Les travaux de la Nouvelle Chronologie évoquant ceux du Professeur Davidovits.
Les découvertes les plus intéressantes du récentisme russe
mercredi 29 avril 2015
Les excellentes vidéos de LaMiseàJour du Cerveau n°4
L'Alchimie des Pyramides:
Les travaux de la Nouvelle Chronologie évoquant ceux du Professeur Davidovits.
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Jeanne d'Arc
Deux livres sont consacrés à l'héroïne de la France. A gauche Jeanne d'Arc, Samson et l'Histoire Russe d'Anatoly Fomenko et Gleb Nosovsky, à droite Jeanne d'Arc, Princesse de Moscou d'Igor Agrantsev:
Dans le second, l'auteur dresse les parallèles entre Jeanne d'Arc et une princesse russe, Natalya Kirillovna Naryshkina.
Concernant le premier...
Chapitre 1 : Parallèles entre Jeanne d'Arc et la Déborah biblique [toutes deux ont été comparées par les auteurs médiévaux]
Chapitre 2 : Parallèles entre Gilles de Rais et Samson.
Chapitre 3 : Evénements bibliques, événements médiévaux
Chapitre 4 : Samson ou l'histoire de la lutte entre zemchtchina et opritchnina - période d'Ivan le Terrible, XVIème siècle.
(le récit traite ensuite de sujets connexes ou même différents:
Chapitre 5 : Kulikovo ; Sibérie ; Novgorod
Chapitre 6 : Nouvelles données sur la Nouvelle Chronologie ; Dürer etc...)
Dans le second, l'auteur dresse les parallèles entre Jeanne d'Arc et une princesse russe, Natalya Kirillovna Naryshkina.
Concernant le premier...
Chapitre 1 : Parallèles entre Jeanne d'Arc et la Déborah biblique [toutes deux ont été comparées par les auteurs médiévaux]
Chapitre 2 : Parallèles entre Gilles de Rais et Samson.
Chapitre 3 : Evénements bibliques, événements médiévaux
Chapitre 4 : Samson ou l'histoire de la lutte entre zemchtchina et opritchnina - période d'Ivan le Terrible, XVIème siècle.
(le récit traite ensuite de sujets connexes ou même différents:
Chapitre 5 : Kulikovo ; Sibérie ; Novgorod
Chapitre 6 : Nouvelles données sur la Nouvelle Chronologie ; Dürer etc...)
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dimanche 26 avril 2015
Les "trompettes" du Jubilée et la prise de Jéricho
A titre de comparaison,
nous présentons la figure médiévale de l'un des premiers canons-fusils tirée du
livre de John Keegan, « A History of Warfare » [1217]. Voir. ris.4.35.
L'image
date du début du XVème siècle, autour de l'an 1400. Elle est presque identique avec les
"anciennes" images de mousquets sur l'autel de Pergame et le Psautier
de Paris [mentionnés plus haut dans ce chapitre]. John Keegan note que « un siècle plus
tard, les soldats portent l’arme sur son épaule, » [1217], s.272-273. C’est exactement comme indiqué dans
les images "antiques", qui
appartiennent en fait aux XVème-XVIème siècles, et non à
la période de l'antiquité, où elles ont été mises par erreur par la chronologie
de Scaliger.
Sur ris.4.36 nous présentons une image d'un canon médiévale primitif. Elle est empruntée du même livre, John Keegan [1217].
Sur ris.4.36 nous présentons une image d'un canon médiévale primitif. Elle est empruntée du même livre, John Keegan [1217].
La miniature date de l'année 1326
et est considérée comme la première image survivante d’un vieux canon. La photo montre le "lanceur"
qui enflamme l’arme. Une image
étonnamment similaire au mystérieux feu grégeois "antique". Jusqu'à présent, les historiens ne
comprenaient pas comment le "vieux feu" agissait. Mais maintenant, il est clair que le
feu grégeois c’est juste un canon médiéval à boulet. Il n'y a pas de mystère. Le mystère a émergé seulement du fait
que la description des armes à feu médiévales a été déplacée à tort aux temps
anciens, lorsque les armes à feu n’existaient pas. Nous donnons sur ris.4.37 une
vieille image d’un navire
"avec le feu grec, enfermé dans des
vases d'argile" [578], livre 1, p.132. Cependant,
comme nous comprenons maintenant, ce ne sont pas des pots en argile, comme les
historiens pensent à tort, mais des anciens canons. Exactement comme dans l'image de 1326, ris.4.36 .
…
Donc ce fameux feu
grégeois, qu’utilisaient les Grecs "antiques" sur le champ de
bataille, est également susceptible d'avoir été une arme à feu au moyen-âge. Les batailles "antiques"
étaient vraiment médiévales.
Très probablement, les célèbres "trompettes", du fait desquelles, comme le dit la Bible, ont été détruites les murailles de Jéricho, furent en réalité des canons médiévaux. Sur ris.4.39 nous présentons une image médiévale intéressante de l'histoire biblique de la prise de la ville de Jéricho, faite par les Italiens Lorenzo Ghiberti et Benozzo Gozzoli [442], p.6, ill.5.
Très probablement, les célèbres "trompettes", du fait desquelles, comme le dit la Bible, ont été détruites les murailles de Jéricho, furent en réalité des canons médiévaux. Sur ris.4.39 nous présentons une image médiévale intéressante de l'histoire biblique de la prise de la ville de Jéricho, faite par les Italiens Lorenzo Ghiberti et Benozzo Gozzoli [442], p.6, ill.5.
Elle est conservée dans le musée de la
cathédrale de Florence. Sur la
gauche, nous voyons des gens devant les murs de Jéricho, avec des trompettes remarquablement
semblables à celles qui apparaissent dans les images ci-dessus que nous avons montrées
d’"antiques" canons à boulet et de mousquets. Peut-être l'artiste avait à l'esprit
ici la conduite habituelle. Pourtant,
en regardant l'image, il est difficile de dire sans équivoque ce que l'on voit. Des soldats sui sonnent la trompette,
ou qui visent avec des mousquets, ris.4.40. Par
ailleurs, vous devez faire attention à comment est illustrée ici la ville
biblique de Jéricho. C’est une
puissante cité médiévale fortifiée. Ce genre, en Palestine, apparemment n’existait
pas. Il n’y en a aucune trace.
Sur ris.4.41 est
présentée une miniature
médiévale de J. Fouquet de 1470 :
"la prise de Jéricho" [533], Volume 1, s.489. La ville biblique de Jéricho est
montrée ici comme une ville européenne médiévale typique, ris.4.42.
En conclusion nous souhaitons offrir une
observation psychologique. Comme
nous l'avons dit, dans quelques vieilles bibles exposées dans des musées, ou
dans celles que nous avons pu parcourir dans des collections privées, nous
sommes tombés sur de curieuses illustrations, comme celles décrites ci-dessus. Par exemple, les armes à feu dans
l'armée d'Israël, allant à la conquête de la "terre promise". Voir le
Musée Gutenberg de Mayence, ris.4.27 et ris.4.28 . Ou
les aigles à deux têtes russes sur les bannières des Israélites dans les pages
de la Bible Scorina [71]. Voir.
Ris.0.2. Et ainsi de suite.
…
Voir l'aigle bicéphale sur la bannière en bad de l'image, dans le coin bas à droite de la "boîte".
6.13.2. Pourquoi
les murs de Jéricho sont-ils tombés ?
La Jéricho biblique c’est Tsar-Grad [Constantinople /
Jérusalem]. L’histoire connue de
la capture de Jéricho par les troupes de Josué a longtemps attiré l'attention
des chercheurs de la Bible. Rappelons
que Jéricho est décrite dans la Bible comme une ville riche. Le principal obstacle à sa prise était
les puissantes murailles de Jéricho qu'il était nécessaire de détruire (Josué
6).
Nous avons déjà vu que la Bible décrit probablement la
conquête Ottomane = Atman du XVème siècle, commencée par Moïse. Par conséquent, nous devons nous
attendre à ce que dans la description biblique apparaisse la prise de
Constantinople en 1453, parce que
c’est un des événements les plus importants de la conquête ottomane = Atman du XVème
siècle. La Bible ne peut pas passer
outre. En effet, le livre de
Josué commence avec le fait que, après avoir traversé le Jourdain (c.-à-d.
probablement après le passage du nord au sud du Danube), les troupes des impies/hérétiques
= Israéliens commencent le siège de la ville de Jéricho, entourée par des murs
épais. Sur l’ensemble du livre de
Josué, Jéricho est la seule ville qui a été prise à la suite d’un siège
difficile.
Donc, notre idée: le siège et la prise de la ville biblique
de Jéricho – c’est le fameux siège et la prise de Tsar-Grad. Nous trouvons une
confirmation de cette idée dans la Bible.
1) Toute la description de l'état de siège de Jéricho s’articule
autour de ses murs. Mais il est
bien connu qu'une triple puissante ceinture de fortifications entourant
Constantinople fut considérée comme l'une des merveilles de l'art médiéval de
fortification.
2) La Bible dit que les murs de Jéricho ont été détruits
par les assiégeants d'une certaine façon inhabituelle. Avec un « son fort », des « trompettes
du Jubilée » (Josué 6). Notre
reconstruction est que les « trompettes » sont juste des canons. Le "son fort" est le bruit
du canon. Les canons du siège ont
détruit les murs. Pourquoi
« Jubilée » (Josué 6) ? La
réponse semble très simple. En
latin, le mot BELLUM signifie GUERRE [55], p.128. Alors les « trompettes »
bibliques sont juste des « trompettes militaire », des canons.
Illustrations des "Chroniques Florentines" du XVème siècle, Josué puis Jéricho:
Notez la croix chrétienne et la coupole orthodoxe sur la tour dans le coin en haut à droite.
...
Voyons ce que raconte de la prise de Constantinople
l'historien Jalal Essad dans le livre [56]. Il
est connu que les murs de la Tsar-Grad ont été détruits par les Ottomans = Atmans
utilisant de très puissants, d'énormes canons de siège…
Le siège a commencé ainsi : "A l'aube le premier coup de feu
a été entendu, suivi de peu par des tirs de canons généralisés. Toute la ville fut
saisie par l'horreur. Pour charger les gros canons, il ne fallait pas moins de
deux heures ... Les boulets pesaient 600 kg. Quatre autres armes ... Des obus en
métal, moins lourds. Toutes ces armes ont dirigé leur feu sur les coins d'une
base de triangle imaginaire, prise à la partie la plus faible des murs, afin de
faire une brèche, puis ils ont tiré vers le haut du triangle "[56], p.43. Le gros canon est tombé en panne et a
explosé. "Alors que les
Ottomans priaient, la ville subit un orage avec de forts coups de tonnerre… Les
éclairs semblaient ensanglantés. Ce phénomène a ravivé les espoirs des
musulmans et les Byzantins ont massivement réagi le mardi matin ... 29 mai
1453, à l'aube les sons de cornes, timbales, nakkari (petits tambours) ont
donné le signal de départ de l'attaque... La bataille était terrible, éparpillée
le long de tous les murs ... On entendait de temps en temps retentir le son inquiétant
des cornes ... La bataille a duré plus de deux heures…» [56] s.52-53. Apparemment, c’est la prose de
Tsar-Grad qui se reflète dans la Bible comme la capture de Jéricho à la suite
de la chute des murs causée par les "sons forts des trompettes du Jubilée."
3) La Bible dit que la prise de Jéricho a commencé
immédiatement après la fête de la Pâques. "Et
les enfants d'Israël campèrent à Guilgal, et célébrèrent la Pâques le
quatorzième jour du mois, au soir, dans les plaines de Jéricho, et le lendemain
de la Pâques, ils mangèrent de la terre» (Josué 5: 10-11). Voici très clairement déclaré que les
Israéliens = impies/hérétiques ont attendu la fin du Carême et de la fête de Pâques
pour commencer l'assaut. Rappelons,
en passant, que la fête de la Pâques dure une semaine.
Et que savons-nous sur le sujet du siège de Tsar-Grad par
les Ottomans en 1453 ? Jalal Essad
a déclaré: "Ce siège mémorable a débuté le 6 Avril, 1453 ... Le 6 Avril,
1453 à l'aube, on a entendu le premier coup de feu," [56] s.40, 43. Voyons quand était la Pâques
chrétienne en 1453 ? La réponse
est donnée : Pâques était le 1er Avril ! Comptons
une semaine et nous obtenons le 7 Avril. Ainsi,
la prise de Tsar-Grad a commencé presque immédiatement après Pâques à la fin de
la semaine de Pâques. C’est une
correspondance idéale avec la Bible et confirme notre identification avec la prise
de Jéricho et la prise de Tsar-Grad. À
cet égard, nous rappelons une fois encore que les différences apparemment
rituelles de l'islam et de l'orthodoxie ne sont apparues que plus tard, c’est-à-dire
dans les XVIème-XVIIIème siècles. Pour plus de détails, reportez-vous au
livre "Empire".
6) Dans le livre [nh6a] nous avons prouvé l'idée que Tsar-Grad
a été prise en 1453, par l'armée russo-turque - ottomane = atman. Dans le même temps, comme nous le
savons, la force de frappe principale était les célèbres janissaires, qui sont
également connus dans l'histoire de Scaliger ; ils étaient Slaves [638],
p.48. Il s’avère que les noms de
ces janissaires n’étaient pas turcs. Ouvrez
le livre de l’historien turc Jalal Essad [56]. Voici ce qu'il dit à ce sujet. Au cours de l'assaut final de
Constantinople, l'un des janissaires turcs a montré un héroïsme spécial. Son nom était Hasan Ulu Abadly. Le lecteur va demander: s’il a
remarqué quelque chose d'étrange à ce sujet? Probablement
pas. Mais l'historien turc Jalal
Essad Bey, qui venait d'une famille musulmane noble et militaire
professionnelle [56], p.9, voit une contradiction claire ici. Il écrit, "Hammer a déclaré que
les soldats étaient des janissaires. Mais à en juger par son nom Ulu Abadly était
bien Turc" [56], p.53. Qu’est-ce
qui se passe ? Les revendications
de Jalal Essad sont les suivantes : les janissaires ne portaient pas des noms
turcs. Quelle sorte de nom nous
demandons ? Notre reconstruction donne la réponse : des noms russes. Par exemple, Ivan, Igor, Michael,
Svyatoslav, etc. Et Jalal Essad le
savait. Par conséquent, il dit que
le héros avec un nom turc ne pouvait pas être un janissaire ! Voici, par exemple, le nom de l'un des
célèbres janissaires turcs, «janissaire Michael Serbe d’Ostrowitz" [966], Volume
5, p.111. En outre, il semble que
les gardes du corps des empereurs byzantins médiévaux étaient russes. C’est ce que les historiens allemands
ont rapporté à la fin du XIXème siècle [966], Volume 5, p.77.
En conclusion, citons le célèbre historien T. N. Granovsky:
"Le sultan a la meilleure infanterie en Europe ... C’était une étrange infanterie...
les janissaires ... ils ont gagné toute la grande bataille à Varna, avec le
Kosovo, et ils ont capturé Constantinople. Ainsi pour cette raison, la
population chrétienne a soutenu le sultan turc de son pouvoir »[638], p.48.
Les historiens allemands de la fin du XIXème
siècle ont rapporté ce qui suit: "La majorité des Turcs doit son origine à
une mère chrétienne ou à des mères de race mongole" [966], Volume 5,
p.140.
Selon Jalal Essad, à Istanbul « a été proclamé, en
1826, par Mahmud II, le décret sur la dissolution des janissaires » [56],
p.253.
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Léonidas et ses 300 Spartiates - Jean La Roche et ses 300 chevaliers
13. Les 300 chevaliers
médiévaux du duc Jean LA ROCHE : Ce
sont les fameux 300 Spartiates ‘"antiques" du roi Léonidas.
Un des épisodes les plus
célèbres et les plus romantiques des guerres médiques "classiques"
est le combat courageux de 300 Spartiates contre les forces perses de Xerxès
aux Thermopyles, prétendument en 480 av. J.C. Peut-être que les troupes des Thermopyles
venaient de Russie Blanche, dirigées par
le duc ou roi Cosaque ? La mort
tragique de 300 Spartiates et de leur roi Leonidas a été racontée dans de
nombreux ouvrages. Il faut s’attendre
à ce qu’une certaine forme de cet épisode remarquable apparaisse dans
l'histoire médiévale des XIIIème-XIVème siècles de notre
ère. En effet, un tel épisode est
détecté dans un livre de F. Gregorovius [195]. En outre, cette bataille n’est pas
seulement décrite par les chroniqueurs médiévaux, mais elle est aussi mise en
texte clair en parallèle avec l’"antique" bataille des Thermopyles ! Comment
exactement se ressemblent-elles ?
Rappelons que selon les résultats
de HRON1, chapitre 6, le décalage de 1810 ans se manifeste parfois comme un
décalage de 1800 ans ou 1778 ans. Par
conséquent, il faut essayer de prendre du recul un peu en arrière dans le
temps. Et nous rencontrons
immédiatement les 300 chevaliers médiévaux Spartiates !
En 1275 A.D. avec le duc Jean La Roche (Ivan Rash
ou Ivan Rus ?). Et le mot ГЕРЦОГ ~ Gertsog = duc, n’est-ce pas КСЕРКС ~ Kserks= Xerxès? Son
histoire est la suivante. Les
Turcs (TRK-PRS), avec le soutien des Grecs et des Coumans assiégeaient la ville de
Néopâtre. Sébastocrator fuît Néopâtre,
fit son chemin à travers les Thermopyles et se tourna vers Jean La Roche (Ivan
Ros ?) pour de l'aide. Le duc (Xerxès
?) décida de soutenir Sébastocrator et se dirigea vers le défilé des Thermopyles [195],
p.188 (17). Donc, à la fois dans
l'histoire d'Hérodote sur la campagne « antique » de Xerxès, et dans l'histoire
médiévale du duc Jean La Roche (Ivan Rosa ou Rus ?), on trouve les célèbres
Thermopyles.
68a. Invasion des Byzantins et des Turcs en
Grèce au XIVème siècle après J.C. Le
général Senadenos, analogue de l’"antique" Xerxès dans cet
épisode, envahit la Thessalie avec « un armée exceptionnellement grande. » De la mer, sa flotte le soutien [195],
p.188 (17). Il attaque en Grèce les
troupes byzantines et turques (PRS).
68b. « Grèce Antique ». Invasion perse. Une énorme armée de Perses (P-Rus ?) dirigée
par Xerxès envahit la Grèce. De
la mer, les Perses on le soutien d’une grande flotte. Dans cet épisode de l’"antiquité"
locale, Xerxès est probablement le reflet du général
Senadenos et son adversaire, le roi Spartiate Leonidas, une réflexion fantôme
du duc Jean de La Roche (Ivan Rosa ?).
69a. TROIS CENTS CHEVALIERS DE JEAN LA
ROCHE Dans le XIVème siècle après J.C. Jean La Roche "avec 300
chevaliers bien armés" répond à la grande armée toute proche des Turcs, des
Grecs et des Coumans [195], p.188 (18). Couman
[kumani] - Caumont [komon] – cheval [kon] – chevaliers [konniki] ? S’engage une bataille féroce. Le duc l’emporte sur l'ennemi. C’est ici Xerxès – duc [gertsog] à
nouveau. Par ailleurs, parmi les
trois cents chevaliers "on trouve aussi les messieurs de Saint-Omer (c.-à-d.
Homer, Omar des ottomans ? - AF)" [195], p.188 (17).
69b. « Grèce Antique ». Les trois cents Spartiates du roi
Leonidas. Le roi Spartiate
Leonidas avec trois cents Spartiates, aux Thermopyles, rencontre une immense
armée des Perses (P-Rus ?) [258], p.190. A
la fois dans l’"antiquité" et dans la version médiévale est indiqué
le même nombre de soldats – TROIS CENTS !
Dans le combat inégal "antique" le cruel Xerxès gagne les Spartiates,
même s’il obtient la victoire pour un prix anormalement élevé.
La bataille médiévale de trois
cents chevaliers avec des forces ennemies supérieures est bien identifiée avec
la bataille "antique" des trois cents Spartiates, grâce aussi à la
scène suivante. Il est rapporté
que << face à ses nombreux ennemis il (le Duc - AF) a déclaré voir,
"beaucoup de gens, mais peu d'hommes" >> [195], p.188 (18). Tout connaisseur de l’histoire "antique"
s’écrie immédiatement : « Mais, c’est la phrase d'Hérodote quand il parle de
Xerxès ! » En effet, ce sont
les mots exacts d'Hérodote: "Alors, on peut dire, il est devenu évident,
en particulier pour le roi (Xerxès - AF), que les Perses sont beaucoup, mais
les hommes [parmi eux] peu" [163] 7 210, s.369.
Dans l'histoire Scaligeriénne
il s’avère que le duc médiévale du XIVème a été si hautement
instruit qu’« accidentellement », une fois dans les Thermopyles, et en
participant à une bataille étrangement similaire à l’"antique"
bataille des 300 Spartiates avec Xerxès, il a « accidentellement » et avec
enthousiasme cité l’"Hérodote antique," parlant de cette bataille !
Si c’est lumineux et
étrange – pour l'historien moderne – le parallèle a immédiatement attiré
l'attention de F.Gregorovius. Et
il donne immédiatement le commentaire suivant : << Je pense que ces mots
(du duc médiéval - AF) ont été empruntés à Hérodote VII: 210, où Xerxès, aux
Thermopyles, est convaincu qu’il y a « beaucoup de gens des Perses, et des hommes
[parmi eux] un peu. » … >> [195], p.188 (18).
On peut dire : Eh bien,
est-ce étrange ? Les chevaliers
médiévaux lisaient beaucoup et étaient des gens très instruits. Pris au milieu de la bataille des
Thermopyles, entre le cliquetis du fer, du sang, et le bruit des chevaux, ils se
sont arrêtés et ont commencé à citer les œuvres immortelles, inspirés par les
classiques "antiques". En
outre, l’expression est appropriée.
À notre avis, il y a une
explication très différente. Très
probablement, la bataille médiévale des 300 chevaliers aux Thermopyles en 1275
A.D. a été décrite par plusieurs
chroniqueurs médiévaux, y compris
Hérodote dans son "Histoire", comme la bataille des 300, avec le roi
perse Xerxès. Il s’ensuit qu’Hérodote
a écrit son livre avant la fin du XIIIème siècle A.D. Et plus probablement encore dans les
XVème-XVIème siècles.
Nous retournons à la
bataille. "Il (le duc - AF)
se précipita courageusement vers le camp ennemi, dispersa la grande armée de Paleologos
et remporta une brillante victoire, et la ville de Néopâtre. (Néo-Sparte - AF) fut
libérée, échappant à l'ennemi qui fut forcé de se retirer de Thessalie" [
195], p.188 (18). La différence
entre l'année 1275 A.D. et la soi-disant
année 480 av. J.C. est de 1755
ans. C’est proche du décalage
chronologique de 1778 ans ou de 1800-1810 ans. Nous pouvons voir que la quantité de
décalage varie légèrement d'une source à l’autre. Mais ces écarts sont faibles par
rapport à l'ampleur du changement qui est presque de deux mille ans.
Nous avons déjà noté que
l'historien Ferdinand Gregorovius, un connaisseur de « l'antiquité » et expert
reconnu sur le Moyen Âge, dit souvent qu’elle est étrange pour lui, cette "renaissance
de l'antiquité" au Moyen Age. C’est, tout simplement, un double-parallèle. Mais étant mis sur la chronologie de
Scaliger, il ne comprenait pas l'essence de ce qui se passait et se limitait à
une déclaration attentive des faits, sans en tirer des conclusions. Mais nous pouvons déjà tirer une
conclusion, car elle est fondée sur des études empiriques et statistiques qui
ont clarifié l'image globale de ce qui se passe.
Ici, par exemple, nous
avons constaté que les "antiques" Perses sont le reflet des Francs-Français
ou P-Rus, des Turcs Ottomans, des Tatars. L’histoire
de la Grèce de la première moitié du XIVème siècle A.D. est si bien alignée avec la
"Grèce antique" par un décalage de 1810 ans que F. Gregorovius pointe
des parallèles avec l'époque de Darius (Horde?) et de Xerxès (duc ou roi cosaque?). << Suleyman (Osman-Ottoman, un
acte qui est également partiellement inclus dans la biographie de Xerxès - AF),
le fils courageux d’Orkhan, en 1354 a franchi la nuit obscure de l'Hellespont
... C’était la première entreprise turque à mettre le pied sur le sol européen. Les Byzantins comparaient cette horde
de conquérants (notez l'apparition ici du nom ORDA - AF) avec la Perse et les a
même appelés du même nom (! - AF). Mais
les Ottomans étaient terribles et plus heureux que les gens de Darius et de
Xerxès >> [195], p.252.
On notera au passage une circonstance
intéressant. Comme nous pouvons
le voir, les Byzantins médiévaux ont appelé les Turcs - Perses. Et les commentateurs et les
traducteurs n’ont commencé que plus tard à remplacer partout le mot « Perses »
dans les textes byzantins par « Turcs ». Sinon,
nous aurions « les anciens Perses » toujours présents dans le Moyen Age, ce
que l'histoire de Scaliger ne peut avoir.
F. Gregorovius attire
encore et encore sur un parallèle entre les invasions Osmaniennes Chypriotes des
XIVème-XVème siècles, et l'invasion des Perses (P-Rus ?)
"antiques". "Les Grecs et les Francs peuvent encore trembler à
la pensée que le terrible seigneur de l'Asie, comme Darius et Xerxès va
repousser les limites de leur monarchie dans toute l'Europe "[195], s.302.
samedi 25 avril 2015
Evgeny Gertsman - Histoire secrète de la musique ancienne
Si les scientifiques ont raison,
l'histoire de la musique de la Grèce antique, la Rome antique et de Byzance a
duré un total de 28 siècles. Cependant,
on a seulement préservé des preuves de pratiques musicales pendant 16 siècles. Où sont les matériaux des 12 autres siècles
? Le grand mathématicien Euclide
a créé un traité sur la musique - qui lui a attribué ? Comment un élève d'Aristote Aristoxène
de Tarente pouvait-il connaître le principe de base du système musical
byzantin, est entré en service 12 siècles plus tard ? Quand le célèbre astronome
d'Alexandrie Claude Ptolémée a-t-il écrit un essai appelé "Harmoniques"
? Qui fut celui qui attribua les
motets à Jean de Damas ? Pourquoi
le chrétien Boèce dans son livre "Sur la création musicale" n’écrit-il
pas un mot sur la musique de l'église ? Quand
le célèbre compositeur byzantin Jean Coucouzèle
a-t-il vécu ?
Ceci et beaucoup plus est discuté dans le livre " Histoire secrète de la musique ancienne".
Thèse:
https://vk.com/topic-53284800_29332729
Admirez la complexité des instruments à cordes des égyptiens "anciens":
A l'inverse notez que les flûtes grecques du soi-disant Vème siècle av. J.C. n'ont pas évolué en deux millénaires et demi:
Garry Kasparov, préface du "Book of Civilization" de Kesler et Davidenko:
"L'aspect primitif des instruments de musique. La variété des instruments aurait pu s'étendre en plus d'un millénaire à autre chose que la harpe, cithare, anche, flute. Il n'existe pas de trace d'instruments à percussion... Pendant mille ans de "Grèce ancienne", ils auraient pu inventer autre chose...
Rome adopte tout ce qui vient de Grèce mais en musique rien ne se passe...
Les notes n'ont pas encore été inventées. Il n'y a pas de notes! Il n'est pas clair comment une société aussi sophistiquée pouvait se débrouiller sans un système de notation de sons. Par conséquent, rien ne reste. Nous ne disposons pas de partitions/recueils car il n'y avait pas de notes."
Ceci et beaucoup plus est discuté dans le livre " Histoire secrète de la musique ancienne".
Thèse:
« Tous les anciens écrits sur la musique ont été écrits
dans l'Empire byzantin. »
« Des personnes non identifiées d’origine byzantine ont
truqué toute l'histoire de la musique ancienne.
Comme il s’est avéré au cours de l'enquête, tous les
travaux sur la musique, écrits en grec et en latin, entre le IVème et
le VIème siècle av. J.C., et attribués à Aristoxène, Euclide,
Philodème, Plutarque, Théon de Smyrne, Nicomaque, Ptolémée, Aristide Quintilien,
Porphyre, Cléonide, Boèce, Cassiodore et al., en fait, n’ont pas été créé avant
les IXème-Xème siècles.»
Kesler :
J’ai dit à plusieurs reprises que l'histoire
de l'art musical est tellement contraire à l'histoire traditionnelle de la civilisation, qu'elle seule peut
servir de base à une révision radicale de l'histoire - en combinaison avec les
sciences naturelles dans une approche interdisciplinaire. Le livre de Gertsman couvre non
seulement les traditionnels 28 siècles d'histoire antique et médiévale de la
musique (dont au moins 12 sont tout simplement supprimés à la suite d'une
analyse très approfondie des sources), ses résultats sont directement en ligne
avec les articulations et le développement de rétro-analyse chronologique
indépendante de la musique à partir d'aujourd'hui jusqu'à environ le 11ème s. Son analyse historique professionnelle,
polie au cours du débat de 30 ans avec des collègues, Evgeny Gertsman a, en
fait, déjà apporté une contribution inestimable au projet de la civilisation. Et son travail n’est pas seulement
fondamental, mais aussi « novo-paradigmatique », comme il examine les
raisons du changement drastique du paradigme musical dans le Moyen-Age, ce qui
lui donne une raison de prédire certains aspects de l'avenir...
Zhabinsky :
Extraits (« ») et commentaires du livre d'E. Gertsman « Histoire
secrète de la musique ancienne » :
« La longue histoire de la musique ancienne est
beaucoup plus courte que l'on croit généralement aujourd'hui... Donc,
l'histoire générale de la musique ancienne, selon la chronologie historique
moderne, a duré 28 siècles. Cela comprend 18 siècles de la musique ancienne (du
XIIIème siècle av. J.C. au Vème A.D.) et plus de 11
siècles de musique byzantine (IVème au XVème siècle.).
Mais comme les IVème et Vème siècles sont « commun » aux
musiques ancienne et byzantine, le total s’avère être de 28 siècles. L'analyse
des faits prouve qu’à l'ancienne histoire de la musique, de cette durée lui
manque un total de huit siècles (« trou » du XIIIème au VIIIème
siècle av. J.C. et du IVème au Vème siècle A.D.). Dans le
même temps elle a révélé un « trou dans la Rome antique » de six
siècles (du VIIIème au IIème siècle av. J.C.). »
Nous observons exactement le même « trou »,
c.-à-d. une absence totale, dans l'histoire de l'art romain du Ier
siècle av. J.C. au ( ? ) A.D. Alors que la littérature se développe, au
moins à partir du IVème siècle.
« Dans l'histoire de la musique byzantine aussi « manquent »
six siècles (du IVème au IXème A.D.). Mais à la période
initiale du trou byzantine deux siècles se « combinent » avec le « trou
ancien » (IVème-Vème siècle A.D.). »
« Pour l'ensemble de l'ancienne histoire de la
musique, le « trou byzantine » ne devrait être considéré que sur seulement
quatre siècles ... une coïncidence absolue avec les résultats de l'analyse
d'œuvres art et de littérature! »
« L'analyse des sources suggère qu’on ne peut parler
de la pratique musicale de Byzance que, dans le cadre de l'époque, à partir des
IXème-Xème siècles. En outre, la période byzantine, celle
qui est considérée comme ancienne, a pendant longtemps été caractérisée par les
mêmes genres. Seulement plus tard, à partir des XIIème-XIIIème
siècles peuvent-ils être divisés en deux groupes : le premier d'entre eux peut
être appelé païen, et le second, chrétien. »
Comme vous pouvez le voir il y a un plein accord avec les
résultats de l'analyse d'œuvres d'art et de littérature dans « Une autre histoire
de l’art » et « Une autre histoire de la littérature » [deux livres
de Zhabinsky et Kalyujny], et aussi avec l'idée que le christianisme n’a pas surgi
avant le XIIème siècle.
« Tous ces faits indiquent que les pratiques
musicales païennes et de l'église, ainsi que certaines tendances générales
(bien sûr, pas sur tout) dans les temps anciens ne sont pas si éloignées dans le
passé. »
« Quoi qu'il en soit, il est clair que l'ancienne
notation musicale grecque a été utilisé avec succès à Byzance encore assez
longtemps après le Xème siècle. Cependant, dans les églises s’est peu
à peu formée une notation différente, conçue pour véhiculer notamment le répertoire
de chant liturgique et toute la nouvelle pensée musicale. »
Ainsi, la notation musicale byzantine, qui a probablement
commencé dans le XIIIème siècle et s’est développée réellement dans
les XIVème-XVème siècles, en raison de la confusion
chronologique est maintenant passée aux IVème, Vème, VIIème
et IXème siècles. Ces coïncidences ne peuvent pas être surestimées :
parce que la musique n’a presque rien à voir avec la créativité artistique.
Admirez la complexité des instruments à cordes des égyptiens "anciens":
A l'inverse notez que les flûtes grecques du soi-disant Vème siècle av. J.C. n'ont pas évolué en deux millénaires et demi:
Garry Kasparov, préface du "Book of Civilization" de Kesler et Davidenko:
"L'aspect primitif des instruments de musique. La variété des instruments aurait pu s'étendre en plus d'un millénaire à autre chose que la harpe, cithare, anche, flute. Il n'existe pas de trace d'instruments à percussion... Pendant mille ans de "Grèce ancienne", ils auraient pu inventer autre chose...
Rome adopte tout ce qui vient de Grèce mais en musique rien ne se passe...
Les notes n'ont pas encore été inventées. Il n'y a pas de notes! Il n'est pas clair comment une société aussi sophistiquée pouvait se débrouiller sans un système de notation de sons. Par conséquent, rien ne reste. Nous ne disposons pas de partitions/recueils car il n'y avait pas de notes."
Les Livres de la Nouvelle Chronologie 5 - La Russie et Rome
La série a été rééditée depuis, voir plus bas.
Volume 1. La chronologie médiévale a "rallongé l'histoire". Les mathématiques en histoire. Nouvelle chronologie. Changer les dates
Volume 2. Nouvelle chronologie de la Russie. Chronologie de l'histoire chinoise et ses parallèles avec l'histoire européenne.
Volume 3. Angleterre. La Grèce "antique". La datation de la Nativité et du premier concile œcuménique.
Volume 4. La conquête slavo-turque du monde.
Volume 5. L'Empire de la Russie-Horde contenue dans les pages de la Bible.
Volume 6. Moscou - La Jérusalem de l'Ancien Testament. Qui est le roi Salomon?
Volume 7. La colonisation de l'Amérique par la Russie-Horde aux XVème-XVIème siècle.
Réédition:
Volume I "La Russie et Rome (hypothèse sensationnelle de l'histoire du monde)"
Volume II "La Russie et Rome (Nouvelle Chronologie. Empire Russie-Horde)"
Libellés :
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Tacite et Bracciolini - Les Annales Falsifiées au XVème s.
"Tacite et Bracciolini - Les Annales Falsifiées au XVème s." est un livre de JOHN WILSON ROSS (1818-1887) disponible en anglais ici, prouvant qu'au moins "Les Annales" de Tacite sont en fait l'oeuvre d'un personnage du XVème [à l'échelle scaligérienne, plus tardif pour la Nouvelle Chronologie], Poggio Bracciolini.
Livre I - Tacite
Chapitre I - Tacite aurait à peine pu écrire "Les Annales"
Chapitre II - Plusieurs raisons de croire que "Les Annales" sont un faux
Chapitre III - Des personnages douteux des "Annales" du point de vue du style
Chapitre IV - En quoi "Les Annales" diffèrent des "Histoires"
Chapitre V - Le latin et les allitérations dans "Les Annales"
Livre II - Bracciolini
Chapitre I - Bracciolini à Rome
Chapitre II - Bracciolini à Londres
Chapitre III - Bracciolini s'engage dans la falsification des "Annales"
Chapitre IV - Bracciolini met la main sur de nombreux livres ["anciens"]
Livre III - Les six derniers livres des "Annales"
Livre I - Tacite
Chapitre I - Tacite aurait à peine pu écrire "Les Annales"
Chapitre II - Plusieurs raisons de croire que "Les Annales" sont un faux
Chapitre III - Des personnages douteux des "Annales" du point de vue du style
Chapitre IV - En quoi "Les Annales" diffèrent des "Histoires"
Chapitre V - Le latin et les allitérations dans "Les Annales"
Livre II - Bracciolini
Chapitre I - Bracciolini à Rome
Chapitre II - Bracciolini à Londres
Chapitre III - Bracciolini s'engage dans la falsification des "Annales"
Chapitre IV - Bracciolini met la main sur de nombreux livres ["anciens"]
Livre III - Les six derniers livres des "Annales"
Chapitre I - La personnalité de Bracciolini
Chapitre II - Le XVème siècle
Chapitre III - D'autres preuves de falsification
Chapitre IV - La touche finale du faux
Chapitre V - Le manuscrit falsifié
Livre IV - Les six premiers livres des "Annales"
Chapitre I - Les raisons de croire que Bracciolini a écrit les deux parties des "Annales"
Chapitre I - Les raisons de croire que Bracciolini a écrit les deux parties des "Annales"
Chapitre II - Langage, allitération, accent et mots
Chapitre III - Les erreurs qui prouvent la falsification
Chapitre IV - Autres preuves que Bracciolini est l'auteur des six premiers livres des "Annales"
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jeudi 23 avril 2015
Liens entre Russie et langue arabe
3. Les mémoires d’un janissaire turc écrits en russe
« Mémoires d’un
janissaire » écrit par Konstantin Mikhaïlovitch d’Ostrowitz
"Cette chronique a à l'origine été écrite en
lettres russes, dans les années 1400 de Dieu" [56], p.116.
Certains livres
biélorusses ont été écrits dans l'alphabet arabe! Ce fait est bien expliqué par notre
reconstruction.
5. Inscriptions arabes sur
les vieilles armes russes
…Mais, selon notre reconstruction,
jusqu'à la fin du XVIème siècle, la Russie, la Turquie et la Perse
faisaient partie de l’ensemble du Grande Empire « Mongol ». Par conséquent, ces pays devaient
avoir un nombre considérable de traditions culturelles en commun. En particulier, les mêmes techniques
de production et de décoration d'armes. Malgré
une séparation due au schisme religieux du XVème siècle entre
l'orthodoxie et l'islam, les traditions étatiques et militaires des XVI-XVIIème
siècles devaient être encore très proches.
Y a-t-il
des preuves de cela? Oui, et même
très lumineuses. Et malgré le
nettoyage de l'histoire russe par les Romanov. Il semble, par exemple, que jusqu'au
milieu du XVIIème siècle, qui est l'époque des Romanov, les maîtres
russes décoraient encore des armes - même royales! – d’inscriptions en arabe. Ce n’est que dans la seconde moitié du
XVIIème siècle, il semble, qu’il a été décrété que ça ne se ferait
plus. Après, les armes russes
avec des inscriptions en arabe ont disparu…Cependant, les armes royales russes
avec des inscriptions en arabe, couvertes d'or, de diamants et d'autres bijoux,
réalisées par les meilleurs maîtres de l'Armurerie, ont été conservées, en raison de leur grande valeur. Dans le même temps, la plupart des
armes "russo-arabes" ont été remisées, voir. [1], Volume 7, Annexe 2.
Et aujourd'hui, une fois que tout cela a été oublié, une partie des « armes
dangereuses » est exposée dans des musées, et leurs photos publiées. Bien que, afin d'observer aujourd'hui les
inscriptions arabes des armes russes, nous devons exercer un soin particulier. Après tout, les étiquettes
explicatives de ces inscriptions sont «mauvaises» en général et ne disent rien. Elles sont souvent présentées de telle
sorte que les inscriptions arabes soient difficilement visibles. Notre attention est attirée par
E.A.Eliseev.
Nous
utilisons l'édition fondamentale « Armurerie de l’État » [33], qui
contient des images et des descriptions des objets précieux stockés dans l’Armurerie
du Kremlin à Moscou.
Par
exemple, le grand casque damasquiné des Tsars de Moscou, qui a été appelé chapka
de Jéricho [33], p.162.Voir. Figure 5.5 . Dans le
livre, « La Russie Biblique » nous l'avons déjà expliqué en détail …
…
Un autre exemple de
l'Armurerie : le couteau du prince Andrew Staritsky, fils d'Ivan III, Figure 5.6 .
Artisans
russes du début du XVIème siècle [33], s.150-151. Dans ce cas, le couteau est signé. Il contient l'étiquette RUSSE
certifiant le propriétaire: "Prince Ondrey Ivanovich, été 7021". L’année 7021 est donnée ici pour l'ère
de l'église d'Adam et, traduit dans l'ère moderne, signifie 1513 A.D. C’est le XVIème siècle.
…
L'album [33] contient l’image
frappante d’une armure miroir faite pour le Tsar Alexeï Mikhaïlovitch en 1670 par
le maître russe Grigory Vyatkin, « l'un des meilleurs armuriers de la seconde
moitié du siècle » [33], p.173. Voir. Figure 5.7 .
L’armure
comprend également un casque. Ils
constituent clairement un seul vêtement royal. Bien que l'inscription explicative du casque
seul ne dise rien. Les
inscriptions à ce sujet sont étonnantes. Les
inscriptions sont en arabe, ce sont des citations explicites du Coran. Sur la pointe de flèche du casque est
écrit: « Il n'y a pas d'autre Dieu qu'Allah, Mahomet - le Messager
d'Allah. » Au bas du casque
est un verset du Coran, la deuxième sourate, 256 (255). Toutes ces inscriptions ont été traduites
par T. G. Chernienko pour nous. Elles
sont faites dans l’écriture canonique arabe et la lecture n’est pas difficile.
On a le sentiment qu'une
très grande partie des armes médiévales russes étaient couvertes d’inscriptions
« illisibles » ou « en arabe ». Cette
idée est pleinement soutenue par des études détaillées menées par E. A. Eliseeva. Les résultats de ses recherches sont
énoncés à l'annexe 3 du présent livre, « la reconstruction de l'histoire
mondiale », livre 2 (Recherche 1999-2000) s.515-546. Il s’est avéré que les vieux sabres
russes étaient pour la plupart indiscernables du turc et souvent équipés
d'inscriptions arabes.
…
On peut voir une Amazone [voir l’article consacré à ce sujet] sur le casque.
5.15 Casque d’Ivan le
Terrible entreposé au musée royal de Stockholm. Il présente des inscriptions en
russe et en arabe.
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