la défaite des Cathares en France.
7.1. Qui étaient les Cathares?
7.2. Où et quand les Cathares sont-ils venus en l'Europe occidentale.
7.3. Qu'est-ce qui est arrivé ensuite avec les Cathares = Scythes en Europe occidentale.
7.4. Mystères historiques des châteaux cathares.
7.5. Le comte Simon de Montfort est décrit dans la Bible comme le roi Abimelech, et l'"antique" Plutarque comme le général Pyrrhus.
7.6. Un nouveau regard sur l'histoire des cathédrales catholiques du sud de la France aux XIII-XVIIème siècles.
7.7. La croix Cathare = Scythe dans les églises gothiques de France.
7.8. La bannière Cathare = Scythe sur les blasons des régions et des villes françaises et espagnoles, ainsi que sur les cartes de différents pays.
7.9. Le croissant et étoiles atman = ottoman sur les sceaux de Raymond VII - la colonne de la ville française de Toulouse.
7,10. Le croissant et étoiles atman = ottoman dans la chevalerie médiévale et l'emblème des villes de l'Europe de l'Ouest.
7.11. Pourquoi les Cathares ont-ils été accusés de "culte du diable".
7,12. Une brève reconstruction de l'histoire des Cathares.
9. "La joie de la libération" propagée dans certains pays d'Europe occidentale aux XVI-XVIIème siècles. Des tracts de propagande médiévales contre l'Eglise romaine.
10. Où et quand il y avait des langues indo-européennes.
11. Pourquoi le savoir de l'Europe occidentale dans le XVI siècle est "sans exception, devenu fou."
12. Pourquoi le blason russe et celui des Habsbourg sont-ils proches.
13. Quelles caractéristiques sont apparues dans certaines églises catholiques en Europe occidentale après la victoire de la Réforme.
14. Pourquoi Napoléon, lors de la guerre de 1812, est-il allé à Moscou, plutôt qu'à Saint-Pétersbourg.
Les découvertes les plus intéressantes du récentisme russe
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jeudi 2 juillet 2015
La Russie Biblique III
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dimanche 31 mai 2015
Qui a réellement écrit les œuvres de Shakespeare?
http://chronologia.org/shakespeare/index.html
Dans cet ouvrage Fomenko et Nosovsky s'attaquent au mythe Shakespeare. Ils sont loin d'être les premiers, bien sûr. Mais leur perspective est moins le 'qui' et plutôt le 'pourquoi.' Pourquoi les véritables auteurs ont-ils eu besoin d'inventer à la fois Shakespeare et ses œuvres?
Avec Shakespeare nous sommes - officiellement - entre 1564 et 1616. Soit la fin du XVIème s. Dans la Nouvelle Chronologie, le XVIème s. est la période pendant laquelle l'Empire Rus-Horde qui s'étend alors jusqu'à l'Europe de l'ouest commence à se fracturer. Les différentes provinces réclament leur indépendance du pouvoir central et le "droit à l'autodétermination."
C'est à cette époque que les langues européennes prennent leur essor: le français, l'anglais, l'italien, l'allemand...Les dialectes existaient déjà mais n'étaient n'y complets ni répandus. [On nous dira par exemple que Dante a inventé l'italien au XIVème s. mais que les gens ont continué à utiliser le latin pendant encore deux siècles avant de changer définitivement!]
On dit de Shakespeare qu'il a utilisé dans ses œuvres plus de 16.000 mots, quand la conversation de tous les jours n'en compte que 500 et que la langue anglaise à l'époque ne devait pas en compter autant.
A l'époque, l'anglais était parlé à Londres, et pas par tout le monde. Idem pour le français, parlé à Paris, et encore.
Jusqu'au XIXème s. ces langues étaient à peine majoritaires dans leur pays d'adoption, les idiomes locaux étant largement utilisés. Comme on l'a vu dans un billet précédent, les Gallois étaient plus familiers de l'hébreu que de l'anglais encore au XIXème s. En France, il faudra attendre l'école obligatoire pour que le français s'impose définitivement à l'échelle nationale.
Le développement d'une langue propre était une des étapes fondamentales pour s'affranchir de l'Empire.
Un autre objectif des pièces de Shakespeare était de réécrire l'histoire tout en faisant de la propagande.
Prenons les titres de certains chapitres de l'ouvrage de F&N:
Chapitre 1: Geoffrey de Monmouth dans 'Le Roi Lear' c'est Ivan le Terrible
Chapitre 2: Hamlet est basé sur les biographies de Christ-Andronicus et Jean le Baptiste, écrit dans un esprit sceptique et anti-évangiles
Chapitre 3: Macbeth et Lady Macbeth: la légende du roi Hérode, de la reine Hérodias, de Jean le Baptiste et de Christ-Andronicus
Chapitre 4: Timon d'Athènes: l'histoire de Judas Iscariote dans un esprit anti-évangiles.
Chapitre 5: Henry VIII: Ivan le Terrible et Esther = Helena Voloshanka
...
Tout comme 'Le Roi Lion' est la version Disney d'Hamlet, Hamlet et la version anglaise et moqueuse de la vie du Christ (entre autres). Comme on le verra dans les billets suivants, Shakespeare est loin d'être le seul (Rabelais, Cervantès...) à avoir publié des œuvres pour tourner en dérision les anciens maîtres de l'Empire.
Les auteurs ont ceci en commun: faire de la propagande à la fois en se moquant de la Rus-Horde du point de vue politique mais aussi de ses croyances religieuses en tournant en dérision la biographie du Christ et les évangiles.
Le but final était de couper tous les ponts (politiques, religieux, linguistiques) afin de pouvoir gagner l'indépendance tant souhaitée.
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samedi 9 mai 2015
Pourquoi Champollion n'a PAS déchiffré les Hiéroglyphes - Abbé Affre
Abbé Affre:
M. Champollion s’est trompé en essayant de lire
le monument d’Abydos horizontalement.
Il paroit donc
constant qu’il existe des hiéroglyphes qui sont alphabétiques ou phonétiques.
p. 13
M. Champollion a
prétendu, dans les derniers temps, que le plus grand nombre des hiéroglyphes
étoit phonétique ; mais il se trouve en opposition avec les auteurs
anciens, et notamment avec Saint Clément d’Alexandrie. p. 15
Y a-t-il une
méthode certaine de déterminer dans quelle direction les hiéroglyphes doivent
être lus ? […] M. Klaproth prétend que les Égyptiens n’ont jamais eu de
méthode invariable…p. 17
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Pourquoi Champollion n'a PAS déchiffré les Hiéroglyphes - Klaproth
Julius Klaproth:
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mercredi 6 mai 2015
Le "déchiffrement" des hiéroglyphes egyptiens suite
Extraits du livre La nouvelle histoire des Pyramides de Joseph Davidovits concernant la traduction de la stèle d'Irtysen (musée du Louvre). A noter que Fomenko et Nosovsky ont intégré les thèses de ce dernier pour expliquer la construction des pyramides et de nombreux autres bâtiments, statues et objets d'art de l'Egypte "antique" (en fait du Moyen Âge) - voir la vidéo n°4 de la Mise à Jour du Cerveau https://www.youtube.com/watch?v=Ziz_S056G8M.
Lignes 8-9
G. Maspero: "...Je sais ce qu'il lui appartient, la baisse des eaux, les pesées faites pour l'estimation des comptes,comment produire la forme et la faire rentrer et sortir, afin qu'un membre soit à sa place..."
M. Baud:"...Je savais malaxer (gâcher) les ciments, doser suivant les règles, creuser les fonds, introduire sans que cela dépasse ou creuse de façon que le membre (la chair) (reste ou) vienne à sa place..."
J. A. Wilson: "...Je sais (comment reconnaître) les niveaux de l'inondation, comment peser selon la règle, comment retirer, introduire quand il rentre ou sort, afin qu'un membre soit à sa place..."
A. Badawy: "...Je connais les parties de baagou; la pesée selon les normes; le laissant entrer et le laissant comme il sort, ou comme il va, de telle sorte qu'un membre soit à sa place."
Barta: "...Je connais les différentes parties de la transformation, comment déterminer le calcul exact..."
p.139
On a donc, des fois le présent ('sais'), des fois le passé ('savais'), des fois le singulier ('règle'), des fois le futur ('règles'), des mots différents interchangeables ('malaxer-gâcher', 'membre-chair'), des contraires ('baisse des eau' vs 'inondation'),un mot non traduit ('baagou'), et un manque général de sens. C'est le genre de "traduction" que proposerait Google Translate s'il pouvait être saoul!
Lignes 11-12
G. Maspero: "...Je connais comment faire des amulettes, que l'on peut faire aller sans que le feu ne donne sa flamme, sans que notre être ne soit lavé par l'eau."
M. Baud:"...Je savais faire des jolis objets qui s'incrustent, qui ne sont pas fondus au feu, et qui ne sont pas délavables non plus à l'eau."
J. A. Wilson: "...Je sais comment faire (des objets en pâte et des choses incrustées), sans que le feu ne puisse les faire fondre, ni qu'ils puissent être délavés par l'eau."
A. Badawy: "...Je sais comment fabriquer des (objets) cuits, des objets coulés qui ne sont pas brûlés par le feu ni dissous par l'eau."
Barta: "...Je sais comment faire l'apparence extérieure (littéralement: les objets qui lui appartiennent) en faisant en sorte qu'un feu ne puisse les brûler; ils ne peuvent pas être délavés par l'eau."
p. 141
Là encore, on a des fois le présent ('sais'), des fois le passé ('savais'), des mots différents interchangeables ('amulettes', 'objets'), sans compter que la première traduction semble dire que les effets (en tout cas au moins le second) s'appliquent au porteur de l'objet, pas à l'objet lui-même comme l'indiquent les traductions suivantes.
Et vous nous dites que les hiéroglyphes ont été déchiffrés?! Lesquels exactement?!
Lignes 8-9
G. Maspero: "...Je sais ce qu'il lui appartient, la baisse des eaux, les pesées faites pour l'estimation des comptes,comment produire la forme et la faire rentrer et sortir, afin qu'un membre soit à sa place..."
M. Baud:"...Je savais malaxer (gâcher) les ciments, doser suivant les règles, creuser les fonds, introduire sans que cela dépasse ou creuse de façon que le membre (la chair) (reste ou) vienne à sa place..."
J. A. Wilson: "...Je sais (comment reconnaître) les niveaux de l'inondation, comment peser selon la règle, comment retirer, introduire quand il rentre ou sort, afin qu'un membre soit à sa place..."
A. Badawy: "...Je connais les parties de baagou; la pesée selon les normes; le laissant entrer et le laissant comme il sort, ou comme il va, de telle sorte qu'un membre soit à sa place."
Barta: "...Je connais les différentes parties de la transformation, comment déterminer le calcul exact..."
p.139
On a donc, des fois le présent ('sais'), des fois le passé ('savais'), des fois le singulier ('règle'), des fois le futur ('règles'), des mots différents interchangeables ('malaxer-gâcher', 'membre-chair'), des contraires ('baisse des eau' vs 'inondation'),un mot non traduit ('baagou'), et un manque général de sens. C'est le genre de "traduction" que proposerait Google Translate s'il pouvait être saoul!
Lignes 11-12
G. Maspero: "...Je connais comment faire des amulettes, que l'on peut faire aller sans que le feu ne donne sa flamme, sans que notre être ne soit lavé par l'eau."
M. Baud:"...Je savais faire des jolis objets qui s'incrustent, qui ne sont pas fondus au feu, et qui ne sont pas délavables non plus à l'eau."
J. A. Wilson: "...Je sais comment faire (des objets en pâte et des choses incrustées), sans que le feu ne puisse les faire fondre, ni qu'ils puissent être délavés par l'eau."
A. Badawy: "...Je sais comment fabriquer des (objets) cuits, des objets coulés qui ne sont pas brûlés par le feu ni dissous par l'eau."
Barta: "...Je sais comment faire l'apparence extérieure (littéralement: les objets qui lui appartiennent) en faisant en sorte qu'un feu ne puisse les brûler; ils ne peuvent pas être délavés par l'eau."
p. 141
Là encore, on a des fois le présent ('sais'), des fois le passé ('savais'), des mots différents interchangeables ('amulettes', 'objets'), sans compter que la première traduction semble dire que les effets (en tout cas au moins le second) s'appliquent au porteur de l'objet, pas à l'objet lui-même comme l'indiquent les traductions suivantes.
Et vous nous dites que les hiéroglyphes ont été déchiffrés?! Lesquels exactement?!
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Le "déchiffrement" des hiéroglyphes egyptiens
Les hiéroglyphes N'ONT PAS été déchiffrés. Les rares textes à disposition véritablement "traduits" sont le Livre des Morts et quelques papyrus variés. L'équivalent en volume d'une petite bibliothèque française est gravé sur les monuments egyptiens, plus de 95% des inscriptions n'ont jamais été "traduites". Les rares cas où les egyptologues s'y attaquent, les traductions varient formidablement d'un traducteur à l'autre!
-----
8. Pourquoi croyait-on que jusqu'à
Champollion la lecture des hiéroglyphes égyptiens était fausse
Aujourd'hui, on nous dit
que le célèbre égyptologue français Champollion, ris.16.47, au début du XIXème siècle, a
pour la première fois décodé les mystérieux hiéroglyphes égyptiens et révélé au
monde les anciens textes de l'Egypte. La
question est – pouvait-on, en Europe, lire les hiéroglyphes avant Champollion ? On pense que personne ne le pouvait…
K. Keram dit : « Paradoxalement,
le fait que personne n’arrivait à les déchiffrer était principalement dû à
Horapollon, qui vécut au IVème siècle A.D. et donna une sens détaillé
des hiéroglyphes... Il est clair que le travail d’Horapollon était la base pour
toutes les enquêtes ultérieures... Ce profane pouvait donner libre cours à son
imagination, mais les scientifiques, eux, étaient désespérés » [380],
p.94.
Donc, tout d'un coup il s’avère
que bien avant le grand Champollion et jusqu'aux XVIIIème-XIXème
siècles, on pouvait tout de même lire quelques inscriptions hiéroglyphiques habilement. Bien sûr, tout le monde ne comprenait
pas, mais le sens était saisi. Pourquoi
les scientifiques ont-ils fini par désespérer ? N’était-ce pas parce que la lecture pré-Champollion
était contraire à l’histoire scaligérienne
? Oui, comme le reconnaissent les
historiens, c’en était vraiment la cause.
Par exemple, il s’avère
que « des inscriptions hiéroglyphiques se lisent comme des passages
entiers de la Bible et même de la littérature depuis avant le déluge : chaldéenne,
juive et même des textes chinois... Toutes les tentatives d’interprétations étaient
fondées à des degrés divers sur Horapollon » [380], p.96. Un autre exemple. Un des chercheurs français dit : « on
a trouvé dans l'inscription du temple de Dendérah le centième psaume (c.-à-d. une
fois encore la Bible - Ed.) » [380], p.95.
Dans les textes
hiéroglyphiques égyptiens se trouvent des textes chrétiens qui mentionnent le
Christ [380], p.95. Telle était
l'image peu avant Champollion.
Pour les historiens du XIXème
siècle, déjà élevés sur la chronologie de Scaliger, il était « absolument
clair » que tous ces décryptages étaient « mauvais ». Par conséquent, comme l'a justement
souligné K. Keram, « les chercheurs désespéraient », évidemment. « Il
n'y a qu'une seule façon qui pourrait conduire au déchiffrement : rejeter Horapollon.
Champollion a choisi cette voie » [380], p.96.
Toutes les traductions de
textes hiéroglyphiques pré-Champollion ont été invalidées. Et le blâme a été jeté sur Horapollon. Cependant, continue Keram, « quand
Champollion déchiffra les hiéroglyphes, il est devenu clair à quel point les
arguments d’Horapollon étaient justes » [380], p.94.
Mais ensuite, il y a une
confusion naturelle - après tout, Horapollon disait-il vrai, oui ou non? On nous dit ce qui suit. Il s’avère que « en général » Horapollon
dit vrai, c.-à-d., il a décrit correctement le symbolisme des hiéroglyphes…
Ainsi, selon les égyptologues, il est autorisé
d’utiliser le dictionnaire d’Horapollon pour la lecture des seules « vieilles
inscriptions. » Mais utiliser le même vocabulaire pour lire les inscriptions
« plus tardives » est strictement interdit. Parce qu'ils commencent à
obtenir des traductions d'une certaine manière effrayante pour certains égyptologues.
Par exemple, apparaissent soudainement des textes bibliques.
Tout cela est étrange et, franchement,
soupçonneux. Si le vocabulaire inapproprié est utilisé pour certains textes, le
résultat de la lecture ne devrait pas avoir beaucoup de sens, ce serait un ensemble
aléatoire de mots. Mais, en dépit de cela, on obtient un fragment de la Bible!
Et d'ailleurs, nous voyons « le problème que le dictionnaire d’Horapollon» posait pour l'histoire!
À notre avis, tout cela donne une image
très contradictoire de l'histoire du déchiffrement des hiéroglyphes dans le XIXème
siècle. On accuse en premier lieu Horapollon, qui conduit
le déchiffrement à une « erreur de traduction ». Et puis, après
l'établissement de l'autorité de Champollion, on admet prudemment que, après
tout, Horapollon avait en grande
partie raison. Cependant, on s'oppose immédiatement à l'utilisation de son
dictionnaire pour traduire certains textes inacceptable pour les égyptologues
scaligériens.
Après Champollion, la justification d’Horapollon était déjà sécurisée. Tous les décryptages, sauf ceux
de Champollion et ses partisans, ont
été déclarés nuls parce qu'ils « sont fait profane. » Et l’école de Champollion
évite soigneusement la question de
l'existence des textes bibliques écrits en hiéroglyphes en Egypte « antique ».
Ces textes, aujourd'hui, sont supposément là.
[…]
Voici un exemple montrant que les textes
hiéroglyphiques d’Egypte « antique, » contiennent, apparemment, des citations
des psaumes chrétiens. À cet égard, nous notons que les citations des Psaumes
sont très fréquentes, par exemple, dans les anciens textes liturgiques russes.
Ils sont typiques seulement pour des livres chrétiens.
Le célèbre « Livre des Morts »
égyptien [1448] contient un verset qui, dans la traduction des égyptologues,
est : "Il ouvre l'horizon oriental du ciel, il brille sur l'horizon occidental
du ciel, il m’enlève (?) pour que je puisse être fort. » …
À notre avis, le verset est une citation
du Psaume 102 : « aussi loin qu'est l'orient de l'occident, il met
loin de nous nos péchés » (Ps.102: 12).
… Il est évident que les égyptologues lisent vraiment
bien les caractères individuels, mais le sens du texte dans son ensemble, ils
ne le saisissent pas toujours. En fait, la séquence de hiéroglyphes, les images
illustrant le verset du Psaume 102, devrait être comme ceci : est, ouest, ôter,
fort (dans le sens de la privation du péché, expiation, fortification). Si la
personne qui lit les caractères en général sait ce dont il est question, elle
va les lire correctement…
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vendredi 1 mai 2015
Les langues indo-européennes
10. OÙ ET QUAND sont apparues les langues
indo-européennes.
A parler de l'histoire des
Cathares = Scythes, on ne peut que constater ce qui suit. L'ère de la Réforme
en Europe occidentale a donné lieu à un autre processus – avec des conséquences
de grande envergure – à savoir la formation d'un groupe de nouvelles langues
sur la base de l'ancien slave.
Dans l'histoire Scaligeriénne,
l’Inde occupe une place importante de la théorie de l'origine des langues
indo-européennes. Et l'Inde est entendue dans le sens moderne du terme - comme le
sous-continent indien. On estime que le protolangage venait de l'Inde et s’est
étendu à de nombreux pays "dans les temps encore anciens." Nous ne
voyons pas qu'il y ait aucune raison d’y objecter, mais une condition. A savoir, où était vraiment
"l'Inde ancienne," à partir de laquelle sont venues les langues
indo-européennes? Et quand était-ce?
Selon notre
reconstruction, C’ETAIT LA RUSSIE-ORDA des XIVème-XVIème
siècles. En raison de la grande conquête "mongole" d'un vaste empire aux
XIVème-XVIème siècles, la langue slave a pris racine
naturellement. Puis, dans les provinces différentes et éloignées les unes des
autres de l’Empire, elle a commencé à évoluer dans des directions différentes.
Après sa scission au début du XVIIème siècle, les différentes
branches de l'ancienne langue slave se sont éloignées encore plus. En fin de
compte, c’est là d'où ont émergé les langues européennes modernes et quelques
autres. La Bible le décrit comme « la confusion babylonienne des langues »
quand les gens ne se comprenaient plus les uns les autres. C’est arrivé à la
fin du XVIème - début du XVIIème siècle. La Bible dit ce
qui suit. « Et toute la Terre avait une seule langue et les mêmes mots.
Partis de l'orient, ils trouvèrent une plaine au pays de Schinear, et ils y
habitèrent ... Et ils ont dit, bâtissons-nous une ville et une tour dont le
sommet va vers le ciel, et faisons-nous un nom, de peur que nous ne soyons
dispersés sur la face de toute la Terre ... Et le Seigneur dit: Voici une
nation, et ils ont tous une même langue ... là, confondons leur langage, afin
que l'un ne comprenne pas le discours de l’autre. Et l'Éternel les dispersa de
là sur toute la Terre, et ils cessèrent de bâtir la ville [et la tour]. Par
conséquent, son nom a été appelé Babel, car c’est là que l'Éternel confondit le
langage de toute la Terre, et à partir de là que l'Éternel les dispersa sur
toute la Terre » (Genèse 11: 1-2, 11: 4-9).
Après la rébellion de la
Réforme, la langue a été utilisée pour différencier l'état. Les gouverneurs de
l'empire ont commencé à introduire dans leurs territoires de nouveaux
alphabets, des changements de grammaire, à inventer de nouvelles polices, de nouvelles
voyelles, à énoncer de nouvelles règles. Par exemple, certains endroits ont
introduit la pratique de la lecture "qui n’est pas comme l’écrit." Un
exemple frappant de cela est la langue française. Ont écrit par exemple Foix -
le nom de la ville des Cathares, près de Toulouse - et le lit ‘Foi’. L'objectif
était clair : aussi rapidement que possible gagner l'indépendance, non seulement
de l'état, mais aussi culturelle et linguistique. Dans le XVIIème siècle
ces pays nouvellement formés ont cherché à mettre fin à l'héritage du Grand Empire
"mongol". Ils ont en premier essayé de se retirer rapidement de la
langue slave parlée et de la langue slave écrite.
Ça n’a pas été trop
difficile. Il fallait juste imposer à l'école l'enseignement d'une nouvelle
langue, et après une ou deux générations, la vieille langue et l'écriture ont
été oubliées par la majorité de la population. Les livres anciens, écrits dans
la langue slave, sont devenus incompréhensibles. Ils ont commencé à
disparaître. En Europe occidentale, au XVIIème siècle, le processus
est allé particulièrement vite, comme il a, apparemment, été élevé au rang d'un
programme d'état de première importance. Ce n’est pas pour rien que des livres
interdits sont entrés dans l'index. L'histoire précédente, les livres et
l'écriture « hérétiques » ont été jetés dans le feu.
Notre reconstruction -
selon laquelle les langues ne sont pas lues comme elles sont écrites (par
exemple, en français), une pratique introduite il n’y a pas si longtemps - a été
confirmée par le fait curieux suivant. Il se trouve, toujours dans le sud de la
France, que dans certains villages et petites villes, les gens prononcent de
nombreux mots français modernes comme ils sont écrits, pas en règle avec la
langue française moderne. Cela vaut en particulier pour les noms de certains
villages français. C’est ce qu’ont dit des habitants à A. T. Fomenko en 1997.
Parfois, cela conduit à des situations intéressantes. Dans le langage courant,
les villageois prononcent le nom "comme il est écrit," et toutes les
lettres sont exprimées. Mais pour l'envoi de lettres au gouvernement, il est
nécessaire de dire le même nom déjà d’une façon moderne, occultant quelques
lettres.
Notre reconstruction
explique pourquoi dans certains endroits en France, existe la coutume de lire
toutes les lettres écrites. C’est un souvenir de la langue slave qui a existé
jusqu'aux XVIème-XVIIème siècles, et dans laquelle, comme
nous le savons, toutes les lettres écrites sont prononcées.
Aujourd'hui, la fondation
de nombreuses langues d'Europe occidentale est considérée latine. Telle est la
langue du "vieil" empire romain. Et cela est vrai. Il est seulement
nécessaire de préciser de quel type d'empire on parle. Selon notre
reconstruction, c’est le Grand Empire "mongol" des XIVème-XVIème
siècles. Cette ancienne langue latine - en fait le ruthénium, est celle de la
Russie-Orda. Rappelons que le ruthénium ou RUTIEY signifie Horta ou Horde par
lequel été appelée la Russie au Moyen Âge. Voir [517] et. HRON5, Chapitre 22:
1.
Le fait est que les sons R
& L sont souvent confondus. Par conséquent, certains auteurs ont appelé la
Ruthénie, à savoir la Russie-Orda - LUTENIEY ou Latino. Le fait que le
ruthénium et Luteniya soient un seul et même pays, est si détaillé dans les
textes de l’"ancienne" Égypte qu’il a de nombreuses fois été célébré par
un célèbre égyptologue Henry Brugsch. Voir. [99] et HRON5. Pas étonnant qu'il y
ait un grand nombre de parallèles entre les mots latins et slaves. Voir notre
glossaire de parallélismes dans HRON7.
Par conséquent, le latin est dérivé de la langue ruthène, à savoir la langue de Rus-Orda XIVème-XVIème siècles. C’est-à-dire les langues slaves. Par conséquent, dans le cadre de notre reconstruction, la base de nombreuses langues d'Europe occidentale est un slave médiévale, le langage ruthène.
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Il est évident que le lien entre l'Europe et l'Inde d'un point de vue purement géographique, c'est la Russie.
Un exemple parmi tant d'autres. On s'étonne ainsi qu'en anglais, le verbe le plus fondamental,"To be" = être, et sa forme la plus fondamentale "I am" = je suis, sont tous deux empruntés au sanskrit. Comment l'anglais a-t-il pu survivre avant l'arrivée de ces deux formes? Comment ont-elles effectué le voyage depuis l'Inde du nord? Pourquoi cet emprunt? La Nouvelle Chronologie éclaircit cette situation.
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Dictionnaire des parallélismes Latin-Slave par Fomenko et Nosovsky:
Les racines russes du latin « ancien ». Langue et écriture du Grand Empire
Denis Bannikov - Parallélismes entre le Slave et le Basque :
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jeudi 23 avril 2015
Liens entre Russie et langue arabe
3. Les mémoires d’un janissaire turc écrits en russe
« Mémoires d’un
janissaire » écrit par Konstantin Mikhaïlovitch d’Ostrowitz
"Cette chronique a à l'origine été écrite en
lettres russes, dans les années 1400 de Dieu" [56], p.116.
Certains livres
biélorusses ont été écrits dans l'alphabet arabe! Ce fait est bien expliqué par notre
reconstruction.
5. Inscriptions arabes sur
les vieilles armes russes
…Mais, selon notre reconstruction,
jusqu'à la fin du XVIème siècle, la Russie, la Turquie et la Perse
faisaient partie de l’ensemble du Grande Empire « Mongol ». Par conséquent, ces pays devaient
avoir un nombre considérable de traditions culturelles en commun. En particulier, les mêmes techniques
de production et de décoration d'armes. Malgré
une séparation due au schisme religieux du XVème siècle entre
l'orthodoxie et l'islam, les traditions étatiques et militaires des XVI-XVIIème
siècles devaient être encore très proches.
Y a-t-il
des preuves de cela? Oui, et même
très lumineuses. Et malgré le
nettoyage de l'histoire russe par les Romanov. Il semble, par exemple, que jusqu'au
milieu du XVIIème siècle, qui est l'époque des Romanov, les maîtres
russes décoraient encore des armes - même royales! – d’inscriptions en arabe. Ce n’est que dans la seconde moitié du
XVIIème siècle, il semble, qu’il a été décrété que ça ne se ferait
plus. Après, les armes russes
avec des inscriptions en arabe ont disparu…Cependant, les armes royales russes
avec des inscriptions en arabe, couvertes d'or, de diamants et d'autres bijoux,
réalisées par les meilleurs maîtres de l'Armurerie, ont été conservées, en raison de leur grande valeur. Dans le même temps, la plupart des
armes "russo-arabes" ont été remisées, voir. [1], Volume 7, Annexe 2.
Et aujourd'hui, une fois que tout cela a été oublié, une partie des « armes
dangereuses » est exposée dans des musées, et leurs photos publiées. Bien que, afin d'observer aujourd'hui les
inscriptions arabes des armes russes, nous devons exercer un soin particulier. Après tout, les étiquettes
explicatives de ces inscriptions sont «mauvaises» en général et ne disent rien. Elles sont souvent présentées de telle
sorte que les inscriptions arabes soient difficilement visibles. Notre attention est attirée par
E.A.Eliseev.
Nous
utilisons l'édition fondamentale « Armurerie de l’État » [33], qui
contient des images et des descriptions des objets précieux stockés dans l’Armurerie
du Kremlin à Moscou.
Par
exemple, le grand casque damasquiné des Tsars de Moscou, qui a été appelé chapka
de Jéricho [33], p.162.Voir. Figure 5.5 . Dans le
livre, « La Russie Biblique » nous l'avons déjà expliqué en détail …
…
Un autre exemple de
l'Armurerie : le couteau du prince Andrew Staritsky, fils d'Ivan III, Figure 5.6 .
Artisans
russes du début du XVIème siècle [33], s.150-151. Dans ce cas, le couteau est signé. Il contient l'étiquette RUSSE
certifiant le propriétaire: "Prince Ondrey Ivanovich, été 7021". L’année 7021 est donnée ici pour l'ère
de l'église d'Adam et, traduit dans l'ère moderne, signifie 1513 A.D. C’est le XVIème siècle.
…
L'album [33] contient l’image
frappante d’une armure miroir faite pour le Tsar Alexeï Mikhaïlovitch en 1670 par
le maître russe Grigory Vyatkin, « l'un des meilleurs armuriers de la seconde
moitié du siècle » [33], p.173. Voir. Figure 5.7 .
L’armure
comprend également un casque. Ils
constituent clairement un seul vêtement royal. Bien que l'inscription explicative du casque
seul ne dise rien. Les
inscriptions à ce sujet sont étonnantes. Les
inscriptions sont en arabe, ce sont des citations explicites du Coran. Sur la pointe de flèche du casque est
écrit: « Il n'y a pas d'autre Dieu qu'Allah, Mahomet - le Messager
d'Allah. » Au bas du casque
est un verset du Coran, la deuxième sourate, 256 (255). Toutes ces inscriptions ont été traduites
par T. G. Chernienko pour nous. Elles
sont faites dans l’écriture canonique arabe et la lecture n’est pas difficile.
On a le sentiment qu'une
très grande partie des armes médiévales russes étaient couvertes d’inscriptions
« illisibles » ou « en arabe ». Cette
idée est pleinement soutenue par des études détaillées menées par E. A. Eliseeva. Les résultats de ses recherches sont
énoncés à l'annexe 3 du présent livre, « la reconstruction de l'histoire
mondiale », livre 2 (Recherche 1999-2000) s.515-546. Il s’est avéré que les vieux sabres
russes étaient pour la plupart indiscernables du turc et souvent équipés
d'inscriptions arabes.
…
On peut voir une Amazone [voir l’article consacré à ce sujet] sur le casque.
5.15 Casque d’Ivan le
Terrible entreposé au musée royal de Stockholm. Il présente des inscriptions en
russe et en arabe.
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mardi 7 avril 2015
Gaélique / hébreu
The Holy Land of Scotland - Jesus in Scotland and the Gospel of the Holy Grail, Barry Dunford, 2002
L'acteur gallois Richard Burton remarqua que le gallois était "presque de l'hébreu pur".
[...]
George F. Jowett: "Alors qu'on dit que l'ancienne écriture phénicienne est l'ancêtre de la nôtre, les philologistes affirment que la langue Celte ou Cymric est la langue vivante la plus ancienne. Ses racines ont des affinités avec l'hébreu.[L'hébreu] ancien était dénué de voyelles. L'hébreu moderne n'existe que depuis le 6ème s.[...]"
Hew B. Colquhoun écrit dans "Our Descent From Israel" (1940) : "Dr. Stratton, un médecin de la Royal Navy publia une oeuvre sur les affinités entre le Celte et l'hébreu, donnant une liste de toutes les racines, montrant qu'il existe dans la langue gaélique des racines apparentées pour les deux tiers de toutes les racines de l'hébreu. Le Dictionnaire de Langue Gaélique de la Highland Society, en 4 volumes, cite des racines hébraïques apparentées pour environ la moitié de toutes les racines gaéliques.[...] Dr Stewart, le premier grammairien de la langue gaélique, attire l'attention de manière répétée sur les structures dans lesquelles le gaélique suit la forme hébraïque, en opposition avec tous les autres langages européens, et exprime l'opinion que le gaélique est un langage dans un état de transition entre les familles de langues Sémite et Aryenne.[...] Vous pouvez prendre n'importe quelle phrase en hébreu et la changer en gaélique, mot pour mot, sans altérer l'ordre d'aucun mot ou particule, et vous obtiendrez une phrase Celtique correcte dans chaque cas. Vous ne pouvez faire ceci avec aucun autre langage européen."
[...]
Les similitudes entre l'hébreu et le gallois sont telles qu'à plusieurs reprises il a été affirmé que l'ancien gallois est en fait de l'hébreu.[...]
Des phrases entières d'hébraïsmes archaïques se retrouvent dans l'obsolète langue cornique, et il y a des milliers de mots hébreu dans l'Erse ou le gaélique.
[...]
En 1827, la Bible Societies présenta des Bibles en hébreu aux natifs Irlandais plutôt que celles imprimées en anglais, lorsqu'on s'aperçut que les paysans irlandais comprenaient l'hébreu plus facilement que l'anglais.
L'acteur gallois Richard Burton remarqua que le gallois était "presque de l'hébreu pur".
[...]
George F. Jowett: "Alors qu'on dit que l'ancienne écriture phénicienne est l'ancêtre de la nôtre, les philologistes affirment que la langue Celte ou Cymric est la langue vivante la plus ancienne. Ses racines ont des affinités avec l'hébreu.[L'hébreu] ancien était dénué de voyelles. L'hébreu moderne n'existe que depuis le 6ème s.[...]"
Hew B. Colquhoun écrit dans "Our Descent From Israel" (1940) : "Dr. Stratton, un médecin de la Royal Navy publia une oeuvre sur les affinités entre le Celte et l'hébreu, donnant une liste de toutes les racines, montrant qu'il existe dans la langue gaélique des racines apparentées pour les deux tiers de toutes les racines de l'hébreu. Le Dictionnaire de Langue Gaélique de la Highland Society, en 4 volumes, cite des racines hébraïques apparentées pour environ la moitié de toutes les racines gaéliques.[...] Dr Stewart, le premier grammairien de la langue gaélique, attire l'attention de manière répétée sur les structures dans lesquelles le gaélique suit la forme hébraïque, en opposition avec tous les autres langages européens, et exprime l'opinion que le gaélique est un langage dans un état de transition entre les familles de langues Sémite et Aryenne.[...] Vous pouvez prendre n'importe quelle phrase en hébreu et la changer en gaélique, mot pour mot, sans altérer l'ordre d'aucun mot ou particule, et vous obtiendrez une phrase Celtique correcte dans chaque cas. Vous ne pouvez faire ceci avec aucun autre langage européen."
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Les similitudes entre l'hébreu et le gallois sont telles qu'à plusieurs reprises il a été affirmé que l'ancien gallois est en fait de l'hébreu.[...]
Des phrases entières d'hébraïsmes archaïques se retrouvent dans l'obsolète langue cornique, et il y a des milliers de mots hébreu dans l'Erse ou le gaélique.
[...]
En 1827, la Bible Societies présenta des Bibles en hébreu aux natifs Irlandais plutôt que celles imprimées en anglais, lorsqu'on s'aperçut que les paysans irlandais comprenaient l'hébreu plus facilement que l'anglais.
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